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Fès ënir avec las. -d'poir-que. l
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crsçrernress ï
Le.seul ‘journal. $ français de: le
| Sackélcheian.
Organe des Catholiques Fr ‘languë-
. française du Nord Ouest mt
‘
« ; ; cer Lt
lLe “Patriote” est Ju. ‘chaque. semaine
pr pus de 30, 000 personnes
15ème Année
es
rente Rumnnt
commence aujourd’ hui son quinzième
tan, T20%ème minnéro, prés de 5,000 pages,
l'alr joie colanme de
Le
pull TE
TRE quinze ans, aucours de l'hiverde 1910, après un pramicr
GER
ui journul local de 1 angue, anglaise, deux prêtres de loi intrépide, le
Rd" ovide Charlebais, OME:, alote printipal de l'Ecole St-Michel de
Dark-lake (qui allait devenir l'automne suivant évêque missionnai-
mu Recvatinie ef M abbé Mÿres duré de St-Isidoro-desBellevue,
coneurent et môûrirent Le:deséin hardi- de fonder un journal eatholi-
que ct lrnneais. en Saskatchewan, qui scrait le premier essai de pres-
ï Fran ment entholique et, indé endante des partis politiques dans
lOnést Canadien...
c “et l'époque oùt “lan tout. lé Canada los catholiques s'eveil
hiént. à.Ja nécoegité d’avoir leurs jourunnx, bien.à: eux. Lo naillant.
hhensadaire de Tardivelila l'été, avait Gé Ta précurseur de ee mou-
voue. Le Drenits à nait de paraître. à Montréal ot PAction Sociale,
Catholipne de. Quéee,. avait sourageusement hatth, la marehe. trois
ans anparavint. ‘Les (ant adions Hi FOntario: agitaiènt déjà l'idée de
Hnder un journàl ‘duré la capitale, projet qui so-rée ais ait deux ans
pus ti ad par la fondation. de Droit, à OUawa, UT.
La vénlis atiôn. d'une -{elle entreprise était encore. plus difficile
dns F Ou, Leurtout- dans un humble cire de campagns Ce
pendant, Fidée prouvé: et hénie par Je-prémier pasteur du diavise,
ke regretté, Mer -Pasesl, SH fon ehenin assez v ipidpment. Duran ce
wonc hiver. M. P able Mxre recnéiluit les-prenicrs fonds de Ja som li
pasnie de publication, 500 d'actions sousevites parmi ses HÉNÉTOUX
parois Lung tous colons débutants. Au cours di l'été, une inprhne-
Sie avez bien outilée. pour imprimer ui journal à à huit pages ctnié.
in « des Div. s était installée sous les s sôins.cxpGimentés du RP. Mori-[c
eo dan | ‘allonge ‘d'une Loutique de MOTHTISOr ie à l'Ecole St-Michel de
Huck-Lake: ete 24 août LEA prise ait le vremier DHErO Hi Pa
frote de FOuesl, M
L'R PA ne Morice, o. M... hit trie avi intageusement Cône
ji pal ses BOT. üx el savante: Hravatesx, était Je premier directeur, fl
avait choisi, d - concért avëcdes fondateurs: le titre du jouthal arborant
le re HAL “ui Sacré{'aeur-ct hr devis: SNütré Foi! : Noire langue?”
lui qui rédige les dix premiers. HuméTos. s'ocegpant er QU
me. du recrutement des £ abapnés qui s'é flevèrerit nm elques CHE tie
mia phiftre oi x LT 10" 1e Te :
La ele” avait qi je SOPR antéel. 108, 4 forces, lose “A “at rois
ue FHNOTOS UN jui -.Fatelier ot deux personnes pordivent la
die, Viur Lun détrniré LA PCOMHDENCEr ne
soûre QU En piastr à “aftindre. de lasruce
si he utéiel 7 fijalé. faisait de sve"condres an
bte uritant Tél] dnetieatdier tout neuf ins af |
ua ill. ae de Duckel. ka it nu, somiienecment de mars LOTS il NE
" Cinstdier définititeñient à Pine. NIberi clin un loval lonvui
pur Mer Paul qu'il habité dlepüis B, 4 Ü
1}
à
, “2 ‘y Do
; , ‘
.. LU faudruil un. fout, autr end que coli d'un “apide arhelo de.
jotirtinl por Le fs te, mn onmiire nent, lhisioive des juine Eù pré
Pattes arts dl" Oe-onnr re dont chaque setaitie, et .ponr ainsi dire
chuque jour, offn ses ne. ipétis Ce m'est ei hi Etenpse, ut le Vieu
Dur. Diofeursde loumalisie n'éeri Pis SCA SOUVONITS, 20
cpl de les vie. Tout absoplié para iehe du nioinout, Eovil
et vers Pavenip pont réa le etHoñr qu'il s'efforce de fraver qui
droit que possible das mb-éot souvent.aridé #1 focaillenx, ne jette
que d teuipe à autÉe un OU) d'ucil d'énsenble.sur le puise
dune années Lie uiôt 5 la ehatrüé! ponirions nous ire.
te Dion pou dense vié d'in ocuvre que NOUS CHOVONE appelé ea
nr pure qu'éllémons parait intimemontéliée à la survivance fran
RCOCTTATEET nie ‘dan: cette partie ‘du pars Cest. , Pourtant déjà pius
Qu i'onient HOOENT promettre les rage” d' il Va quinze us, 4
Les shox 6 los gens pratiques ci ont toujours int mais, il faut bien
Que lee oeuvres sufholiques dépassent parfois ectte sageses toute hrinai-
reus celé Îles no eomnience
Pa hui plis a défeloppers E
Ne crovons anjaurd Enit comme ler qu'une ouvre cathalf que,
“ane nécfie ride DUNENÉ AUCUN kimeni bümain de sUCCÈs, - doit au
jo pure gr Ube- foi as3cz inlrépide ‘pour ne jamais douter du
“ture de Dieu Co ressort pos parait plus puissant qua tout le res.
le. Une ocuvra catholique ne gent pas être envisagé, tonne the sinr-
ble quetion d'affaires Co ‘de nice point de vue, tout ‘raisonnable |
QUIL soil dans son. ordre, +orait ‘ineuffisint..
Chorizon, ui il QUE qu (LUS ferme confiance en-la Prov idence le der te-
que du ee Aie. et que jamais 1 Recours de Dieu ue uous à
QU les pass: s difficiles que nous avon: tr AVeTSÈES au COUT |
ontol quinze atmnec ts: NA exister, ét nous crovoné Donvoir ajsur
ne un Hutre histoir: eur uû-théâire d'aëtion. plus modèste, est gelle |
N cle nos eyands coplioves de la presse catholique, dont nous ad-
ro le merveilleux" déx: elopmemonts, °. Nous confessons: de vilus
qu ave une Tor plus hitonse nous auiions pu faire probalilement di |
CLIHEETES
es Et ous prions dane tous nos lceteurs d'avoir 1 |
PET Le Le QT hcieneos qu À té sincère. désir de foujours ufeux fai-
QE Ole Dion. Cost d'ailleurs une bienveillante indulgence |.
| nous accordant (rés largement: ol dont. HOUS. vondiions, re le
‘
jugé prit satisfaiennt, de ‘maintenir une coleune. française daue|:
ca" ‘
aient jamais et etes ne: e-Tiouiraies dl.
H: n'embrasse jrs tout £
LMERÇIEDI AATIN, EOUARS
maloré” nôtre: constante" pduvreté. cl l'insuffisanee. de touxsir . ——
noins égard REnER TE REDI APRE SUD . ° a
Nous entrons dans noire quinzième année an, moe ht où notre
Assotiation catholique lranco-canadienne de li Sask atehewin tient los
premières séiuces de son neuvième congrés : Que Dieu len hénise
ls bportantes délibérations pour Le plus grand'bien de ER cnuse ea
tholique et, francaise!
dre de’ son pri ésident ef de soi: auimoônier gébéri : “Nos voulons:
étre nnis pour être. forts, ef noue voulons être foïts pourlagie, pour
défendre nos droits et l'aire de; ouvres dukah es
: . A.F, Auclair, 0. M. LE
perennnennns)
. Notre Convention aura le succès qu'il faut en espét r, si
nous nous conformons aux sages conseils que nous #d
notre dévoué Aumôni er génér cal, par la voix: du Fefsiote, le
25 février. -
Soyons étroitement unis dans le: poursuite dè ès
iés pour atteindre le but de notre mission. | .-Ne tenots aucun
compte de nos personnes Ordonnons nos actes privés et pu-:
blics et considérons d'abord el toujours l'intérêt général de no-!
tre groupe en Saskatchewan. Gi notre Ass gociatioh a pas
été aussi vivante gue nous l'aurions aimé, ne péc hons’ PAS
contre l'espérance’ Armons-nous plutôt. ‘de. l'inébienlable
et constante résolution d'être plus aniss sañts pour la süevivan-
e de notre commun idéal.
activi-
Nous rappelant que € est au choc des idées que jaillit la | :
lemière,;n° Régitons pas à prendre park-aux. délibérations, et à
exprimer notre. opinion sur les différents sujets qui seront dis-
cütée ab cours des sésnces: de ja Convention. “Par notre ap-
plicétiôn à la solution de nos problèmes, nous onncions uhe | ve
démon xstration: de hotte force et de potre ferme volènté dep p
vi vie en- prose
Li . L .
“.. Causerio bar un Pêre du Collège Mathieu. :
: Pourquoi non voulons que nos enfan(s apprennént Le fre néais,
Discussion de a Censtits din.
HDI SOIR
" h, Allocution de Mer Marches Mu. orme se 'E
‘Allocution de Myr de Prince-Albert,. |
Discours. des délégués de PAlberta,fdu Manitoha- et de ]
‘Rapport des directeurs de Pinterprovincialce. .
Que faire pour fe recrutement ce nos instituteurs ?°
Flections des Officiers de linter provineiale.
# Fo
l'Ontario.
à
9h. Mozse dite à la Cathédrale par Myr V'Aumônier de A C. FE. C.
” Sermon par Monseigneur l'Archevèque. -
” Séance de l'A. C: FC: .
18,15 h. Kemise des lettres de créances par les délégués, 7
10.30 h. Ouverture de a Convention par le Prêmdeut. ;
Le. BUT de FA. CM Fakbé A Erny, D. D,
£ Diséusrion générer le. .
‘Choix d'un comité de nomination.
Séance de l'A. CF. C. oo
‘2h. fRapnort du Secrétaire, - Rapport du Trésorier. ste
Le MOYENS à prendre pour Fatteir inére Le BUT de PA. Ge F; c, par
moine idiencs. possilile,.. jen 2 M. l'abbé J-A. Ménord. ‘ Le
«ul Les témoignages #5 ect Svipathi, sont ombres ets rmndie. un, Diseussion générale, 1 5 ot
bete us Cosse, : nous iepnoüt. de Ja mass du peuple CON à à del UT “Pt f} ÉD] SOI? ct . L Te + Den ii ‘ Lie,
{ à - . . : . ‘ . D
ANRT les plus illus sttes, “Nous. ‘on sommes profondément ae 8h. Le Collège Mathieu et PA. C. F..C. Son fondateur,
es ste des ot bien iljux. dé notiè. révônnaissanec cst innonse. Ki
ne volonté Nice dé Hitiusp touit-céque nous aurons fe force: ‘ét. da
M plus. petite. ù QUE sontens. bien que neus ng- -nemplssons
“ain d'a € partir. Ale. ce détoir, dei reconnia
‘ aédiit{er loute notre dotté
or " e pa ui Ps moignagis: ‘du
TD uni: acte de nr cul sürvivanee de locuvie
ae éctfi Th LE TES groupe: fre inép-canadien; cir. est-il: dè plus t
QUE marufe. ne Lt RE dents. pie qui illônge chaque éighine ot
aux? Xl ù innoyation bi sl milicalive dans: lenoude: “dis
hote y “Voye inti: if. dc rcpri abts. do AoUtbE" les elassés. soul les
se cfholi ons wie: preuve noivelle: du progr ès sel idée” d pres
É ique- Acconiplit dans :üs a “N°
sanee, laissent it Dieu le
Len a
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estimé an-dose ji QREL Hi'A Ts
ont nue “cles sous € ê dignité de se, fige cite labs |
Pour un: Joërnal “éntholique
. lFortifiés: dé
en COLC que: JE [A DI TA ITIN, 12
yiipathié dé contiige : jui. soul
JEUDI . LES <. MIDI En ;
LU. ... Séance de: TA.
1.2 h Lecturé de de “Constitution. «Son adoption. | NE
le TA. - F "ce. . . : :
fépone Log, DÈ SOIR
CURE SS
La Bonne: Presse ét PA: &. F. . Mgr de Prince-Alhért.
Relutions daF avenir enire l'AC. FC et l'A CE. FC
M. Raymond Denis, vo
M. RS
Li te Séance des Cormmissaires DE
” h. L A C EE c. doit nous préparer une élite. Mgr Brodeur, P,. A:
Les. mesu es qui. s'imposent peur cévelopper l'enréigném eut: du
francais dans nos écoles “Drotion
.: Adoptions. de la Consisition., ‘Elcetion des “Offisirs,
à, : Election des Offitiers
Séance . CONJOINTE DES DÉUX. Associations:
présotions: iles x" -Convention | Cf
3 ‘Présidents Eli
ñ TE nirelés résider
No ‘Seigneurs: es.
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drécsnit !
Nous faisons nôtre le mag frquel not d'or!
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un simple signe de vous, ce
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NOTRE FOI!
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…
Prince-Albert, Sask.
céntaane mer c0emt er à caen none on he
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dème Avenue Ouest
Tél. “2964
Abonnement: |
$2.00
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Canada. ..,...,
Etats-Unis .....
Europe uso.
NOTRE LAN GUR!
notre paleuretnr
Patriote Himble home
mage de notre infinie
cratitde,
Que diriez- vous nl un ami, qui sur
lun” premier appel, empresst de
vous distraire, de vous renseigner,
tele vous htstraire, de votts stiniser?
Au sein des villes, du fond des
campagnes, au, niifieu de Ja faril-
près du foyer, par-
mi Ja foule, dans ‘ln solitude, il
viendrait à votre gré, vous tunis!
sompagnie: vous apportant les der.
nivres nouvelles, dignes de mette
tin: diseuiant des problèmes qui
agent Le monde, si divers ol si
compliqués: lcur donnant la piste
interprétation, kelle qu'un cspr il
cuhtivé el avorti conçoit, y üjon-
tant. &s: voseignements d'une han.
te vifour praiiaue; les entrem.
liant d'histoires honnètes, d'apereus
ivdieionx sur des questions! de
seience, \d'agrieutture, d'ésonumie
politique, d' Mygiène et de morale,
Que diriez-vous, si cel sini, insou
cieux de son imtérél personnel,
lusnit les offres les plus allée hantes.
pour vous demonter fidèle; pour ue
nas afièuer sn liberté où son drnil
vous dénoncer lerteur el de
n'en point répandre auprès de vois
lc, en vovapp,
Que divicz- vos si cef mi, vous
consacra el soi lemips el son al
ont, déponsnit vuit ci jour à
Votre servie, v conféntrant tuiles
ses facultés et sos Gilents, so inlel.
ligenco CTUL SEE, son Aie ÇL
SON COBUTI AvVAanL por Ubique in
bition, celle de vons éarder du mat,
eche de vous faire du hieu?,
Q%e dirivr-vons si, à l'houre grn-
OÙ 0 iouert non destinfes on,
avs, qui est pourtant le nôtre,
si col ami se nroclimit linterpré-
let le anplon de vos droits Lu-
se
! Nous estimont qu'une assoc ation. “hétiohele | ant présripibles et de os justes re |
tou: nc œuvre de ‘volenté: de dévoucmiént, dé persévérance, | Si, éresmontant le, danger qunir
9e - 4 1e \ *
ä iñtelligence etde sacrifice. “Or, come notre ‘rai ft sys me HEUES DA UE, du foie ur vous
£ a » 2 ve . SJ * 5 *,
“nuros: or LATAgE BRGEMCN. ttes Baye avons T Er Re ne mes) analer fà MENACE otani set voire |
raitôhe. de’ croire, Difonse Cho va Mleide gen incl [TATES
' | ionrs ur dj brénhe, sonner Palais
pt So ‘ M E.! MORRIER, cure ehenter fs HA n folie à vo-
! Le : n. dects, Cinsqu'an Domi :
” Président géféral de l'A: C. F. | tes que ne terirevous, en re
Lcoprèes EE EEE AS name api nan en mom nn me manner lout, pour reconnaitre un fol sain.
TT TT : - 10: sen. vau of Haven ri [NLE
: fi re. un dévonenient si vaheiens
DO: . £ FER TA noire jovomparuble ami, ani
| SEE “ : #uer contaul le nous rhorder, aspi-
LA 7 À : À dy de nltus hautes visbes, ant conte
o 4. ! Fr a ss cux défenseur de notre farie
.£ # F . F F3 ste nelire loi re j: Ceux eve
tt 1 LEE A d'en ahione eff guess gg adore
{ fil Ed eg D # ES dune pronver por dos gelos sorte
“., >. . lieus. paire atlarhement profond,
a — | DEÉURETTE, à
MARDI MATIX,. Ji. LAN mt : | Wilowe Lunch. |
: « » memes nes ee Le au nee rome
. [Séance des Comumise Aires. ‘a |.
Re Heint | | AUS [La : mise de la croix de le Lé.]
9h Reinise des lef(ris ce créances par: les délépaés. ‘ æ Mg ‘
‘ Sothuits de Bienvenue. Kévanse per LE l'résidont, sion Honacut à a Er
10 h Allocation pär Le Président. € ouai
Historique de ? association Le crucail. devant Ja. Cons ention, Fos ’ \
Blection d'un comité"de haminntien :° 4
menton, —- fn cé ré “ie de a
Lecture el distribution de: arlivles dé a Cents tation n: RU de 1 Foix de r lésion
AA PDI . EVA Ex HI "of d'oie pheur Se Mar Gr HER qi 0 |
L ; BL, vienire apostolique du PAU
| Séance des Comniisse aires. basva «l vétéran des Jui ions du
2h Rapport financiér ei rapyerts des directeurs. - To nerd. aura Heu à Hrouiu',
Leg devoir: de parents, des cuminist aires el des ine stiuieurs ou- Jélon. Hi, Ge Brel, lieutenant
+ ver l'école. M, l'in poeterir: Gagné. Fe annvornenr Alberta v est tnvité,
3. Le Collège F enens Canadiens de la Sarkatchewant avec Sa nutison,, Les insianes ds
Perdre sont offets Mar Gronatd
por {a rolonie francaise de Mon.
réa el le covsuf de F runee,
AM Bouquette, journaliste
au nom du gouvernement de Fraie
Er ‘
. de baron de Vitrolles, consul
a ral de France, qui dev ait iprée
der fa cérémonte, est veleñn À
Montréal par ses, inportuntes fonc-:
quel nous
longues années, de. bot. combat on
eendie qu'il 4 éprouvé rétennent.
\-
du Conseil Privé
er jugement sans l'affaire des’, pros
vinces de
pPAlborts a.
li-ci avail passé une loi’ imbogunt
uhe taxe sur les ventes de blé avec
future”
previncés: s'objéctèrent: hotte, Jof
et: pagnérent” leur: point,
èour supéréme du” Canada.
au. Conseil Privé-Ja eause ntten(l it
sément,-ellé a été. défendre à Sons.
“jdrés por Ja Saskalches: ay ee
bertst -Dar À
: Jde “Montréal. |
M. Rou-:
ions, el " dovantié à
queite de le renipl: acer,
ne fe Le mens
Le doyen des journaux. cana-|
diens
mer muets . l
Courrier de Suint. lyacinthé |
qui vient de coninencer sa 736
agunée, est de .doven sic journaux
de longue francaise dy Canada,
Sous Re direction de M. Hinerx Bor-
nard. ancien rédacteur au Droil, ce
journal est unes BÜns. catholiques
militants de la province de Qué-
beg, Let Louis .Gludu, OX 1, de}
St-Boniface, avant son “entrée en FA
higion.. ful un des rédacteurs de Ja
premiére heure le ce jourial ar
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Quelques suggestions pratiques d'un Franco.C Canadien
adm tem arms arte ananas
Ni j'allais à la convention de Re-:
+
dous In convention pour ‘asnrer la
gina où pour parler plus expliei: victoire, m'ont pas conquis d'elles
toment, si fe pouvais v aller, ee se finèmes fe tomnin en vue, ne tenant
vit bien trantquilement, étant pas eomple quil faut des æftorts
investi, d'aueun vûle officiel, n'aciaelils et cutthatels après avoir ré
vint iicth fapport à pré senle v pl | ponelu ù l'appel, comme si fes el
indelles ennemies devaient tomber
étant: délégne que de nie ème,
Le nrésiiléet dei séances deman-
nos opinions sur tel sulel
surmoutaut tn timidité
aumiien dune 18-
voici ve que
derait
diseuté:
{bien naturelle
semblée si distinaute,
de divuiss ce ne serail là rien de:
neuf. mais da vérité si ancienne
qu'e de soit, n'estolle pas toujours
nouvel )
Le vrai patriolismeel le “Patriole’
D'abord,
c'est entendu, nous de-
vons Gtre de vrais patriotes,
cestitedire franchement: Cathoti,
ques ol Canadiens-Æfraneus. Gone
me on Pa déjà dit: ‘Nous devous
ouvrit en notre Coeur un, sune-
luntre pour le eulle de bd rare,
conne DOUS CN -HVORS He pour Le
culie de Dion, Nous devents rose
pecler ht race en nousenéeires, vit
Dos SHpérionrs, en veux Qui dépen-i
dent de nôuS ions devons res.
notre knagu se goblrnse,
sa purelé.’* -Aphrenops, here no
tre histoire puisaqu'olte nous (un-
ne loranpil de relever ht tte quand
an vous insulte. Chacun de nous
devrait ajouter au peu de fumière
et de gloire à notre rue ce dont vous
devons transmettre dine à nos tes:
cendants, et Pin d'eux, peutttre,
préphré par nos exemples cf Ta
lidétité noi faditions, fort de
sa puistince pfus ane et de mo.
fre espérionce ucuquiee enlévéra
du: lohiheau où beaucoup. sont dé.
0 enfermés, a pierre de Ja fai.
blesse ot de, “fa Heheté, Nous ne de.
sapi cepenels un pas étre croit
d'esprit. CS uout voulnns avoir
HOtVE plages: ii “oil, Notre force
Série eu CENT O te GATE cu
Hionile, Hoire Hate PRnet Sion
BE d'apger#tas orbite mn HoUs, QUE
Ke dure Pas us lutin iles pouples
“dobt le Gand Test oomposté, clac
d'eux Ponge van ni calvtr Riilo
rique de efonpement, ter trésors de
civilisation et -de nensée, pourvt
que Host une, at pee ut
l'union de ous pote in ennue Cou: |
tune,
Que nous
liutit pour faire acte
des veut piriotianet Faut en pri
nier tit Gros LE MATTE AO , piste)
conquis à lai: ruine, it fr défuite. nl
faut tre opganisés, que unHé ou!
dehors d'un totalpe vit que pat |
elle-même, QU soidat sur Le cbambp:
dé balle sans comminnjeatten 5
avec Payne, as inutile: qL fymé.
mie vont à a ntort, |
Ü
4
Il nous faut dons un guide qui
nous delaire, qu) Dons tuides eute,
el, ous sinus nous inauffle {un
sie, cet él de chaque tistint fort :
et sûr d'arsiver qui os dont |
l'eshor cotnine tn fauve qui #e
LH ET ORETU lui “ne, Hour bond
plus Join,
Nous l'avons ce ptdr el son. Hoi
ré dike co ne" nons" de VOIS êlre,
est le Pairiole de l'Ouest, c'est pu
Jui, Que NON HOUVONS dire des Ce
nadiens ve que Déroutède dis ait
des lrançhis: u
SRI lcur sine chañtnil
chirous d' girain, est le, clairon
qui soulionl de neurhe des comliat
tants, réconforte En futigue, bot Ha
k
{.
de
charge, s'illu faut, sans: tin TE =
a les
ner 4 peotraile- des vaincus que
nous Nu SONNES Das OÙ Que Nos ne
voulons pus tre:
EL sernil tron long de rapholer
tout ce qui a été it de Ja puisse
Catholique “are
{défensive ef offensive, ‘ovale, sin-
jcère dont Er nécessité, s'écrinit Pie
À, prime Ja fondation dl énlise, dé
ecoles et de bonnes gcuvres Le Hi,
Père ‘Auclair cerivail Quus un ar
üele soie. qu'il Faudrait eiter en
Pairæpénétrer dans Je per
ple Pidée que Le jouronl catholique
posséde un droit, cntorce insuifi
sanupent reconnu, À, /l'apoui et au |
concours Goffertif du piche ef du
pauvre, dd prétre el qu laïque, des
associations ol des HPonpes, on 1
mot de tous les honnèôles gets pour
lesquets il livre bataille, suit touts
les risques: ct use ses forces, ‘c'est
poses toui le problème de! far presse
“atholique. ed
Le Balriole est le ficteyr le “plus
ipportant de. nos: snbilions Aéni-
tünes ‘et notre province, dus. relé.
veñent ete Péducation déhos fa
ce de: la Presse
cntiosi ‘
Fest par luispène le cri de
volontés, Pavocut de -noire, s sainte
cause, ioiotiré Diet x nous faire
devoirs, tout en!
U-cét pla fort que Purgent,,
ri jours ilpér étre ui
des âniés bic
uées, li où l'argent neneut: réussir
Done aidons Je “Patriote”,
; ,
Id ë praliques
: Autre question: Où est “ioire. are
‘dente lerveut. daptan?- Méfions-
f
constatant - que. les ‘idées “émises!
#
jeu Len
ans coup évir au seul brtit d'au-
tres wompettes de Jérieho
“Des mots, des piuises, uteè ha-
vanguus, des manifestations, du
bruit... et tout Tinit lt Est-ce bien
vrai? Sans doute La maoltitude 1
besoin de tombes & autre des émo:
lions, de certains spectacles, les
veux sont flattés par je déploie-
sment des otifianmes et des dre
jpenuxs Mais s'il nv a rien de plus,
où tout cota AUOT QUES Los an:
nées s'en vont et és congrés se sure
cédents il ne at pas que ces pa-
bros, us déemonstéations, ne
isoient qu'un jen, Les Gomalns de
a déendence, nu déclin de leur
soleil, réctumas ui du ‘fit ot dés
ioux, La enuse serait désespérée
si nous nn étions dél 1à, Nats
Evolons du pain, c'est vrAi, mais ne
vant tout, avant les jeux, avant les
déelamalions he illintes qui ñe sont
parfois que plaisir à fleur Ale peut,
uous voutens le pain de If vie do
l'une, pain intellectuel el morol,
le vrai pain de vis le pain ‘le la
pensée ennadieunedrainentsc, Te
sous lonique, fr svule forve, NE seu
le énergie qui nous éonsole de toits
les éconuremente quottttns aTin de
nous donner Pôtin RU irnvir da
côte cf omoiter jusqu'au bout.’
SOUVETONSNONS LU ln. frivolité
ne inpre ñ Finn, que. lu, PARU CE
des: forts est ins Puninnse que le
value paigoné, slots le but” 4 At
tendre, Gt oHposé TN Molences
qui 56 60 sine clle-indig ANTON
Ë N
Cortes dite bien “aitllous
née pourtaut, heleës per légis ur
tions, les hottes UE : l'actb
Mi nant MIT iron
;
n° approlaniti nent” ral A ONBUITE
se Tes faits es put nr uts
Hefilenront que tend Al UE «un à
v hatssor erpréiatenttffes Aie
Les béuluscrseineont, de ré sueléié,
les Dessins de lv meute, fe renars
VA Hé resssiqe hr ie ete (DOUTE
placent Les méthodes stRnnÉes qui
ne saupliquent plus 4 li détresse
aelne}s is organtsntionrs
pins alles, plus Tééonttes à pour
faire fac cux forcos contraires qui
lruVailent dans Pobpre otau mul
qui s'atfiche éronténant on hein
Jo sont frs événements rx EUR
où he fit pus assé alfentfon "fi
Buena duos tUetroite: coté
don, ne prounit fils qu. rlésort
Ke séehé, un vide 2005: fond 4ins
los âmes où detraient DUC péter Jus
prosces Lalittutios 41 L'essott suhfi-
We, epéaten d' ‘efforts.
Lu réfhe on aul veut, api ut
PFuuion de Lors, viviti 2 pur Le in.
ie Lontlfe AL tit “1 ns: son£
pue fopee es cuite fonte este eafnif,
cle dédatone les opis qui” déehit-
nent des passions, Mo no téis rien
ide plus fenmne que pe qui et doutes,
pin de ph babe ane ee EU sl
visent”, disail Mer QUE anloup.
um ns
os L'anotre lique.
Uue autre résolution a) sonnétire,
Lorait avoir des apôtres liqies
Lu crioneb requiert dos vulgarisa-
leurs.cdes honunes de bon voutoir,
intelligents ol dévoués qui la met-
tent à da portée du peñtple; les idées
philosophiques, Jes ductrincs éle-
Vées dépassant, dans Ja sphère of
cles pinnont, ox tunes absorhées
par de rôté pratique, si matériel
souvent de Ju vie ordinaire, dernine-
dent des disciples, Ceux-là, iront
les mains togdnes vers leurs fre.
res, ave qui is. viveñit dans. la
mème contact et en conimynion de
peliséess leur Front -portérs J'un-
réole de It clarté divine, intense
QUI PUSOHRE OC COX, HS qui dé.
Vis iunminer l'exitlonce de COX
qui les entourent el posséde ni «1
leurs dines Les nées aspirations
sans pouvoir Îles expliquer ni les
appliquer, ef dns bete vois ghauy-
de, convaineutr, rotoritira. tonne
un écho de [f arunde Voix” de Dieu,
fs iront, partout, eux les notes
sles ouvriers, abpelés, comme les
apoires per: Je Maire,” Sous ki'di-
roelion ct fes conseils opDortuns de
vos: chefs. ecctésiastiaucs toujours
visilants, lonioure fidèles aux de.
voirs de nolre! Cpoque, toujours
grands dans, leurs dictions ‘dé
chairer el d’ enscigner, is iront: ot
le prêtre; faute. Le teurps et -de
Moyens, er "pouti parvenir. is
du, peuple, äfs. front au peuple ct
serferont ‘écouter.
Lé prétre, lui, és sans cosse prêt
la hutte, à +ous les évünements
Su la brèche quand: :Mèmé; son
ële. siva Sans hésiter aux -dérnicrs
CTifiecs, lüsqu'A -l'héroismé de Ia
charité; : mais sup “appel guauel
|fhabittent si facilement. les aidi.
Leurs passifs, sumnolents “ou fati-
must se botera à: Vindifférence, à
l'épathie de “atholiques… eñlists
dans leurs _occ upations, ridtérielles. :
ét portés à croirèque Ja darole sa.
ec EM aleon 'est4qu un: sétiei be
‘(Suite à .
ge:
“la. page. ‘2,
à ae
"8.
NUL — n
(Suite de Ia 1ère page)
Si dans chaque paroisse on avait
un: homme de ectte trempe qui en
._ tartageant là condition de ses sem-
* bltbles. se mèleruit à leurs travaux,
àleurs conversations, passerait, se-
EU ‘occasion, les longues soirées
d'hiver. à prendre pius ainple con-
tact avec eux, à diseuter les objet.
‘ tions, à éclairer les points obscurs
et dissiper les malentériuus, il's'hne
pôsérait par La droiture de spn en-
ractére et la puissanee de ses con
vidtions. "Dans POucest, Phiver est
le temps. des fuslins, des “frieots"
où doit régner. selon le-Lerime cote
sacré, Ja plus franehe sgauioir. En
. quelques paruisses où Pesprit nest
- pas-des meilleurs, ef malheureuse.
ménf Je cas ten préseñte, chaque
hiver, come Fexpérience Le prou-
.vé eë8t lé temps du “huile ct des
guerres intestiness des ripaliles,
quelquefois hien nrrosées, ne sont
plus des agapes frlernelies: on v
‘ dévore Je frorlain, l'église et le
prêtre vsont vilipendéss Ale eue
re suriout'est la cible, Je po‘fit de
mire. de. {ous ‘les projectiles âne
“és par de pauvres iunorants qui. i
à défaut de ‘iugenent, ponséedrnt
da brutalité, faut trouver 14 Pise,
plication de de déchéunee de err-
tains centres catholiques où la vis
paroissiale, Join de progresser, re
arde du contenive sur Fes salres
localités si visoureuses ci si avan
cées, En.ces circonstances, Papû-
tré laïgue-a su place de choix, mar-
quéé d'avance, la place de conibat
e paix et.de conciliation.
peine ranimert un feu presque
teint sous des cendres
soirée pour des
ser une
chir
lontés ct balayer Les
d'un iviste passé disparu,
prédiables, mais c'est l'obole du
pauvre,
ï# Faction,
tavaiheurs prets
du pour Canadien-françents,
Un PrunroCanidier,
_ L'Evangile
EN, Ve VIR Hi Se LS VI,
2946, LL
D “Vous avez appris qu'ils ct dits
ɓOeil pour oeil et dent pour dent,
Étomoi je vous dis: Ne résistez
pas au wiéchant, Si quelqu'un vous
frappe sur lt joue ,lruite, presen-
tez-lui encore la gtuche, Si quel.
qu'un prétend vous citér en justice
nt A
pour vous vnlever votre fnique,
abandonnez-lni encore voire man
Si quelqu'in veut vous con-
Miraindre à faire avec lui mille pas,
J'aborde lu derniére question Faites-en deux autres mile (ii
Si nous lüttons pour li même cause, "Donnez à quironque veus du.
si fous nos efforts doivent être [mande, ct ne vous détournez. pas
.nis- en Commun, chacun doit tra-
vailler pour tons, Muis nos idèrs
manquent de voix pour les expri-
iméré il faudrait done ulilisér tous
les talents à eut effets it n'est pis
nécessaire . d'exiver l'éloquenre,
- môt. émployé si libéralement : i
dus suffit d'ivoir des cntraineurs
hommes, ‘haut de difficultés it
lourdisseit et relardent notre mar-
ché en avant. tant d'obstacles bri-
seht nos élins. que le peuple hotre
frère avee sa farilité de dovination
a tnison de saluer de son enthcir-
siasté recorniisennes, Ces MICRO E
de foules: ces soldats qui s'offre.
paient, on seraient choisis, volos- inant, quel est votré mérite, el quel.
tairemeout acharnes à lutter rontreite pout être voire
li pesanteur des faits contraires \Fstee que les Poblieains cl les pé-
arr
Le missionnaire de la parole 1Gaur.
Ge qu'on vous tavit ne
inez point, (2,
hassent, bénissez coux qui VOUS nv
éablent de malédictions, cl privz
pour ceuk qui.vous persteutent et
vois calomaient,
notré but. nous pousseraiont mai lehours n'aiment pas aussi ceux qui
gré nos glissements et nes ehuleï {fes niment? |
vers la ‘lmière des sommets. “ft si vous ne faites du bien qu'i
Nul n'est prophète en son pays.|ceux qui vous ‘en font, que vous
mais colui qui par Ia force des} doikon pour cela? stec que les
dhoses ne peut donner In preuve dej pécliours n'en fonl pas autant
sés eapaeñés en son inilieu habiiu A" Et si vous ne stluez que vos Frè-
qui naturellement aime un peu le ires, que faites-vous de plus que lus
tiouveni, ira parmi ceux qui olten- autres? Est-ce que les païens ne le
dent sa visite semer un peu de hr-ffont pas? , ‘
Mmière de gaicté el d'énergie, An ét si vous ue prélez qu'à ceux
séul son de sa parole magique, leside qui vous espérez reccvoir, quel
cotseiences endorthies surgiront, mérite avez-vous? Les pécheurs
à h
D PR ee meme
‘Confiance est b
nanc | ien placée. quand
. -êlles l'ont mise dans les
ni
. Poût les Fern
à .
: û +
mes P£
s Pôles ét Faibles
|poutle bénéfice d’autres fem-
| nes”, Mine Hilaire Marquis,
562, tue Champlain, Berlin,
INC |
.
SA
pe, FN
_ se
A
7 Idaus le traitement de 1ncs
“ai
ljeunes filles quitoutes Irois
étaient anémiques, pales ct
amaipries, Ce remède est le
meilleur pour refaire les for-
ces et donner du saug. Je
ren suis convaineue de nou-
veau chaque fois que je l'ai
employé”. Mmce-Aïimé Le-
cuyer, 45, Olmstead, Cohæs,
NY. : Lo
“Te me trouvais excessive-
meut affaiblie bien nerveuse,
pâle et incapable de m’occu-
per de l'entretien lé ma mai-
son comme autrefois. Quel-
ques boîtes de Pilules Rou-
ges que j'ai prises ont suffi
pour 1ü@ fonifier comme il
convenait: Ma santé s’est
hméliorée de, plus en plus
dépuis”. Mme Médard Per
ne
*.: Mme’ LEOPOLD HEBERT,
…28,rue Lalng, Grand’Mère, P. Q.
,£ Je me sentais sans force,
toujours lasse ét j'étais inca-
pable du fioindre effort. ‘Je
mmnaffaissais tous lesjdurs nn
“peu plus, més neifs étaient
- très sensibles et je dormais
peu: Utiträitement de douze
boîtès de Pilules Rouges t'a
tout-à.faitchangée. J'aire-
- eouvré V'appétit le sommeil;
j'âi.fefait mes forces et mon
- ‘péidss'est auginentédevin at
livrés, J'ai eu ‘la plus grande Sr \ ea
— éfacton de leur Emploi”. CRAT UITES. Les améder
Mine Léopold Hébers, 29 [eus de Ja Compagnie Chr
DE A0 SEA ERS ED Es nique. Francé-- Agrérictine
rue Laing:Grand'Mère PQ, QUE Re
TUE LME, GTA ME Eee donnent dés consultations
. r,ffétais faible, nerveuse, | gratuites à toutes lesfenmes
‘ «Sans appétit et, pendant plu-
… $iénrs mois, il me fut impüs-
.… ‘élite .d’avôir un sommeil ré-
- oonfortipt." Je me levais Îe
Se.
ron, 227, avenue Laviolctte,
Frois-Rivières, PQ.
. CONSULTATIONS.
leur écrivent.
. Les Piltles Rouges pour les Femmes
Pâles et Faibles sont en vente chez toûs
les marchands de remièdes-et sont satis
contredit le remède le meilleur inarché,
IN'acceptez jamais de éuksstitution ; voyez
à ce qu'on vous donne les véritables Pi.
lules Rouges dé la Compagnie Chinique
Franço-Américäine, Sivous ne pouvez
vous les proctirer dans votre loëalité..
écrivez:noué, nous vouslésenvérrons eur :
réception di prix, +0 sous I boîte. ‘
“< ‘
OSPAGMIE Ci
smipss IL méfait| " CONPAGUE
dire aujourd'hui |fimitte, 424, run StDei
ET .. cour
4
Eee
sème |
_ mPefftayait. ] El
Pilules Rougesquiiavaiert
"ÊtE rec
Des, Bentréel :
ns mme 20 mme ce cmmphereenee dofniees cérmemnddraner se Era manne
{pour Paction, Là où un pauvre cu-aussi prétent, fin qu’
ré, et notis en connaissons, peut 4
_iceuntilées
depuis longlemps, fi méme organt
, bounes
oeuvres, 1 aceuetllora avec joit, ce-
hi qui apportera un peu de grand
“ue venant du large, pour raffrai-
les’ coeurs, raffermir les vo-
poussiëres
Si j'tais à Ja convention de Ré-
gina, telles sont en partie, Les idées
que je sotmetlrais, à défaut dut
tres offéanedes sans doute plus ap-
ffumble artisan duns l'armée, des
jap
porte ra pierre à l'édifice qui sé
Lve peu à peu dons notre DUers &;
la gloire de Dieu el à Et grandeur i
de celui qui veut vous operator:
e réclae
“SE vous aimez cenx qui VOUS >;
réenmpeonse? i
|
qui. viennent les voir'oi qui
MUQUE PANCOAÉRICANE
mn leùr prète
également, oct 1,
“Ainsi done, aimez, VOS CnHGmis,
failes du bien et prêtez sans oi rién
espérer, ot votre récompense sera
aut fait lever son soleil et doscen:
dre la pluie sur les bons et sur fes
méchants, sur les justes el’ sur les
injustos.: ‘ ee
“Soyez donc misérreoriliouft
comme, votre Père est miscricor.
dieux! ° : ". :
“Savez donc parfails conune vo-i
tre Père Céleste est parFait Pt |
NOTES.
(t) “MotreSeigneur ne condamne
ing paint la jéoftfine défense, prais
it déelure qu'il sera plis prrfalt
ide n'y point recourir Jorsqu'il ne
Caugif que de’sai: suriout si Fon a
lon d'espérer que noire cxtrane
cmodagion dés mers Bi fureur de
celui qui nous Lnlie et le raetirs
ue be ehomin de Li conversion?
{Saint Jean Chrvésostene,
€ Lu prudence et Be discrétion
sout des vertus chrétiennes qui dot.
vent nécessairement être consylices
dans a pratique de res différents
econsvils, ‘
(33 Lorsque vous vorvez nn ho.
me qui aime son ennemi, dites fnr-
diment: “Voici un enfant de Mieut
On ne pout sv méprendre." (, de
Lienvy.) ‘
|
| P
{
ne onte mette
Réponses aux questions
|
”
apini est-il catholique?
Qui, c'est converti,
Est-cotque Er Messe n'est pas tou-]|
jicurs dite un Futin? |
Elle est dite en fatin ans los ri-
tes romain, milanais rf miuzarabhi-
aue (execpté dans quelques virties:
ie Hi Dalmatie); elle est dite ci
free daus une grande partie durite
byzantinsen syrviague dans es ri
tes svriaque, imaronite, chatdéet ti
ratiabar:--en coble das fe rite con
ltoson arménien dans be rite avmé-i
piens—on arabe par Jrs Voirhitre: |
eût slive na let Slaves du re Lx
2uubns-on georgion ot eu roue,
Est-il permis à quelqu'un qui crefé
tout-eu que l'Eglise enseigns, mas
aui n'a pas encore été haptiss, de
s'agenouiller devant le Saint Haere-
ment et de prendre da l'eau bénire
ut de Laire Le signe de La croix et
sortant de l'église?
|
on à
Oui, eela est permis, el ves actes f
extérieurs de dévotion et de pitié
qui montreut la conviction intérietie
ire seront récompensés généreuse
| ment par Dieu à qui ils sont offerts.”
À
LE
Loi
« | + 5 %
Le. succès ugricole d'un ur:i-
versitaire de France :
A Nicolas Taitinger, de Clare-
éholme, Alta, s'est lait une répulu-
tion très enviable dans Îe monde
pes travailleurs de + terre. Chaët-
lue des expositions internationales
sde grains acoroit Ja Histe dés Dix
et des médailles qu'il a déjà rene
portés pour le Blé ot Forge postés
sur su forte N |
M dager quita Ja räneé à
LT uns en 888, el alla S'engas
une gercon de ferme chHes ut
cuhivateur de FOrteon. <Quiir
“Université de Verdun, à 4 ve fe
étre vecu barhelier ds-seieners,
pour s'adonner à culture dans tn
pers Élranger, SANS SUVOLr UE NO
d'uncdais. ceci demande uie-cofint-
ï
€
|
+
i
ie
nm
L
{
}
|
ine dosu le couruges d'antautt DS
ique M. Taitinger étant manchot,
savait qu'un seul bras il sn SCr-
Eviee. . oo.
H s'en servit si biën, et sut faire
profiter fes 42,50 de son arrive
à tel point, qu'en 1904 il. pouvait
s'acheter une scetion de terre du'is
le.sud de FAlberta, Y en. possède
maintenant deuk. ce qui ne la pas
empéché de donner. une bonne
instruction à ses six enfants.
Le secret de son succès dans Îa
culture du blé êt de l'orge tiént tout
entier, à son avis, dans Je fait qu'il
achète toujours le meilleur grain
de-semence: imais de plus, ajoutet-
4, “il vous faut du bon terrain, et
un bon clühat, et vous devez bin
préparer le sal.” |
- “J'ai quitté la France, parce qe
je savais que. jé ne ferais pains
d'argent t-tenir les livres ou à en-
seigner Pécole où dans aucuns &9s
arrières auxquelles les études du
Collège me préparaient, Je vou-
lais me placer 'sûr une, ferme où je
pourrais faire de l'argent et le met-
tre de côté. |
mm
. — se
La colonisation à la Rivière
... dela Paix
LT - à
, Le ‘discours du trone annonce
‘que le parlement sert appelé à vo-
[tev.les fonds nécessaires pour cn-
loïiser et dévelanper la” vaste ré-
gion encore inculte de la Rivière
de la Paix. . |
Près d’'Edmo
lent. 850. l'acre
Les-terrés de Ta
“LRivière de la. Paix qut une gaie
“valenr, affieme-t-ôn. , EHes “cou-
‘[vrent une étendue de 26.000.000
d'acres; 2,000,006 apparticnnent
déjà à des propriétairest il en res-
te donc 18.000.900 disponibles pour
des fins de colonisation, "| .
' Ce vaste domaine dont on'porte
la valeur 4 S900,000,008. ne pour-
ra êtré exploité ‘que: s'il est relié
da côté du Pacifique par des voies
< ferrées où mis on Communication
avée los grands éhemins de fer dé-
ft existants, ©, 77 D
Le “Sant. de ‘Vanconyer.. dit
qu'aucun pars àu moudé best en
mesure d'offrir aux. immigrants et
aux "colons une pareille :añbaine..
RH suffirait pour :neunlér:, cétte
vaste région. de a. Rivière de ‘la
. Paix d'y ouvrir'dées voies .de:com-
U
, nent de
3e
+ :
1. Ne
e 3
wrande, et vous serez, des [ils “lu CCS, Los Les 4p 13 POPTES ! T- ou :
résout @) qui ED mec | allier 4ix vierges, ononnénent canadien, conire 45 pour cent qui
«Jos ingrats ot Jes méchants, Là Cé.qui est prescrit Ans es AB NT
jour os ingl Jes hi 4e Pautét, niére sus relie
uies “jour T'encensement de
aux inafites, rt les nenf
me meme
mere) mm me ce
RE]
enr de cop
Est-il-permis. pour un prêtre de
chanter une grand'messe de sentai-
ne avge. juutre cicrges señtement? |
“AUS messeé
“solennelleg dés gran-
des” fêtes ct des dimanches iE faut
Ce qui vend à pl
grande. diversion iocomprébensible
est le fail que de Winnipeg à Li-
verpool, par la route juvérieaine. 1
va 4,780 millés, Roidis que de Wine
nipeg à Liverpool, par la route de
Oléhee, il sou 2883 milles, et Lot
iilles dde pis environ part Br route
de Montréal La différence en fn
vour de fa voute eunadienne varie
dene entre 800 et 650 :milles, Le
“Ut . prêtre ne maingie-t-il pis as blé cunilion prend doné. Ki route
a vubrique. du hréviaire en récitant| EC plus tongue: pour - rejoindre Je
neuf praures consécutivement ; CoOUsonINalen,
lecons en-l. H prend/echose tr
prétente que dans; route: fa pis dispondiedse, En
y a trop “de. ven-i fo on ecoûtail FT84 soux ‘ji
AUS messes chantées des fêtes dou-
bles mineures ot Semi-doubles, pen-
ilil.les octaves, Aux, Quaire- l'emps,
sutx. Vigiles et aux férics de l'Avent
et. du Curôème, quatre .cierges SufT-
sent” Aux messes chmftées .des.fé-
Les Simplés-et aux féries pendint
laide, deux cierges, peuvent Suf-
fire, |
“+
ait Canadit © :
1
Jes
suite? sous le
son brévitire il
vois ee qui de Fait eherehôr et; boisseñu pour Hansporter Je Dé
lenillbter et Jui eceasionne untiiusqu'à New-i ork, par Voie de |
y
Îfalo el des chentins, de fors 16,65
par hojssesu jusqu'à Montréal par
la baie Goorgienne, ol 1545 .
voie Mnvide instu'à Montréal
corc.: Les:quantités énormes de blé
eanadion exsporiées par MNow-York
pavaient done f fatcsou cet 2 1-2
Sous par héisseut de‘plus que si
elles avaiont suivi kr roule 44 plus
“ourte,
perle"de temps?
L'on née peut ceuser he Foute véet
nielle de prêtre qui récilerail ain-l
si son brévinire, Si ee prôitre n'a
pas de. bréviaite ronvenable, ‘qu'i
s'én proeute un au plus tôt, De
plus, le tenips qu'it perdra eh cher-
chant où en lenilletant ne peut é-
tre ‘considérable, el il va mille à ,
parier contre un quete prétre doit! Diverses enuses expliquent «clte
verdre- bien d'antre temps dans léfanomalie, Rendu # nos poris de
courant de la journée. -, mer, le blé canadien paie environ
Fr - rt {rois sous de: plus pour atteindre
‘De quelle couleur un prêtre doit- d'Europe que lorsqu'il était rendu
, . Pre aux ports smcricains, En un not,
il se servir pendant les dimanches lès compaentes de navigilian trains
de l'Avent s'il n'a pas de viniet?—| 205 COIMPEBRINS CC ER EAN n trans:
Re D * atlantiques chargent {rois sous de
tplus par baisser pour Lransporter
Île blé le Montréal à Liverpool que
dr Sew-Vouk à Liverpookt Cotie
discrimination est en grande parlie
idue aux congrignies d'usdirance
inertie dont les (ET que 4 route
. ‘ du SaintLainment ont de 4% pot
y Après id “Muuda cor meum” qui: coul AT le 4 La
précède l'Evangile, le urètte doit-{ dé Newark. Poriland paie même
il haiser l'autel avant Ja leefure Gui {5 pour cent de plus que New-
le chant de Fhvangile et NT I Vork, | . L
ch En scene io, JE va gucatucs
Non, canons" les élévateurs gitués à la
: fôtr des Grands Locs pouvaient ete
4
ni
Qu'il se praeure un .ornement
violet fu plus vite ct en atténdifit,
aril s'adresse à son tvéque qui.
ent vas de nécessité meut dispenser
de fueouleur des ornements.
til permis à un prâtre d'assis-| {heposer
ster aux funérailles Sun proies ot los élévatenrs canadiens bâtis à
land èt aux résémunies qui se font os ports de mer, mains que #0 mil.
dans l'église grotéstante avant l’en-|figne, La.sithation s'est un peu min
tevrement, et eeta par simple eurio- {| ifiée aujourd'hut, naiss vas” sub-
SET É tahlicHlement encore, D'où l'on
Non, : {voit que le egnduil par eauet
unge à ajoutef, |
|
200,000,000 de. Duissouux;!
‘
|
Montréal Duncan Mafshall, au-
cien aninistre de Fagrieuiture dans
le gouvernement le FAlicria, prar-
lant à Montréal, dit que Le projet
gouvornemedtal d'acorder des oe-
rois à certains vaisseuux de Al
leumpuasnie Peférson poin combhat-
tre La combine Nértli. Atlantic
{Shipping dininuera dé #5, 4 88,
par tête le ‘pris ‘du transport dei
rhestinus, et ec sera Je jus brand
pas fait depuis longienps-pour 6n-
L'étuvage au pays
eme Le, :
4
4
: courager
L2n
L'Assurance. contre la grêle a
‘ün surplus de près d’un de.
à, dres "pendint. Le dern
|
|
|
{in prêtre on Curé doil-il refuser |
Pabsolution à un paroisrien s'il ne
paye pis sa dime, étant ,eapable de
lo ‘faire? ot
Bien, des..circonstances sont à]
considérer avait de refuser Pabso-
lation À un pénitvnli Le mieux,
duns.un cas partieulier est de réfé-
vers Li chose à l'évéaue el de .Sui- |
Vre Sa direction. j
|
le di monopole américain de na! clamations
i gation
ivires doivent ntiendre Leur four
6 ‘. v:
passe notre blé se rébrécit tout d'est 7 million
cours à partir does Grands Lacs, i OT ge ° oo
qu'il vu congestion, ct qu'alors le Saskatoon, - fAssorialion nue
blé doit prendre La roule amévi-| midipte contre x grêle montre,
eaine, Celle différence énorme en- dans soi rapport un surplus nel
re les facilités d'enireposnse à al de 8480,582.65 das Pexereico fi
tète-des Grands Laës el à ne ports {naneier de 1924 Cette sommé 4e
de ner explique eh partie Fempriljontée au fond de réserve des re
| porte ro réserve de
vipalion sur les Grands /Laes quil lAssocialion à SE600,000. ;
charge des Eux de faveur pour Les Les portes Pan dérnier. ont été
norts américains el des daux exagé- au-dessous de 1 movenne, soit
rès pour les pérts ennadions, Elle ls51@107.47, correspondunt à 4,443
explique aussi que de Montréal à {réélamations, Vu le bôün état des
Liverpool les compagnies de navi-lfisanees, Le taux de Pusstiranee Va
doivent ‘charger des Laux ètre diminué. [ os
plus élevés quelduclois, eur les na Pour répontire anx voeux forte
allés l'an dernier, une échelle de faux
nton, les terres va-|:
Montréal, of ainsi 'eñcourir
penses nuls, | .
Eufhr iv areel autre fui sh
gnaler quete poft de Montréal ct
+ colui de Ouéhér sont fermés Phi
muñiesions l'acites ei à bon mar! vér et qu'ainsi ils perdent Dear
ché ut d'v attirer les flots d'immi.jeoun de clifitèle après lt fermetue
jaralion par utic publicité retentis-ire de fa navigation, ‘
safe. ; LE PROJET SCOTT
| Dour reconquérir tout ce trafic
que nous perdons, M, Scott pré-
seute au gonvernement une poli-
que bien définie. . Tout d'abord, la
construction, entrepôts à des en-
droits stratégiques s'impose, Le blé
suit los Hignes délévateurs les
mieux oûtillés et lescplus: vastes
AL Hall a dé | En second lieu, if faudrait se ser.
lelarc.atu premier œiuistre que les vi du ‘Transcontinental, pour
lénuénieurs du Paeilfiqié Canadien | ransporter le blé de l'Ouest jusqu'à
el du Canadien Nélional accomplis. { Québec et à Saint-Jean, En 1916,-le
étend un travail acuif dans l'affaire tarif de ce chemin de fer élait de
de li construction du chemin de,Six sous par boisseuu jusqu'a Qué-
ter la Rivière ln Paix, et qu'a- [bec et M, licid, ministre des che-
dant longtemps. le rapport des in. {mins de for, déclarait alors que la
sénieurs” des" deux compagnies | Compagnie réalisait un profit, Ce
pourrait être soumis à leurs prés; V'OÎiL s'évaporait cependant: lors-
ients respuelifs, " [qu'il fallait ramener le blé jusqu'à
. - Montréal et-passer sir les vois! fer-
rées d'autres compagnies. M. Scolt
propose donc au gouvernement d'é-
tablir sur le ‘Transcontinental qui
_. . or est l'une, des voies les mieux cons-
Hawa. — D'après \lorlow A itruiles dit pays des taux de trans-
rs Dep M Nations tort de la Pose Qu. NIQ. du Cor
pour le Pacifique Canadien, il nous beau. qui sont en vineur jusqu’à la
pour le public. Cest un inimense
ilravail, Notre .-députalion, dans
j quelques semäinés, le citcra en n-
bondance lorsque -le gouvernement 1
présentera une Joi nouvelle desti- que, dans tous les.cas, il fabdrait
née à amender.et. à modifier l’an-:l’essayer en conseillant aux che-
ciehne législation des grains, Mais |mins.de. fer canadiens d'avoir des
il est une pañïtie de ce.rapport, cel-| HAVITES disponibles ‘à St-Jean, en
ke que Pon doit. à M. Je G. Scott, de hiver, aux mêmes taux qu'a New-
Québec; l'un .des commissaires, qui | York,
est d’un intérêt. hational et que l'on | us de l'entente de la Passe du Nid
doit réellement semer à tous les {du Corbeau, sur le blé, les grains,
vents, EE ila-farine, $e terminent à Fort Wil
D us iliam, ne servént qu'à apporter du
COMMENT RECONQUERIR LE |trafic à la route américaine, et ne
TR ANSPORT''DE NOTRE BLE Ra continuent pas jusqu’à nos. ports
Co te | crade mer ouate M
ME Scott a”étudié, en effet, les | AL. Scott parle en dernier licu des
moôyens que ‘notre nays pourrait
employer pour : reconquérir le
transport de notre blé, larracher à |
nos voisins les Américains, ét pour :
faciliter l’accës “des ports de mer
canadiens aux:.produits de lOuest.
L'enjeu de la: bataille à livrer est ! so
une somme, de: 145 million environ , sorbent le prix'presque
dont se’ gonfle éhaque añnce le
gousset de lOntle Sam aux dépens
de nés compagnies, dé navigation
et de. chemins de. fer, de'nos ports
et de nos villes :. : Tr
Cest un fait trop:poti connu, Le |
blé des .pralries. s’en va en Europe
par. l# routé. américaine, De ‘Fort
William'et:Port Arthur, il oblique
vers ‘le sud, :dépasse A. frontière;
gaëne l’Atlantique”ct ensuite, FEu-
rope. . En, 1921-22, les 1
UE ES
|
{
i
| dus .dé-
sf
il
d : ;
avant In ‘colonisation !
ns — Î
On s'occupe duchemin de fer|
‘ de la Rivière la Paix
i 4 c'en preenenns
Edmonton, Alta, — Grant Hall, |
Sice-prés. du: Pacifique Canadien, |
ju eu une entrevue avec le prettior
iministre Grecnfiell.
LT
Le poisson canadien à l’étran-
. È ger ‘
qq
serait aisé d’expéditr en Europe tête «les Grands Lacs. Au feu de
le poisson frais de‘ nos pécheries, |" SOUS. GAINMTIOnES, A Québec,
comme: aujourdhui, les taux ne-se-
raient plus que de 40 sous. soit la
moitié environ, et le CN,R, réali-
serait encore des profits puisqu'il
en véulisatit en 1916 avec un tarif
de'6 sôus, par boïiseau. I pourrait
imposer un tarif.de:11 à 12 sous
d'Armstrong à StJean,:et ainsi le
fermicr.de l'Ouest-économiserait 10
-à 13 sous pour rendrg son blé à
l'Atlantique. Et la nouvélle route
établirait. sh suprématie sur les an-
ciennes, surtout’ sur les roûtcs amé-
ricaines que nous fréquentons si
régulièremnt auiourd’hui:. M. Scott
croit qu'une telle échelle de tanx
de transport est possible. 1} ajoute
et d'y trouver ‘üñ
saritageux.
| marché -fôrt a-
: _ æ
Comment s’y ' prendre pour
expédier notre blé par ter.
ritoire canadien
; a 1 6fe e
Le rapport de la Comihission
Turgeon qui a étudié dans tous ses
détails le commerce canadien des
grains, est maintenant disponible
|
4
#&
et'àa 1,175 milles de
4
n'est qu't 450'millés ‘de 1
de la -Paix.° " L
Pour diminuer.
consgille aussi" d
dé-Nid
rois; quarts: aux ports du :
RSR st
Pacifique,
, »
Es
+ sr
PU
La pensée: lindigiie ‘que des l'
taux de transpôrt vers la Colombic-
| Anglaise, cl spécialement ‘de -la-ré-
gion de‘la rivière dé‘la Paix. Cette
région se.trouve à 1,850 milles de
: Fort. William, par chemin de fer,
: Vancouver, de
sorte que les taux dé transport ab-
rbent | complet du
blé. Il-cst fngile. de Her. cette ré-
| #ion avec Priuce-Rupért, en‘ligne
directe, car ce port dela Colombie
a rivièré
Un
À le: coût: du trans-
port: du'blé pour ‘#Albertn ct ünce
partie "de.ls Saskatèhewan, ÀL Scott
tu: imposer les.tinx
Nid di Corbeau -sur les voies de
la Colombia Anëlaise qui'se rendent,
4" à
nu “té dressée, plus ou moins clevés
solon quel distiiet à été plis ol
auoins dévasté par a grèle- depuis
ftraus. EU a six distriets, ‘Datis
le district 1, 50: muuicipalités ont
Gé axées à Je dde, l'acres dans le
distriet 9, 20 municipalités ont été
laxéos À fle.s-dans fe district
5 muaricipalités à 1e. dans le dis.
toiet 4.4 municipalités à 15e.;.92
nuniecipalités dans Iè disiriet AA à
Ze, et 8 municipalités à 4e. dans
le district 24,7 r
Si on avait chargé un lats uui-
force, il aurail-&té d'environ 10e.
conparé à 180. en 1923.
L'an dérnier 4 avait 118 imuni-
cipalités dans l'Assoëiation: elle en
compiler. 122 celle année, -
CS
Un juif d'Edmonton deven
général chinois
Edmonton. -— La eapitale. de
L'Alberla a rocu Li visite dun de
ses nancivons habitants, le juif Mor-
ris Colren. Get mnbifleux fils d’A-
braham était sergent däns. ni ba-|-
laillon canadien à In fin de Ja gucr.
re. A son retour à Mdmotnton, il
se mèls aux Chinois, apprit leur
lingue, dévint leur consvillér, leur
avocat, 1} pârtit.un jour poôur, la
Cine, el un an après il était deve-f
nu général de l'armée chinoise,
. ne
es NE
Une nouvelle lubie arnéricai-|..
ne ser
Washinglon. — Un mouvement
contré le tabac qui, croit-on, attein-
dra les proportions Ac li campagne
contre les buvettes, sera. lancé à
Washihgton au cour! , de-Ïa semaine
{où -auront lieu les cérémonies de
Vinauguration du présidéent Coolid-
ge. Une convention élaborcra un
progranune d'action... ue
Des millions’ de trav
lontaires et des millions de düllirs
sont nécéssairés,. dit-on l
mencer la-campagne, . .
Le büt de la convention sera de
tats-Unis ‘et’ d'aviser aux nteilleurs
Phabitude de 1
bit lu ,cigarelte ot du ta:
bau, ‘ Don
+
Le plus long tunnel‘ d’Améri-
oo que
tes, nee Lori ie _
Le-tunnel‘Moffat, dans les mon-
tagnes du Colorado, dont It'eons-
truction‘est déjà moitié terminée,
sera, lorstqu’il scra complété, lé'plus
long tunuct d'Amérique. .
gueur sera de 6 milles. Le-vecord
iusau'ici détenu bar le Pacifique! Ca-
nadien avec le tunnel Connâughl
forage “dû tunnel - Moffat donnera
da. route’ tran$continentale. la’
courte aux Etats-Unis. 2."
Le tunnel du Pacifique Canadien
plus
s
«
pratiquer ‘par
Suite. d’attiquer le g
plusieurs "endrbits ‘"simultadpème
UE
5
DA
ailleurs vo: |
pour com- |"
foriner en fédération toutes les or-
ganisalions contre le tabac aux Fe
moven à prendre pour ‘déraciner
a ‘Jlon-
va ainsi passer aux Etats-Unis. Le,
au Denver and'Salt'Lake Railway,
‘est considéré ‘bar'les. ekpoïts £om-
Me.un chef d'otuvre de. construc-
tion et: de’ventilation, ‘Les ‘Améri-
‘Gains: noñ seulement ont.jugé bon:
Aladopter. le système. de - forage
"a ” le Pacfique” ‘ êt
qui. con$sisté- conimencer: par--un:
{unnel “pionniér” permettait: En)
rand tunriel ei pal
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LT eee er
Nbre sul;
1 long
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Albért.
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NOUVELLES EN
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beaucoup de mal à lui sauver la vie
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compagnies d'assurance “Qui :SC- pareil pour: cinéruntoen el 15.
raient. responsables de tout de éri fond dus mers Lu Se hier le À
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emmener: d
CEE
ranco-Gananie
SEE NES
st-Boniface, Man. — Les %4,
évrier les cémimissaircs d’é
et 2 A languc franenise du Ma-
nitoba tenaient leur premicr con-
crées, Les séances avaient. lieu le
<oir seulement, car dans la journée,
les délégués assistaient aux séances
de la-convention générale des com-
missaires de toute la province, qui
se tenait en même temps à Winni-
pee _ _ D
e premier spir, les commissaires
se font contentés d'étudier les ré-
ion de Winnipeg, comme ils a-
Varent l'habitude de le faire les
années précédentes. |
Les deux autres: séances ont été
honorées. de. la: présence de S. G.
Mgr. l'archévéaue de St-Boniface ct
de SG. Mgr Charlebois, vicaire
Apostolique. du Keewatin, de passa-
ge à St-Boniface.. Pa
!
M: L'ABBE SABOURIN
A la sance du 25 au soir, M. S.-T,
Dusseayit, président de TAssocia-
tion. des Commissaires,” souhaite Ia
bienvenue ‘aux nombreux délégués,
explique brièvement le but du con-
grès, puis donne:la parole à M. Pab-
bé Sabourin, visiteur des écoles,
Du choix des instituteurs
Le conférencier traite de Ja ques-
tion si importante du choix des ins-
tituteurs. oo 7
‘ Les commissaires doiveht appor-
ter Je plus grand soin dans le choix
de d'instituteur de leur école, tout
comme s’il s'agissait: dé l'intérêt de
leurs propres enfants.
Qu'ils soient catholiques et francais
: “, # '
fl y a deux. grands poinis. fai-
bles chez nous; la formation -catho-
Jique ct la. formation canadienne-
francaise. Pour y remédier, il est
absolument indispensable que les
maitres ct les, maîtresses chargés de
former nos cnfants:soiént vraiment
catholiques ‘et canadiens - français
dans Jeur intelligence, dans leur
volonté. ét dans leur coeur, Cèla est
plus nécessaire que partout ailleurs
ri
ici, où nous vivons mélés aux An-
Ÿ ba
glo-protstants, ” :
Qu'ils soient-de vrais éducateurs
H faut'parler a cocur des en-
fants; leur apprendre 4 vibrer en
face de tous nas intérêts religieux
et nationaux, à -estinfer par dessus
tout.cé qui concèrne la religion ct
Ja: nationalité. On ne veut pas ce
que l'on ne connait pas:'on ne fera
‘junais. s’émouvoir lés : jeunes : pour
“des éhoses qu'ils n’ont pas appris
âaimer, ie oct
nt i x D 1,
D'où l'importance ‘d'avoir -de
bons instituteurs ‘et institutrices
.Qui inculqüeront ces principes .et
a
cc: ntimi CRE s Glèves, ‘qui nel -., | VD en pes
es sentiments à leurs élèves.‘qui ne | Moyens d'aëlion el coopération
L
sèront pas seulement instruits, mais
auront. la : volonté. de ‘former des
petits .Canadieñs-français fiers de
our race et. de leur religion, :.!
Qu'ils aient la mentalité voulue
‘. Le choix de linstituteur est la
fonction la plus. importante des
commissaires, ‘Ils: doivent prendre
des renseignements -et' s’entourer
tle, toutes les précautions voulues.
H ne suffit pas qu'ui candidat ait}
not f is pour offrir toutes :
Fe rançais vqur offrit ME acquitter toutes les charges,
nes personnes catholiques et fran-:
‘ çai$es n’ont pas: la mentalité vouluc !
es. garanties nécessaires, Certai-
pour donner -à nos enfants la. for.
mation, ‘que nous désirons.
* Mi Vabbé Sabourin aborde ici le'
problème: de.certaines. conmunau-
lès’ qui n’entrent pas. suffisamment
dané és, vies des parents au point
de “vue. de: linstruètion française,
}l'conseille aux commissaires, dans
£e, cas, de parler. énérgiquement
aux religieuses; de faire valoir léurs
droits et de leur’ signifier claire--
ment ‘que, s'ils'n’entendent pas lnis-
ser ‘angliciser leurs enfants par les
anglo-protestañis, ils'ne petvent to-!
lérer” davantage que Je même tra-
vail-soit fait par des religieuses de
leur langue et'de Ieur foi.
.: 7 Qu'ils soient apôtres. |
'
peut-être apôtre dans sa classé tous |
oblique -peut. dus-
nl
on:a obtenu que l'Histoire dû
anadà ‘soit enseignée ‘dnns. les éco-
HT frahcaises dès le IVèine grade.
de
“saires avées lex:
titutéurs.
as Commissai
solutions présentées à la conven-
‘tuteurs,
| Les commissaires doivent dèfen-
‘’i doption d’uñ:
| La coopération principale qu
l'Association attend des commissai-
| Sa Grandeur Mgr Béliveau, s’ap-
Les. preniiers
(à.
DS
D ©
LE ES
res dé
4
| og!
ü
ns !
S Ans
Choix des commissaires
°Jl commence par parler du choix
des commissaires, auquel on de-
vrait apporter autant de soins que
lorsqu'il S’agit de s'assurer de bons
serviteurs. 5
Choix des livres
. Les commissaires ont le devoir de
surveiller le choix dés livres pour
leur bibliothèque scolaire. I y en-
tre généralement beaucoup d'ou-
vrages insignifiants ct frivoles,‘par-
fois hostiles à notre langue et à na.
tre foi. ,
L'année dernière, les commis-
sions scolaires qui “ont demandé
des livres français en ont obtenus.
Choix.des instilufeurs
Il y a de graves inconvénienis à
changer trop fréquemment d'insti-
t . Avant. d'engager une mai-
tresse ou un maitre nouveau, Îles
commissaires doivent s’enquérir de
ses origines, de sa formation, de:
ses antécédents. de sa conduite à
YEcole Normale,
Devoirs des commissaires
La formation religieuse et mora-
le.est du ressort des commissaires.
La demi-heure de catéchisme ne
doit être écourtée sous ucun pré-
texte. . ‘ -
dre les droits des parents contre
les -empiètements de lPinspecteur,
surtout en ce qui concerne l’enga-
gement de Pinstituteur; maintenir
l'union et la bonne entente dans le
district; s'intéresser an concoërs |
français annuel; visiter l’école: de
temps en temps, etc. éte. '
. En terminant, M. Marcoux -adiu- !
re’ses auditeurs de ne pas laisser
diriger Pécole ’ par inspecteur ct
Pinstitutrice qui ne sont que les
subalternes des commissaires,
M. HENRI LACERTE
M. Henri Laccrte,. président de
l'Association : d'éducation, définit
les rapports qui doivent exister en- |
tre les commissaires d'écoles ‘ et
PAssociation, ° :
Rapports intimes ”
L'Association d'Education cest:
l'organisation des pères de familles,
en vüe d'assurer aux enfants fran-
co-catholique unc ‘éducation catho-
ligue et française ce que l'Etat ct
la lôi négligent totalement, Les
commissaires .du point de vue de
J’Association, représentent Île trou
penent..des parents franco-catholi-
ques dônt les, enfants fréquentent
lécole dans. un territoire détermi-
hé. Les rapports entre: l'Associa-
tion et les .commissäires ne peuvent
donc manquer. d'être intimes.
Les principaux moyens d'action
de l’Association comprennent l'a-
programme d'études
français, la: nomination d’un visi-
teur des écoles, l’établissement d'un
concours de français pôur. les é-
.Jèves et de cours de pédagogie pour
les. instituteurs canadiens-français.
que
res, dit-il, est celle-ci : quand ils
ont accepté ln position, ils doivent
MGR BELIVEAU
puyant sur une pärole de Léon XII.
a affirmé.les droits des parents sur
‘l'édutvation de leurs enfañits.
instituteurs, dit
Mgr l’archévèqdue de St-Boniface,
sont les parents, qui délèguent leurs
droits aux maitres, et:aux maitl'és-
-ses.. La première injuste violence |]
repousser est donc celle qui .vou-
drait sousiraire aux parents le
‘choix. des instituteurs. S
‘l'affaire des commissaires, repré-
lsentants des familles. ù
pousser énergiguement tonte ingé-
rence du département de linstruc-
ition publique et des inspecteurs,
‘sans craindre les petits incoñvé-
|nients qui pourraient en résulter. .
| , Conclusion
“Ce. premier congrès, écrit M.
Frémont, dans li Liberté, a eu un
succès réconfortant, : C’est un nou-
veau chaînon dans le travail de
‘défense. que nons forgeons autour
‘de nos droits scolaires. Nous som-
mes en droit d'attendre beaucoup
-de Ja nouvelle filiale de l’Associa-
tion”, —. . LE, :
l “En effet, dès le second jour, lé
corgrès. avait sanctionné le projet
“d'affiliation .de l'Association: des
| commissaires d'écoles avec: PAs
sociation-.d'Education. .
uant au travail pratique de l’As-
lique an
in liste e
scolaires. :
en ne —m'tt 7
Mgr Béliveap se’ prononce
outre les” écoles : cansali-
a, à
8
cependant révélées seules efficaces,
auidable assaut contre les bourses :
RD
[res
Ceci estiq
Hi faut re-|ré
LE
alors: que les grandes éca-
les ont été un immense fiasco, Qn
veut détruire action directe des
parents au moyen de la municipali-
sation et de ln consolidation des
écoles. La consolidation est un for
,
celle a fait augmenter les axes sco-
laires de 300 pour cent, sans comp-
ter qu’elle est préjudiciable à l'hy:!
giène physique et morale des en-!
fants. fe n'a pas donné les ré-
sultats qu'on attendait dans l'On-
lario, comme le prouvent les pa-
roles prononcées ces jours-ci à
an tetévupereurmeenma er emrgen tone re ennemies ngeq
| LES NOUVELLES .
‘ CHEZ NOUS ET AILLEURS |
M. J. À. Marion réélu prési-
dent des commissaires d’é-
coles
Winnipeg, -— J, A, Marion, de St-
Boniface, à élé réélu président et
W. H. Cox-Smith secrétaire-tréso-
rier de l'association des comimissai-
res d'écoles du Manitoba. J.Gib-
son, de Virden, a été éhi vico-pré-
sident, | À
: . Une résolution demandant à. l'as-
sociation de s'opposer à la recom-
mandation de Ja commission dfur-|
ray relativement au prolongement
dés études à, l'école normale .a ‘été
battue,
La convention a adopté une ré-
solution demandant l'établissement
d'un bureau pour l'obtention et lai
distribution de livres de classe
dans les écoles de la province, Une
autre résolution recommandant une
assistance spéciale aux écoles dont
les finances sont en détresse a été
également adontée, *
en ee
Des plaques bilingues au Par-
session, l'hon. Rodolphe Lemicux,
vrésident des Communes, n fait
remplacer tous les indicateurs en
carton par des plaques de cuivre
rédigées. en français ot en anglais. |
Parce que ces indicateurs ont un
caractère permanent le président
dés Communes’ a tenu à ce qu'ils
fussent bilingues. [1 convient aussi
de signaler que l'on a iraduit avec
soin Île icrme anginis. ;
C’est “ainsi que l'historique
“Press Gallery” est inaintenant dé-
signée par la formule bien fran-
caise, “Courriéristes -parlementai-
Le barbarisme “Privé” se traduit
maintenant par “Entrée particuliè-
re”. On a traduit ‘“Sessional pa-
pers” par’ “Documents parlemen-
taires”. | |
Cette heureuse innovation qui
restitue'au français la: plice qu'on
lui avait temporairement énlevée est
accucillie avec admiration par la
dépulation et: les : visiteurs.
ares mm LE Emmenrnne mme
S,-: : es 14
" Ce geste du gouvernement .cana-
dien est fort apprécié des hauts of-
ficiers çcanadichs - français, car
l'état-major sanctionne ainsi ‘une
loi fédérale qui oblige’les membres
du service national d’être bilin-
ques. D “ , re, ‘
Nos jeunes officiers canadiens-
français, la plupart bilingues, se
trouvent ainsi mieux qualifiés. que
‘béaucoup de collègues de l'armée.
‘ SE nee + u
‘Pour livres de récompense
choisissez des livres cana-
diens ”
qui ne permettra pas la danse pen-
ant. les réceptions de l’année, :
<' Gette décision a été cannue à une
récente répeption royale.
réception, il.» 0
Mhabitude, un: concert qui s'est pro-
_ pendant une héure: ‘puis la [QU AVAL pi in,
EE Fe leu. d'inviter line Ps Ait ‘pas qu'aucun ‘nouveau cardi-
; : présentes à danser, a’ an-|nal soit: créé. j'Le Saint-Siège. ne
personnes présentes à: dan, A “ain | créc - généralement pas. de. cardi-
cour, durant toute l'Anpée ainte. naux pendañt une anñéé sainte,
noûcé:qu'on ne dânserait. p
Le - ,. ? : 73
et Mme Ronquette
- Aprés Ia me les cuferses Cérémontes ltrument: A AR
out, couûfie c’est dé. canonisation, Sa Sainteté Pie! “Li.dcssus, a aiouté Primo de Ri. |
vera je mé rehdis à Madrid êt îe |
prévins le gonvernemént ani ne fit
LE PASRIOTE DE L'OUEST, Mercredi le LT mars 19257 ù
Due te ne na a 2 D M 8 AE D
en nt qe mb RS ee SU 00e es end bn eq
FUM
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{
4
à dun ot me emeqmn ee ppt 2e de à msn er nten eg
Winnipeg par Le Dr Cody, ancientee que cette année unt consaerie à
ministre de Pfnstruetion publi-{la pénitence tandis que FEglise se!
que dans celte nrovineu, On s'est réjouit lorsqu'elle élève Fun de ses
ee 0 + dé ed
Ï
apereu que ce système avoir le :évèques au cardinal. |
même programme pour les enfants CR Ce ETS ‘
des villes et de In eampagne ane Une religiense-poète };
nait falalement li désertion de la lue ee i
terre el on l'a abandobné pour ve. Ottawa, — Seour Movie Fhomms à
venir à un prograntume plus ra-, d'Aquin, directive 4e
tionnel se limitant à quatre ou einq{leaune d'Are d'fHiawa, virtuel de pis
suiots. blier un petit one de pabsie UtrR
È Lt ent : : * pse ae MOMIE SVT
La munieipalisation scolaire vise nn UNE Vers % en, |
à tuer les petites commissions en [fait suite à “Vers le Hien paru it v!
contralisant, alors que Je véritable [a quelques unnées et est Pavant
progrès consiste à décentraliser”". coureur dun troisitne: Vers le
vrai,
—— Voici ce qu'en dil dans le D»-
voir, M Joles Tremblay d'Otinwa:
‘A côté de midvrerics qui semb'ent
tre commandées par les circons-
ces, pièces d'ovéasiôon et vers tron
aisément alignés en rimes nécessi-
teuses, des poèmes se montrent,
Jfremnplis de bonne sève et de fortes
idées,
“Des retouches sont à faire; mais
malgré ses trop fréquentes uon-va
leurs, Ses inégalités, Vers le Beau
. ne dément pas toutes les promesses
Montréal. — M. Louis Frédéricide Vers le Bien, Le. derniér livre |
sont aeluelle- | de la trilogie les vemyliva, n'en dout
ment en voyage de noces au Ca- [tons pas, ent Maric-Sylvia est assuz
nada, °M. Rouquetté profite de ce | riche pour ne, pas éviter Jes vois en
voyage, pour faire une pttite en- neignoir que “le bon Saint-Suëni,
quête sur les sentiments. des Cana. | poète intéressant à ses heures. ape
diens vis-à-vis de kr France et pour pelait des devoirs 4 harmonie, .
interviewer quelques hommes.d'5- |. Et M. Tremblay ajGtte: Mavie- |
at. M. Rouquette, qui à fait ptu- | Svlfia a gardé hi poësie de son il
sieurs fois le tour du monde, con-}me’sans permettre à ses malus dû
nait déjà le Canada; il a écrit deux [rester oisives, Elle a édifié, ru
bouguins sur notre pays: “Le grand | Sussex, un poème de pierre et de
—
Un journaliste de Paris en vi-
site chez Mgr Grouard
silence blanc” et “La bête errante”': brique où des jeunes filles esseulées |
il en prépare un troisième consa- | bar les hnsards dé la vie viennent
nuiser l'inspiration d'une vie chté.!
dans tienne; elle a prodigué sais comp
ter Les, travaux, de sa charité.
était juste que ses loisirs fussent
cré à l'oeuvre des missionnaires O-
blats de Marie Immacnlée
l'Ouest canadien,
"M. et. Mme jRouquelte sont en
route pour Grotuard où ils vendront ASE de pate rêve «le
visite à Mgr Pierre-Emile Grouard, ° “* “.
L'opinion du maréchal Foch
sur les préparatifs de guer-
O.MI,, vicaire apostolique d’Atha-
baska, Ils feront ce voyage sur
le ‘chemin de fe National Cnna-
dien; de Grouard, ils irout à Sent-
tie en passant pur Jasper Park et re allemands
Prinec-Rnpert, buis & Vancouver me à
pour revenir dans la province del Pauis, — Le Conseil des nmbas-
Québec, . | sadeurs a enteudu de rapport du Co-
Te +0 em mité de guerre allié an sulet des
Les élections présidentielles violations du traité de Vaèrénilles
par PâAlemagne, .
en. Allemagne le 29 mers Après Lecture du rhpport par le
7, = | maréchal Foch, le Cofseil 4 des
Berlin, — Les élections en Alc- matdé au Comité de Cuire les sup-
magne, pour choisir un successeur {ucstions qu'il croyait-propres À n8-
au. défunt président Bbert, ont été [surer le désirmeinont de l'Alema
fisées au 29 mars 7. gne selon les termes du traité de
Les dépèches. sont contradictoi- Versailles. Fe
res au sujet des funérailles du pré. | Dans les cercles ‘diplomatiques
sident Ebert: les unes disent qu'el- | n Gonsidère cela eoïnme une preu-
les ont eu lieu à l’église catholique ve que les ambassadeurs étaient dés
et d'autres à église luthérienne. | ià persués ie quelque chose doit
Ebert était catholique de natissan Eétré fait pour obliger l'Aomägne à
ce, mais étant devenu, socialiste, Ltenir ses enanfg@inehts., Lo
il .p'avail pas pratiqué $a religion Le maréchal Foch el: son, comité
depuis de nombreuses années. 1!sont d'avis, qué le rapport de la
a été inhumé au cimetière Betg à {mission de contrôle militaire mon.
Heidelberg. | de que le, atemnnds persistent
, parti jaliste oct à recuoil [ans tour détermination de miainute- |
7" TR Rae F5 preencile nir des cadres complets d'officiers ‘
monument en sa qualité de pre-
mier président de l'Allemagne.
De PRE
Po : ;
La France ne veut pas d’une
nouvelle conférence alliée
téricure à 11 guérre,
Le Comité pense aussi que non!
seulement lAflonruns Forme des:
officiers dans es Puit juats qu'elle!
entraine 4882, d'hommes panr
constituer une forte armée cute |
pagnes qu'olle edf toute pile
produire des pass enipoicnrnetirs:
qu'elle possède de, tuocdätes et des
moules de-ennon di vos le plus
nerfectionné, tro
4 ame
Paris. — Ttms les cercles offi-
cicls de France, 'on continue de bat-
tre en bréche ln propagande bri-
tannique en faveur de 1 convoca-
tion d’une nouvelle Conférence al-
liée, pour prendre connaissuneu et en él de servir,
disposer des rapports de Ia Com- peu de temps PRE ER k
mission militaire interalliée sur les NS , |
infractions de l'Allemagne au traité Contre les missionnaires ca-
de Versailles. La France répugne tholi ques Foot
à se mettre dans,le cas de délibé- qu d
rer Avee. ses’ anciens ennemis, en
même temps qu'avec ‘ses alliés,
in
Le Cardinal Mercier veut uti-
0 e La ’ ‘ .
“ liser le cinéma pour le bien
Nome, Aluck, - Lin {ubotiqne
association du Ku-Klinx:kKküs (du!
depuis plusieurs années s'aidilé Avec
tant de rage contre Les catholiques
en Amérique), n'oublie nième pas
lés missionnaires ‘éloigs, Mmèénie
näs ceux de lAlnika £Là.conmmé
nartéut'et comme toujours, Ja tac.
tique’ est la méme: frapper les
Î
Son Eminence le Cardinal Mer-
cier, de Malines, vient d’introdui-
re en Belgique uné série de pro-
jactions cénématographiques qui
font «ssister les habilués des théà-
tres aux cérémonies d’une ordina-
tion sacerdotale ‘où lui-même pré-
side, “TI a semblé à Son Eminence,
dit une revue belge, qué pour mieux
faire comprendre ‘aux jcunes gens
et aux fidèles legs grandeurs du sa-
cerdoce et orienter d’une manière
discrète leurs aspirations vers la
prétrise, il fallait les mettre direc-
coles ‘ catholiques, et soustraire à
l'influence et à l'amour de l'Eglise
la génération qui monte, . .
LE gouvernéinent: fonrnissuit 105
médicaments ef une potile shbveri-
lion aux écoles nour lés indigènes.
Tout cela est supnrimf pr une igi
que les K.K.K, ont fait adopter,
mont, S.J., vicaire aypnstalique d’A-
Jasku, une perte de 47,000 par au-
Pi al
, née. à
tement en contact avee les rites de TD
’nrdination sacerdotale elle-même : Fi a P ,
en évoquant devant eux l’ensemble Primo de Rivera A l appui de
cérémonial de ceite fonction si im- ‘toute l'Espagne
posante.” ‘ ‘ '
. Madrid, -— Une dépulation renré-
seftant un nombre énorme d'autres
représentants provinciaux a remis
nn général Primo de Rivera 51 al.
bums portant la signaturé de nln-
*ieurs millions de partisans de Pri-
mo de Rivera et de la politique du
Directoire, . -"
, Prenant ensüite. la navole à nne
grande réunion des Unions patrio-
ti ges, le het du Directoire É rame
le bien, et un fléau dévastateur dans [097 105 CVEngIments qui ont Dré-
les mains de ceux qui le consnerént |; 1 g2g 28 ement ‘qu 13 septem-
à la propagation: du inal. repas
Voilà dé Paction bien comprise
confiée à, une méthode d'éducation
la plus excellente qui soit, Si le
cinéma, mul .difigé, fait tant de
mal, sa püissance est li quand. mè-
me, et il reste de Ja mettre au ser.
vice du bien. "C'est ce qu'a fait le
Cardinal .de Malines,
: Le ciféma est comme les iangues
d’Esope: une invention :merveillen-
se pour ceux qui s’en servent pour
-. |. Le gouvernément de Bareelane
ee ee a déclaré protarment : le nr
“‘enéiatoire rimo de Rivéta, m'a dit alors: “Si
Un Ne ru Fes ou les ‘conflits Actus ne sont nas ré
dés, ie. m'empartiai de tois les
instruments, de.travail annartenant
Ai ,1 te baux patrons et ie reetirai ces ins.
iverses cérémonies truments, aux dlivricrs,” “ *
2 em TT
Rome. — Comme c'est la coutu-
avant, les à
J tiendég. un, Consistoire en maïs
“avril prochain, . Mais on ne.
auclin, cas” de ‘ect avertissement,
L'almée eonmrit 'flors airelle de.
par-| et je fis le pronunciamién
4 #0
"> … “ pe . #
*
Fhustient ve
t
pour une arniée égale à colle an :
C'est jour la mission de Mgr Cnil
vai imtérvénie pour «ihvép lé pays!
#
! 4 vièuie cle ne
Mts qui peuvent Cire Pin ee Los |
J
*_ Mrei à tous noë généreux bienfaitäute. ts Emi.
nntg: perannages. ét ch-inetitutions ont édifiaies v
l'oeuvre eten la survivance française. : N'êtes-vots pas
4 Le Séminaire de Joliette."
CM
l/Hon. Juge Coïsinéads Saint-Lautont, Qué...
un &, ve ARE — !
Patriote de l'Ehiest
ane nmens a anennns anne
Ont droit au titre de “ Bienfaiteurs du-Patriote ”
ceux qui versent le prix d'un abonnement à vie au “Pa
triote de l'Ouest”, c'est-à-dire 525. i
Comme l'existence dés institutions se prolonge
d'ordinaire bien au-delà de celle des individus, elles s'ac
quièront de droit au même privilège et au même Uitre
que ceux ei par une cobsalion de #1 OU,
UN BIENT'AIT EN ATTIRE UN AUTRE
Conterttunnenuise dos cnumrer trois.
ta
Ho Ca open ca fetop, 4 vous et à Padmintifrae
Lio ae journal
et gauee de fFarnin? du boet de fs ns
votre Jouruai est payé pour be reste de ven rai
chaque année, il vous épargne des Frais de mandats
poste où d'enregistrement, ainsi que de correxphite
dance, Dot
Ï Rue deu souci, plus à vous uccunôr de
votre abonnement: plus d'enniri de récevoir tif ott
deux enrtes d'avik, clusque année, d'avoie à faire un
Voyage an bureau de poste 6Xprès puit cela, ele, être
8 tte oaadntambh fs ne moque meme à ME dr
Les abonnés à vie Bienfaiteurs du Patriote.
Ur livre d'or où Te Patriote"
à vie, liurent tes noms de:
Sa Grandour Mgr Maihion, arehèvêque do Régiha
Sa Grindenr Mer Prud'homme, évêque de Prines-Alhort,
Sa Grandenr Mar Langlois, évégque auxilinire dé Œüéhec,
Ka Grandeur Aer allé, évéqne de Uearat, Ont,
Sa Grandeur: Mr P, É Kay. coadfufeur de Québae,
Mgr JL, Bradeur, PA, VU, lrince-Alhert,
Mur Marois PA, VC, Québec,
Mgr JL, Ruuleuu, PA Québoe,
Mur CO, 4, R Mourdet, Pr D. l'eud'homme, Sark,
Mer Je, Bélanger, PD., Moutréul,
Mur de Richard, D, Montréal.
Mgr Plerre Decniles, P. D, Stityneinthe,
Mere L.0 Lafiätome, D, Québec,
N LE, Bbuberse, P. D, Quéher,
M, l'abbé HN. Desmarais, Prinee.Alhert.
M, l'abbé G, Carpentier, St-Louis, Sagk.
M, Hi, Couin, Gravelbourx, Sask,
M, l'abhé Morneau, Shell River, Snak,
L, à. Lauglais, lécumseh, Ont.
Philippe Moudor, Willow Buneh, Sask,
l'abbé V'ortier, Willaw Punch, Susk, \
Achille Chabot, Lac Pelletier, Sask.
Alphonsé Chabot, Lae Pelletier, Snak,
M. Osins Duclos, Vallée, SteClalre, Snsk,
Quatre amis du “Patriote”, Las Polletlor, Susk.
M, le Juge L, A, Prud'homme, St-Honifhce, Man,
Emmannel Breton, Müntiantrtre, Sunk, ‘
Philippe Lerron, Montmartre, Sask, À
Trois autres bienfaiteurs, Montmartie, Sask.
M, l'abbé J. A. Ouellette, dir, des misslouninirés
siteutrs, Montrénl, ,
M. Île chanoine Lattrent Consinenu, éconime de l'Art
chevôdhé, Montréu)l,
Dr. G. A. Henri Dufresne, Montréal,
J. , lrovont, nère, Labrot, Sngh,
Dr. W, À. Plourde, Lebret, Sagk,
Un hntre hionfaiietur, Lebret, Sangle
M, le Chan, 4, B, Houle, Marieviile, Qué,
M. l'abbé HA Hourassa, éilise du SneréCacur, Mont-
. réal Fo tt. nue dou,
M, l'ublé JL Monoré Fréchetto, Ste-Clairé, Qué,
M. l'abbé K, X, Goyoile, Hermminglord, Qué, :": h
M. l'abbé: D, oupin, N, D. du Mt Uarmel, Lacolle, Qué.
AR l'abhé Ed: V, Laverie, quétibe: nn
M. l'abbé LL 1, Lamaréhe, Joliuits, Qué. |
M. Liünel Audet, Sle-Murie do Bentes, Que.
M. le Chanoine © Beaulieu, Qué,
Pabhé L-Z, Lambert, Hennceville, Qué,
l'abbé BK, Murtin, Sté-Anne de la Pocatière, Qué.
l'abbé AS, Deschônès, Miss, Chlonisateur, Qhébec.
l'ahhé A. Fauchur, Québoc | ‘
l'ubhé À Huot. Quéfiur. : |
lahhé PS, Pilehat, Hlftomuald, Qué,
Pabhe 1H, Coté, (nébue. .
l'abbé D, Guron, Sé-Viblor de Tring, Qué,
l'abhé Le, MeCren, St-Cashnie, Qué,
M, l'ubbé AM, Dréapenu, Bippar, Sagk
M. l'abbé P. Grondin, Lévis .
M. Fabhé N, Favroun, Montréal 7
M Phbhé Cl, Michaud, La albuie, Qué
A l'abhe JO foclote, Chüta à Blondont, Qué,
Fou, Pénateur NA, Beoleunrs. tire
volotit-
rérolre, Quéliue,
CRTC DE) -
€3100,60)
;
:
à
.Québèe:
de
NL L..Térreau, Commander : dé Rt-Grégoiré,
ne Saëk,
Qué
M l'abbé Contant, Malsonnduve, Qüé,. :
, :Mnisonténve, Qué,
M.
M.
M.
M.
M,
Jabhé
l'abbé
l'abbé
Les Cléres de St-Viateur, Montréal.
Lé Séminaire de -Quéliee, : ‘7. , |
. Collège de. iSto-Anne-de-ln-Pocntière,
: Dépariement de VInstruction Publique.
Fo de la Province de Québeg:.: .…
… har l'hon, Â. David, Secrétaire Provlactol.
"Les Uraulines de Québec, ». °. :
| -BR. PP. Oblats, St-Sauvour, Québer,
CETTE SEMAINE: : | u .
M. l'abhé G. V. Fehrephjch, Qu'Appélle; Snak,
M. le: Chanoine -Myrand, Oiltuwa, Ont,
Pabhé JA. Curricre, Hull, Qué.
M, l'abbé M, Houx, Montréal.
M, l'abbé Begudoin, Montréal... " . ‘.
A5) l'abbé If. Bernard, ‘Outre ont Qué. 'e
À Er en du
M, l'abbé J..Verachelden, Montréal, , 0" 2
Von. Arthur Card, M É la Marine, Gtésvé,
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li? ‘La'listé reste ouverte.
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Abonnements à vié
15,
Les avantages de ce mode d'abonnement sont mul.
iples.
dm tante 55
4 n
inserit ses ahimnés
aûee en
Sas Le
ru
(F
AU
Là
des conditions rationnelles. On ne du poëte. Hs”n'ont fninais bencé. prononcél., Le souffle en a suse it . . ; ,
peut non us fermer des veux sui four esprit de J'harmouie d'une Ja réalisation, Lenr force n'a jamais été faite Fayonnez!... ravonnez!... va-ltre aucun des manifestants qui sont finitivement,
t les «périls qu'elle offre À ceux qu. page bien pensée ct bien écrite, Les unions paroissiales surgis- que de notre licheté. vonnez!... ee , ne ses amis, Mais in "était pas fier, |. : Parmi, les miracles Atiibués à
Ï dépassent FR but. Ou encore ils n'ont pas lu un vo-[sent partoul... Puis elles st fé- Unions paroissiales de loute la Picrre L ERNITE. Sat majorilé.avail moins de honte. | “saint Pionnier”, ii y 4 celui qui
! Ésope : iSurail, un jour, qu'il n'x lume, une phyr ase, une ligne qui dérent en chaque diocèse, et les a rmrerrrnme a , Pur des appli acissements inoppor- | conf iste à briser los familles en
| avait rien£au ‘mrénde: de incilleut ! semblait répondre À Pune de leurs | diocèses se fédérent entre eux, . tuns, par des rires au MOTS étran- tronçons: alun côté. les vieux pa
que Ja lafeue, Le lendemain i | aspirations ‘cu résoudre un problè- Déja, elles forment une masse... LES NOUVELLES : ses, efleavait presque Fair de trou- |rents hors. d'ustige, dé Pautre les
persuaduits son maitre” que rien [me morgL.dont In solution Lf in quelle masse!., Un mur vi ivant de ver naturels les événements dont le jeunes ét: VÉSQUTONX athlètes du fu-
1 n'est pis. dl oi: va de. méme de La l'quiétäét ! . voitrines chrétiennes... | récit Jui ètail fait, L'ivresse d'être {ur
| lecture. FEV a du pour et au con Que dire? 2 | Songez done!.. le seul diocèse || CHEZ NOUS ET ASLLEU S de: plus, fort conduit à-ce deni .de “Nous, les jéunes athlètes, ceri.
tre en ceutté those, belle-et: bon Prose Luc epianne qit de Paris compte 180 paroisses dont ° touie justice. Anis duel avenit pré {vent des pionniers du: Khaïiovniki
| ne en soisinais que, l’on: proluns re. ou ts science où li é- | certaines: ont des Unions de 500, = — mms # | pare un pareil État d'esprit? Club de, Moscou, nous :sommes en-
| trop souvéilt, unie tant ‘d'au: | ü “ PEER OT ann “ae LE 860,... 1.008. hommes, Multipfiez | — — pags" dans une Jutte sans more
‘tres pareilement bienfaisantés. te et couvert de fle chap SCI ces chiffres par toute la France | Une réunion de 45,099 catho-| Les incidents sanglants de\ | Les responsables du sang ver- contre nos parents religieux."
est nfoire que la lecture es “aste et COUNEr le Le sole les colonies. .… Entendez le: ji R . | Marseille À er “Nous, erivent à PSbestio (ty
u indispens: NE à ‘qûi véut entrete -OUl: COUX qui veu en V -glaner. | Dis .% Ce st Je “catholicisme qui iques à ennes se | méro de Noël), les pupilles d'une &
nir son Bitellect, L'on ne por daélle que soit la portée de lintel- |S'avance. ——— I —— cole primaire, nous COmprenous
: assez déplhrer l-dédain-que pre pence, dans la formidable quant, PERS Rennes, — Les journées “atholi- .e8 journaux de France, nous s ap- Los rgsponsables ‘du sang versé, CE, ce que : veut ire: ètre des pion.
fessent ded'homnes, méme des per h. ré de matiée à live, il y'a juste. | 11 s'avance, masse homogène: ques à Quimper, an Folgoël, à SE aetan des détails sur 1es inc idents sont les chefs radicaux, les Herriot, Pniers, : Nous sommes des garcons
sonnalités Efhportantes, pour. “ | nent Co qu'il Tatit” pour satisfaire Son ‘eiment n'est pas le désir Brieuc, furent imposantes; cecile dt T sat auts de Marseille, ie 9 février les Painlevé, les Chañtemps: les‘ qui he ‘croient ni à Diou ni nu Din.
médium « édnention ct LAl'instrut es Esprits” és plus: Txigéants. | qu pouvoir. .…., pas l'argent..." pas Rennes 1 été triomphale. où deux *atholiques, M, Louis Vian François-Albert, qui ont.sans pro-}ble et qui comptons bien agir on on
tion, Non savons bon nombre & Juelle ques soi lPimpression 4le{la politique." mais là seule dé. | 45,000 homes y ont revend et M déiphrem Ville. furent. Lués, et! vacation aucune, éniquement pou" conséduence, L 1
personnagÿé-@uinents dans la pe -houre, Ten ‘nous ANEENT iristés | Fense religiouse. les, libertés catholiques. Lie défilé RES LRE où, catholiques re és, à |reprimper au pouvoir, brisé P union | L'Isvestin prétend qu'on million is À
hitique et es: Affaires, qui anraier' 2 pi les pistes — 1 itheques, | Aprés avoir été piteusement à la imposant qui se rendit sur Hi place | rentrée ou 600 A sor ie ( une rer sacrée Née de-li guerre, contracté d'enffets sont déjà enrôlés dans les muy 4
iniérét à rénrhter ledrs cognais À CSJUTTIES HAN FAR halanaecs OÙ remorque de partis qui l'ont tou-} Hoche pour, entendre les diseours on le €. 5, Ménérai de Cas si alliance. avec les . sovinlistes de li etubs, scokiires dt que Penscionse 4 nn. M
sances—fufi ce seulement eclle ce “rent touie Var € 1 RPETOPE ié De jours trait, DA ne fut troublé en, aucun instant. LATE Qu gOnerali dc astoi- lutte de classes, à qui ja guerre ; me nl qui. leur. est donné, sv Lému tas "
leur lang el qui font f [oesoin i de Linstan : ‘ | Aprés avoir mis jadis toute #1! “Jamais, dit le Cardinal Charost, pRaU | m'a rien appris el encouragé lan-:tiquement dépourvu de loute pen rar
teeture, Este pardsse [RE Kous'' avons déjà mentionné le Sonfiauce en de vieux fauves, qui tarchevèqu e de Rennes, il ne m'a Ces/incidents-ont été plus consi- |daec des communistes, " sée religiouse, est He gage certain nu
part Ÿ Es des inrnique de. fa langer du'uvre, Nôus avons fou- {ne daignaïont lui accorder leur [été donné de voir un spectacle hy_|‘dérâbles que ner Fannonçaient les Gustave ne RVE, de Pét blisscment définitif du Me
etre purs indolenec? 4 “hé aux périls, de cette “ebose fres protection qù'à l'heure juste où eux- {main d'une aussi inpressionnt inle dépèches, . du journul la “Vieloire" . cholehévisme en Russie ct peut-ctre nt Là
Quette quefsoit la raison qu ‘ils don: HAS en doi’ comme da langue inémes devenaient des descentes de fot relisie use grandeur, ;d'aiété À Toute la eanaille de Ja ville avail A —, lé son expansion dans Le monde, ous: Ji
aent, si lafanestion. leur est posée |: #S0pe dnis quant an en use a lit... Lille. l'évèque d'unw:grande caue ëté”mobilisée par les Comités s0-| Où M. Chantemps se fait |. Un professeur. russe, récemment ce, 1)
cees individus se privent d' uñ agrée repos ef dans les bornes raison. ie" Après avoir ‘hjustésses espoirs à In [ses je suis devennsauiourd'hui l'é- cialistes où communistes CL CnCou- | coiffer El évadé de-son pays et arbi.& à Lon: 1
ment délit eh méme ithps quil inblos. . | | | mesure des-éircophages de Carta [Se d'un grand! pe uple, el ie 1gée par laffiehe révollante du! . … tdres, vient d'exposer au Times (nue vu nn
se déteuragot.de ce qi tr sort". : Hoy a de très manvais livres ines momies}... la. masse eatholi- in° aurais pas éru qu'après avoir été maire, C’est surtout la sortie qe \L Chaute ; Tour. ,p. néro du 1er janvier) 16s ravages À
une dorce et un appui, OU s'agit & | "est prouve. Pour etre ainsi. ippque ? édevient vlle-mème. à Ha peine. Dien nraurail anis par Iles tipachés ont donné libre car- , C tautCMDS, ministre de Pin que Cause, dans éf patrie l'enseigne. SN
. videmment-dartePuspice, de L | rest pas nécessaire qu'un véluime Elle se réconnail et elle croil eh lvous, autant à .Phonneur, rière à leur Ice férocilé. AU Leontinue ses le cabinet. Ierriol,, mont sans religion qui x. ost maintes
" Jegture sérieuse, en rapport avec ls où obscène ou le nuture, à éveil, vlie, “ “Aucune éloquence-he peut égn- "€ que de pétits”"sroupes ou,due de continue ses Chauctes Jndiserétes” nant denné, “De tous les poisons. *”*
citualion destes Dersétines, ehoisi { er des pires passions: Nul serpent | . BLE: .…. [ler celle de'cette assé: lée imnien- ratboliques isolés se détachiaent de aupres des .… Gongrégations reli- que-le communisme, a. inoculés AU
dans un hui dé pertestionnenen | Fest plus à craindre que cclui quil Formidable par sa seule résis- se, telle aue In Bretagne n'en à ja- Ja foûle pour rentrer chez eux, ils gieuses, ‘ Mais-les religioux contre, mon pays, ditil, celui-ci sera le"
‘intelletuel UT. sunpe sous des fleurs; comme aus-; fance passive, déjà elle dépasse cet- {his vu de pareille se cours de ia Lt tombaient sur eux à coups de ma- [lesquels AM. Chautemps el ses mou- plus effrovable dans ses consé quen-
Qu'én Homme oil dans Paidus nul, poison n'est pire que ceuiite résistanec, [longue histoire une assemblée qui. traque, ‘de ‘bâton, ‘de briques. L: chards organisent le sysièmé des tces, Cr fi est manifeste ‘ que l'école,
trie, Ja. fidanes Tes professions ho laut méèle sa virulence au vin gé-i,, Lu souffle a pousse en avant. à elle £eule, Quit le ve 15 favrier lête, du cortège: OÙ sc trouvaient les fiches, n'ont” Das, tous froids aux “SANS, Dieu x prépare des généra."
bérales, les arte fui fautese'te creux d'une coupe, Le mal res Vale. k une.bol Le. ivurméc historique de no- généraux, -t pus. escortéc par, une VOX? Les fournaus. français nous {lions qui ménriscront tout, même 1
nie au court de ce qui se fait.ot le aal quelie que aoû Ja sé Elle ne réckune pas de faveur, Le province” jorte troupe de jeéunés gons; défiler rapportent le fail suivant: l'idée de famille ; # ‘4
se passe, de diar. le! non el en Ce ductiôs de es dehôrs, Dans rien À Mais elle veut avoir durs son pic tue h it ue sans encombre au milieu des hrail. | La Société des Missions Etran- | - + - du, tré
: Hygnet: petites, LS est dans BL otantiqu'ens th lesturé ces vérités FANS Qu cle a" défendu eonnre; déct ARE, es Rte Het quon nous ü laure S. “M: dis 4 . Nr éi ont réussi à] cèr es de Paris, Fuae des gloires de: LL Espagne “est sous un gou- " sir ;
pélilique tit La" ion Los ot soutent leûr applie atiun. HE faut: toul le mannvde, les droits de tout le oi Me EE et ee conte en Ru des ti “fraclions, motam| |a Capitale, occupe” Dortians Une - vernement. franchement sise
rés rporahre Han ME dus Aer ne done sen tisbr ver” dise eee dr lo EL. tenips nouteaux!.. | vie AIRE & sean PA joire Elle Linent à Parriore el c'est alors que, | maison “sur laquelle le sous-préfei nt Cae “in
déc gompteslée l'piitrén ut peuplé [UE pe ti we dierc er le: illusion Ge CL, selle le veut: d'une volonté dé- n n ns À el 4 lrersaires que à où ils se sentaientiies -pius forts, |d'Ebernay à les Feux, auelque sou) tholique nt;
dés, Féforffies “ane Les “Houvrrne dont ke Rratent Wilde consgieit ! MOTTE infrnngible. eur elle ‘sail Peu fe el ds eu TRUE ol inipuis- its se sout aharnés CODE des ci que lai dénne Ltèche;de reb: dt - = —- Fat
i Hientst des Rééphrre au OTHUS 6 "es CASQUE Célles t'diconl: QU “sur qui éf'sur oi S'appuver., cn cs pe our. TRS inquiétu- Prune sur Cenx sui étaient lei pit tir les: villes et les. vill ages détruits in ins une Jétlre ‘les PP, Rédemp-/"# U#
: particuliers Lasée of? électoral: re : ui Lont Jife: Jé’ viotis préjugés | di File n des chefs religieux, ar RCE défaite Le LUE unille a EE 4 ée. au 9 l'as per ki guerre dans son arrondisse |loristes. d'Espagne à leurs confrères” !
i confinent Swii-lit ee qu'il Pi “iv “soil plus de anises Pespyit nai 0 lo de ou orthodoxie, Je _vons Je dis Mééiatistes à ARPRPRITE Gt CET UROIRER rEES 4S- [me IC, à Îl écrit au maire pour qu'il d'Olwa, pubtié par Le “Droif”.
: soir, coment opphrofonttir: HE “cut plus ètre restreint dans es | netint ue nn ehefs'eivils pour son jiupuissants: Ness avez pas d'atra-y SONIMICTES. ‘ Piiforme ‘des. conditions dans les-l5ous disons: ‘
les questions vitales A8 ae Hi pas À inités Fun convention ridicule: t ae vu #jiviln, | | | cher notre foi de noire € doce ur Vous D Age Champavier cet he sénéral de quelles une ( “Gngrégution reluietu- | “HO ne-faut point s'étonner des
Dans” ect ordre Lidées, la lecture | es idéns ne supportent plus d'en | ie 4 surtout un progranuie sûm. [êtes trop petits, trop éphémères. Castéhian aviient donné “l'ordre se est installée au château de Dor- uitaques incessantes de li presse” .
est pas ceulrient bn Passe LPS AVES" à pue: oùr } fon ne Lu plus couper un attire que les mains vides de [très strict de ne porier auteure ar fmans” Le maire, avant vblempé- laussi bien-européenne qu “aunerionte
c'estun deveirs î SC st un isonnement stupide jeRCreuR € Le 6.42, nuisque. ce pro | Et: d sotiabsant seront impuissan- lex cl Pésiter même d'avoir des ré, comme dit Pandoïre, a recu uneine,senr ces attaques ONE anus
Tout. its, “ue “hiL Je jeun | fe esfnitt, Non, non il ne, faut | SEMI cs uiquuement religieux, tes conire nous cl que le régime de j'canncs, lion n’v fit ‘Toute une réponse ‘où il a lu que “P Instigut inanqué Torsqrit s'agit de lPTrspa-
;homine qûi ddépuie dans uné-ear À jas tout lives nous, devons, au çone Soalevén # . + au Fi matonnefit niveleuse nous Sera | tourbe révoluliontire — Granuers, [des Missions Etrangères étant lo- pes surtout aujourd hui qu'elle 6sl
ritré il fui reste louiours LUE aire éviter les ouvrages des “au À Le: oulevet Di ous COUT e sttii pas pargené. | repris de justiec, He du peuple, fc cutaire, répülivr de Linneude, en luouvernée par un régime exthraor-
cho NOR EETTE pendre: { doitierair Leurs connus pour leuÿ licence Le à € fe Re a done a direstivet CAL fan au pan des var communistes DeCupait les ques pee selon $66 conven: uices?, C'était dinaire semt- dicttiour el foncière.
dre de laiiser ss: aettiés se rouit Lieur mépris de doute loi moraie, ‘le oreee bal llementaires d’eet-Vilaine, ‘affine et encereluit le thédire des Nalions, signé du: supérieur général, Mer de; ment “ulholique. Les nations, Où
Jr où partictéme nt éatrephie: J faut tenir: bien eomple du plus 4 . c un pa avai devant sa Dor- me fa volonté des Franeaie de dé Elle étail armée de eines plont- Cuébriant. Ha fait résumur Pinei- | plutôt la paidie malsaine de foutes
Si ferme à jaunabt ses dévres, Lou moins de culture que nous a nee Face (3 je “it . UE ANA fendre jours libertés religieuses. Dés sde matraques, de revolvers, de dent au Bulletin mensuel de son iles nations ne pardonnera jamais à
Pinstru ction drequi " vendant le ons reeue: car une intelligence e!Lienne, nova balascr devant al “En paix relieicuse ‘que nous couple. poings américains; cit ei lugfe-Sociél {ë! PÉspagné d'avoir &é*pe ndant de
années défaites risque vai, de mètre | cdairée parure solide instrution oo dire el le . Jvoutons, dit Pancien-iviee- “président! desecllsit Les pavés où brisait | La Sociélé des Missions Eltrangé j si longs sièe les Le champion du en-
qu'un cenilal ani placé, Si laie À vermel de mieux juger la leur Lie el Fa ï qi F raetun dl evri î du Séual, ne consis{e pas - en des fonte les bouches d'épout pour [res est un sémipaire de héros; des Liholicisine el'de lavoir, seule, ane
de de côté tort entreinemin. intel À Lun livre etes dangers qu'il pré Lignée RS inter Sul qu autres mots que viennent nier des fails sen faire des projueliles, Si le mai-| vétérans tels que leur supérieur sé urRU, CONSCPVÉ dans toute l'in-
éetuel, il verra bientol-ses talent sente, D ovuibilités inédite de ses Leone ls SUHDÉESSION injustifice de ne dont on avai Si bien entendu Enéral ‘sont des doux inais aussi des légrié el: Pintensité des plus beaux
s'étioler, sn mémoire ce faire plu { Outruite bien légèrement Fin. 'nelles d'aclion édiates él perso! Pamnbassade au Valican et les mena- cinpele était absent, plusieurs con. | forts; ils eh ont Lu d'autres que les fjours. Voilà raison Ues attaques
paresseusé Ci 84 conversation le À dex, en certains miruus. Pour-: Gi aus foules Los . h. tees dont sont l'obiel nos frères d’AT- sell urs municit aux se’ trouvaient enquêtes dû SOUS préfet d'Éper- {dent le Gouvernement Rivera doil
viendra vie baaale et sans intéré | avt ge n'esti pas une‘chôge dont, cn vemplit ec ave rai char {sace et de Lorraine & qui l'on pré- lit À ét QUES bandits, nav. satijourd’hni subir les couns. Mais il
Par gn'ben livre, une-revue-hier Fon peut vaiiai faire 1. Es bientôt eus: onidi ni N Nos ei tend honoser tn régime devunf Tel vint h "de ds ile Si ieiérent sir NET jartive à Rivera comme à T'Estise,
pensée et bin rédinée, des jour }ie fait rien par caprices est Dar ipa masée saine Laure us pro EC ciauel, le Poche lui-méme a reculé. un soupe de rat! rss ot des ot, L'œuvre de Ferriot qe Padversiié Le rene plus fort oi
maux céripux el Penseighés, OU e.qrelle peut memjrer Le mal fuit! ane conscinnre de Reste MEME TLa liberté ne se donne pas, cite se Lu Maierent as chant de Vernet , Ti ns viaourbdire:-hralgré ces Tuners
pouvons loujours « tre Lonis aû cor \. sur dles tivres à fendanees ipiens, Elle n'achèters ‘ ue us urn: pren, Nous la prvegdions cute NT Î cuis ils curnèrenl le thé. La vuici en résumé, préseñté | ateet finis ORRTH courent toul À
ant des idées et dés faits qu il fi; 4 rest préeé qu le sait Pocüvre née à elle, “saehänl au, eh je jun rx que sorte, à,07 importe quel bris. dtre pour É ARS OX T de Roux eau teur par M, Jules Dorior., lestour de nus sronticres et qui
opperfin de connaitre, Le- joùr Î vastes du Aoute semé dans nb Ale. lres, © nl ‘lonper À ae Me. t i 1- | Qui! oui? sécric Pimmense au- ! N nm un, a hoflie. port: ils nftir- “iT S'est ncliné devanp les Afle- iles. passent quelques fois notre tr
“ral où le hr 6 pous-Mmettent en-eor hr des dignes suintagtee doute par des rartouches à TES matin, | diloire qui acclnnedces énergiques holi ANG PHASE ICS, STOURES de ymands. : | gouvernement $se trouve louiours
, tact direct avec es modification "ouLES icurs Svhgbes, c'est pour cui EL par autres. I “ente nds Je: nn | déc laralions, : # US re 1e u dinsiants, tie “Il à envosé en Orient, pour Y debout, bien jeunc sur ses pivils,
.\ qui se ‘produisent. incessammen À a que d'Eglise” défend’ a ivelure : vais et surtout fes neulr +5, D ‘ nt tr jen NS ee VHS ent l furent Des Lsuccéder. à un Gouraud elea un Sins cr ainte pour-le passé, car il
dans toutes les conditions del'exis | le certains ouvrages. BE cette dé mauvais que les maonvais Fu ET: faut .que lk° France * ve’ ge. Fe he “ wi ï “ it RU E COU M Wevgand., le frinemacon Sarrail |est conscient dé kx bonne besogne
NT Etetest var‘ fes he eu! énse est lornrelle: “ceux qui pas-!" "Lo verre. n'est pas srapd, mais b d pierres. avier J'ut, assailit à COUDE EE nn, dénéral, DEN rafcarvi pour accomplie, esans- crainte non pis.
le que ce cantac! peut se l'aire ent outre “chargent érellement: le boira dans son verret orracse du gouvernement Las ineidents "de \nrcoille incompétence, notoire durant lag Pour Paveuir, eur it compte sur les
Ce que nous disons pour l'hon-Ÿ çur:conscienee. On l'oublie HUTE - LE ‘ de- la franc-maçonnerie sé l bic V h s' bte greil e vol grande guerre, capable d Hetivitel suffrages 61 la Die aveillanee se tous
ie est égälcinent vrai pour.la Fem | acilemeul, ‘ | Touiours sous le souffle oui pae- CT PR a (lune in erpe alion en 6, de: site atégie sürtout coatre los les gens | ile bic - - Golte Mabitié est
me, Noté. mission, plus modes | Mais voici que, notre causeris ourt lepays, a masse devient Fié- “Qu'il soit. bicn entendu écrit! livre PÉrmile, dans lt Croix méines el les églises, el qui sf en |#i:vraie, que Poi ne voil pus Di
‘te tout en: ‘étant. ki plus sublime d irdiment pr énd des allures de vo en pensent. qu’elle posséde in | Gus: ive Her Vé, que Le “jour Le no- Lcomm nte k " à à ri HUTAU voie de débrutre au Liban le bresti- qu: “utjourd hui: la “possibilité d'une
toutes, n’èst pas purement phys! | ours de théologie ou de didacti- Credo magnifique: ., un idéal plus [tre vicloire ver a la ti Eu Mu ouvert TA ès es réval svencmenls ie. 40, dont lt free x jouissait dec substitution . favorables quoique le
que. Cetté imuternité pour Jaquell |ue par correspondance, Notre su-; magnilique CReOre. h nement de la frane- mue dnnérie sur res, ous Sommes ANR Dane [PUIS 5 croisudes, [désir consrimment exprimé par I
Dien mous a faites plique Da: |'et nous a énbrainés-dans des sen: Elle sent que “eroire"-n et, paslce noble pays que le eatholicisme l'immense collision Où dont ce quil, à rappelé lous ceux que I [UE soit 'dabdiqueg. Le pouxoi ni
seulement Je fait brutal de donne. fers que nous n'aurions jamais 1 seulement. vne vie, mais encore ne lave dt placé, à la fin du XVe siè-| ne croit pas ve ut anéanti out Ce QUI T patrie avait dù exiler pour SC Site de le-remelire en main dun SOU
le jour à Ja génération prochaine À eg devoir parcourir. C'est qu'il: aristoeralin, car ‘on ne vaut quelele, à li tôle de l'Enrope el que la | croient Pre anéantir Ceux quil Ker de Fennemi, cl commencé de | "émnémeMseivil qui en soit dise
nous. devons songer aussi à CC LE onferme tant de choses à dire ‘Dar ce qu'on croit, “udic aille a réussi, cle, en cinquan- | Ge sônt les deux cités chasser les religieuses: 6 Au ‘suict des liches contnies
maternités mor ales à ce devoir in | Résumons-nous bien vite + ent Jaflis, cette masse rougissait delte ans, à faire désriñnsoler numée | Cest, hèl: is! aussi le loup et li SH travaille ha faire perdre & lancées par. Tbanez- COLE" P'ESpe |
prescriptible el quasi-divin-de fé EShrases coneises et claires: I faut! Et Groix, k ' riquement el'politiquement au rangl encau. cu LOUP COR LErance le sent rane qui soit digne | Ant et son Hoi, voifi: li belle els
conner l'âne, -léscéeur él Fespri ef Ge lire, on Le doit, c'est néces-}. Aviourdhui, elle Parbore. de nation de second ordre. À" Toutes autres explications ‘sont d'elle an Vatican, le premier: êE a- Éhrétienne. réponse tai Bu, “FPSDRe
de nus, chfants. :. Comtient NPA À airecet c'est agréable, Mais on doit: UE Lu crois au fumier? hr ° vaines. St xplicalions s Pan avoir ‘ôfficioHoment. reliré. FE ne n ag n e
vicpdrongnous Sfnous EUSssons no À mn U . Moi... ce : £ Li | se + Lu victor Pambassadour fra Feuis GULrCS ‘ D) à i L À “
plus nobles facultés” S'entiser (tan tons. tit a DAT nes Si ML og a rois sx Nains join Un Congrès de la Ligue À- alors Si nous foutons exister ape, ih s'essaie à bréer un a nl t-il ils à me srévilier pour 1e Bien
la routine matérielle? Régle aënc yier, un, outil efligace. Au seul [ot Dieu infiniment beau et benLs postolique . à l'existence, c'es,” fatilemént, Et lacre ambassade en tichant.de de PEspagne er: à Amour À ven
rale, en otre paye, a ee enr est et T oint de vue de li jouissance in- le rois que pas un oisvau ne Loin | ne DURE faire entrer un représentant de PAI poste si fe givoir exit pur
mépnie tanins Bi-sorvante au lover k. à do APT à se eu |: re St n vi . OR 0 © nu sh ", A accbLorraine par cealior ser: dl € HRITOTENEE ile
si ce n’ ee pas absolument UC qu. dir area Les VS am du Pi ni terre sans la PR erolst a T IE Comité Natiopal de 150 Meses tons n 1 5 _luës el. ec, ECRIRE pa Fes calier de ser ant dé Blissé Hbinez, Dicu veuille
cuit la sotipe et fait veluire-les par, nes: OH. Juênie tenips. qu'insirus- ‘ 4 | | imposante Leu: RTS local Te puisque dé Fense voit ue fai le nue “Enfin, pendant .que “toutes ‘les qu'il se convéèrtisse et'aue sit piunté $
quets, c'est ele gui doil-toir à tout” sente RU Un DO TEtre est sale | “ous Jà Souffle sans rouen gene ORNE t Dit pion. a dut ec: t es RE AP POELE ae par aux devises iles pays sutopéens teñdont qui distille hu venin puiri patrie,
descendr d'a l'examen de:fous le aires autant est dansé RTE celui. .dissant, Li masse s'aécroit tous ls | lu denue d' sas res érandioe Si les 5000 catholiques de are à se stabiliser oi plutôt ä.se rap éerive nn, our des pises plus de
dél mis di terre aterre amotidier ui est mauvais, 1 faut. suvoË en ‘jours. _——. ne lée au début de Phiver procl in. Lalseilie avaient cu, chacun, leur re-| Procher du. hair, ce fre ane, baisse dre. PeRE Pexaller RE
rats NE à LP eue cela Se 1 1. Pivraie dur bé rain. voue, rie adiViduelien HE Ligue” Apeslolique a. Gé aprouvée | volver avee “Six balles, alors 30,000 SOUS rte on su re La:
ent d'ébre nourris el Conseien Et voilà ue. _ SE . cnnis massivement. eloment Ppar les Papes Benoit KV. et Pie XI: ug touches fouillaient les rangs des “RP € ' | Séssic n° cniérale des Confe- :
cieusemeÿt débarhouillés, d'être vê. a. SLISR, Chaque jour. en France, elle ae elle jouit slu palrona we de vingi- béta de el c'étail la première, 'auvies en ants. a .gé P L;
De et sobnes des leurs tnladies À2" #7 . VS TN EN PART PENSE ete sepl ei ardinans el d A gran non- allé de là plus friste. guerre qui ee rences, de $: Viñcent de Paul ;
À, mesurc "qu sx ançent dans le. L'Eglise ‘seule. pourra. sauver. “aient ou d'antres qui. “reviens et des Put LAN RCE RUES sav aient . suisse. RU suit a un E ë ulaire 4
TT LOS ge CT x “hr po *e # 6 , : 0 D , ue comen: cire i Le
rte juive de — l'humanité En ee qu NL PS St RE aHlhe So daplee LE enre se Fot d'eu |rsg n Q
: nie \ a pa ip ! DECT e tels, à Dieu © QIS : cop cuse- mêmes: . dônn des ilérences $ de..S.-Vint-
velopp( DU mou Que Le Hp ‘humanité: devrait ‘plus “que | Di CT DE surd'l des: : {Jésus-Christ elle Paul instaurer mot profité, . On, a rer à Londres, ces ‘iouts donnés. P at añs Je monde SN
! ourd’hui des né aphytes dns toute société et dans toutes les D'ailleurs, en.assommant un ca derniers, le numéro de Noël du \:de Vergès; président. général de Re
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CR Jnailre LE critiques de Jules Lea l
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qi Faut-il Dbil:on: lite? Que La femme du manoeuvre, mère de "Un souffle s Post élevé sur la ter
. oi , 2 dix ou douze ‘enfants, m'est pas te-lre de France, . /
Tr pois fi gros Points d'interrogation. nue de discuter Ihsen, Schopen-| Ecoutez.
d'stre ao DES ut valent | hauer. où Niezche. “Tont de méê-7 1j passe! il passe! "é
“discutées,. Ceci Po à ec £ Ds s un ne nn .
‘ forme.un $ Ï “mé, si coux-là conuaissent les tys- Soutfle lait de mille choses!
bien “iotég
PACE doni je saisis | tères de Paiphabet qui leur dénic:
éégure. Où pren- rade .droit. de. lire, soil pour Sa {souffle montant de Bt terre encore
déchirée des chainps de bataille",
“draije J'édi ele trniler un su NO 1e questions dR jour, soit pour
.& aussi Épÿa AUTRES Dans ma vô-| rpaser Jeur cervean. Fatigué par souffle sélevant des Lombes racer
ontt d'été ti fe stiVant-mes hum-lle tracas toujours Pbarcil. qui fait tfle fait des’ininstices et dès per
: bles moyéhse d'aider, de, mon qé-| leur. vie quotidienne ? Dans ce) EE utions. ris le PESL. ha.
” vouement Étoutes Tes bonnes cau-| cas, "St la lecture n us pas indis: jetant re its Pindisnation d'une
ses. C'esbquand..mème, un, diffi-| pensable'à ceux qui s'v livrent, elle “l Vince trémpée.…... de toute lan-
cile progrémme, : leur ést une détente, une récréa- iété d'un Dats ‘qui, de nouveru
Faut-il litre? pôit. on Hire? . tion, ni amusement, Soit le Fhin S'CMpOUrpr ‘er... sour-
Oui, Cefles !*Eest une nécessite | Con nous améne tu cote riant | le de la race qui, d' instinct, tend
. Si Pon voilf Cu HE vET sen intelligen: de la -questiun. vers sa survie. ..? souffle de par-
Sete du 1e po la Les “Quand ca n'est plus uné nécessi: tout!
“Hire he vilté de ure, ca devient et ça demett- » le s
vacité de Resp, assurer Ja. grace) pe le plus aimable des passete ps. si” 550 Je souffle. gl va à i il
* de lexpreftion et lintérét des er Quel charme on
. tretiens cure
&
Pal
public.
La lecture a ses gétracteurs €
ses’ défousgurs. H'ancuns lui attri-
buent des étfets slutarres: ils on:
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la, rendent responsable de maintes
désastres HHOTAUS ;
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aider dans eettr ardents. commeaux premiers ‘siè-
tâche aulune “bonné ët saine ‘ec ur Chrisicet à .ceux" qui: MQUTHr. eles,+ Dos énmmunistes frappent
Je.rôle de cette | ‘ent pour propager: ses ensçigne-| pour: + entrer. àe ln pole, des
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c'est lat ureffienee dés: gyimnasti .
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se” ranir VALLE Hominn : de Pes :
goûle, en effet,
À parcourir les pages de Pauteur ta
vori ! Que peution deminder de!
plus reposant qu'une bonne et belle tr
tectir e?: On entend dire: parfois:
ja nons ennuie ‘de dire; ren ne
dus endof{'phits sûrement.” Pau- |
jres gens ,Œut coux ‘qui partent ain
& lis n'ont done punais compris
‘Jar pénétr ante-beauté d'une pièce
de vers en fnquelte palpne Lane
crie. Là, il explose,
CAE LE D
Chaque paroisse où il V a un pré.
ele sent frémir..., crier le Garde
& vous!... à son clocher.
Les ehféliens, hier poussière dé-
daigneusement écrasée sous les
pieds des Sans-Dicu, s'organisent. .
bntin
Or yanisation
intimes et avec lé
‘is n'ont pus toui
On ne peut nier le
.. mol tant de fais
amais: reconnaitre ce. qu ‘elle: doit
Grands Séminaires: Cest: Vous,
ai avez Jes. paroles: de la ‘vie éter-
nellel”
= Pourauoi, vous, Bielon:- ne vos
Per vols pas avee nous:.? déman-
dait bu jour Je-sous- livütenant Dé-
rontède à Renan:
Le vieux sécptique. sonleva: ses
gl HOIVE paubières:: .
mènts, “Le: christianisme; qui ‘a dé-
Ye. l'humiinité do ‘a, * harbarie,
adutra seul encore”’la sahver, : la
és server des dangerÀ qui da: Amen
Ént cet” V'afflisgent ‘+ Au, milicu des
fhtories . vrronée s. et. pernicieuses
qui en. sapené: Îles: fondements, Jui
(QU ‘tous «les jour.
qui embellirant. LE
, M *
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La lecture est in
QT dont let ravai”
LE PATRIOT E DE L OUEST, Mercredi le 11 mars 71925
LE AIVPC-SON CHTIFLTE vis |
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Poussière dhici.
Masse formidable
masse crovante..,, niasse aujour-
d'huiérginisée,..; masse où, de
paroisse on paroisse, ‘on se touche
enfin les coudes... ha
Masse oùt circulent &t la tradition
de la race cF-Pétertielle icunesse
de PEglise, intass: ble OHECETOUSC"
ntpolique...,
de tous s65 adversaires... CoiM-
ment, sur Ja terre .de.Frarice, 4
gberas-Lu ta batailtei, 7 E
La gagneras-tu par tôt Seul geste
de bon géant qui s'éveille?
Je ne le-erois pas.
Faudra-t-il que, Dieu te remetle
sur Penel@ne de la souffrinee pour
te forger. .., te cohére encore da-
Vi nage. ..?
faudra-t-il mème Qqüe ton sang
coute comme tant de fois, an tra
leo des siècles, il a coulé...” Ceci
est le secret ‘de Ja haine et de l'a
mour..., le secrel de Saian et de
Dieu. i
k#
Mais, catholiques. sachez- le bien:
Plus vous serez unis.
Plus vous screz disciplinés.
Plus vous serez en haleine tou-
jours... plus aussi les autres hé-
siteront dans! leur offousive,
%
instituiions publiques et. neivées les
Brincipes de vérilé: sens” print
bes de salut pour les nations.
À Poceasion de son-Cangrès 1925,
se imellrs dans son plein jour, cot-
je “affirmalion incontrstable © qe
Faboutissant ‘fatal ef nécpssairé du.
régne nos prinei inus. amodernes,
est le désardré individtiel elsnei A À
La Ligne Apostolique ne. fait pas
da politique; Nnié. ne
iadisot pns, de faibogss
de
;
“ennnail.
dans LES
een inaintient à son, seul, au milieu : des. ténèbres qui : done hommes 1 France. se plie ion des péineiniè sAlordre, qui
ETTP | lé Toids. ‘te connais l'aveuglent,” ui” ‘soul pourr à lui MIQFE. © pe troublez. pas son Lu sais peuvent. nous À ue a:
rnfonmatio au, d'idé epontier ta route. qu ‘elle. doit suivre, CARE Lo TE re s de RC ELU DT ésent ni voye
On: v'étend nas: A Dindters du” sa chséiger: ès vripaines durent tt Fils Pate le. Fehançlet | à LE 7
houlanhd} la corûne d'acrer d'un ua soit” rôfes set SR pratiquer" - lorgin, “ghgnait “la ‘+ :bathillé:: É de pi
ED: DAVID. (au.soir, de: sa vie). ame re Be VE 4e js bis” pans s Tan
ire" qu +Sache: tous les Vers: LE |
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memes
sumas
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France ct de loutés les colonies .. ee
dans I ealme, le dravail el la priè
re, intansifiez votre vie intéricure,
On ne donne pas ec qu'on na
pas, €E vous devez redonner la vie
à eus foules irompées, sur lesquel-|
les pleurait le Christ,
Soyez. done chrétiens, non “poli-
tiquement, mais chrétiens pro-
fonds d° intelligence et de cocur,
EL puis. ..
s
0
tholique, Je dernier des repris de
fustice avait a joie. -de: pEnser qiril
faisuit pléisir d'la riuiorité.
Si vous aviez vu, avant hier, ? à
Chambre, s'esclatfer les députés «
eauche:.. el, :‘conime,
la
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v ivement,
!
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Firterneil: tion. fut. “a fa
sue”: '
Et Jours ‘jot&rn minx !, : Quel: prit
ils ont dépensé. à “hanter la ‘der.
nière victoire, de ‘ionsienr der Cr.
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Frères de Ouslelni, général, inars
r on ve w ée:
|auis'el “apôlre pays des, Cia
eaux...
ès chameinx, c’est noû UT
“Pauvres catholiques! à où seu:
Jtehtent oi VOUS ASSOMME et où | Vous
“line, quais mere de rire ‘dé
Ajes -tadavress © :
a
OGDEN’S LIVERPOOL
Mais heureusement
songe plus à lheuge actuelle à°bat-
ire ‘on retraite, et se terrer, comme:
rompu
en
ersonne ne “pour implanter l'athéisme 1
otal ef
révolutionnaire dans lPâme des pe.
tits, En exergue à l'article, il \ ;
LLA
di
jadis jux Catacombes. . [eetle devises A mort tous ‘Les
Le-Journal des Débats, écrit en Moines, tous les rabbins, tous lus
ceoutant l'exposé des faits trop Cor: Papes; Nous gr impérons jusque
ltins, Je gouvernément avait, mal dans le ciel :pour en chasser los
gré. tout, un sentiment-de gène.
était bien décidé certes, & ne pren-
dreaucune sunelion contre le mai-
Ave, ni contre les adjoints, ni coptre
les organisations politiques, ni con-
journal soviétiqne fzuestia, Pargane
officiel des” dirigeants bôle hovis-
tes de Moscon. Sué ln couvertur
de “ée numéro spécial est “dossiié:
un “bère Noël” qui ‘un ‘soldat
rouge, armé, d'un “tait, défend. de
pénétrer en derriloite dé lÜnion
des. Bépublis iues soviétiques. Puis
vi cn ün' cite de Noël intitulé *
Noël: sans te Christ, dans lequel
on explioue cite’ “a spléndeur de
ae Hoûiv ile éloile “rouge qui see
-Hovée Phst" celipse loujéurs. la
fade: étôtle de Bolhléem”s Te - -
Mais ‘bicn plus. ‘signifieatif que:
re alléoories est unonrtidle. tie
és Saint Pionnier” et dédié aux
|
fan ‘enfants qui font partie. d jure. Ligue:
|sommünistoirée emmlent icodétituée-
Le
“Pie.:X
frères qu'une session.
-dé Ava: où
“Papé
"dicux."
L'article insiste sur la nécessité
d'un vpscignément primaire privé
de toute bre religieuse si l'on veut
que lc bolchévisme S mplaute de.
À Päris. informe ses co
générale ‘des it
‘conférences dans tout #
licu à Rome, sôus
à L'ocension
n du MOIS sep
juin pro-
cordiilément
Péeuvre,
tlélégués ‘des
Punivers aura
Pégide ‘du: Saint ère,
dé Paniét, sainte, “à Ja fi
dau COQUE de
“chain.. M v. invite
tous: ceux hcaui le vovage sera | DOS"
Ces srandes ngsises du” “Par-
anité catholique ür-
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saniseoi Se Pimmortelle fondation 0
Frédépie Ozanams ser ont une Fi
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LE PATRIQTE DE L' OUEST, Mercredi le 11 mars 1925
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É GIE MATE feu Se à os DE Taroce de meme peut. être si bien dire. Le soulagée par le Composé É + Plymouta 6
: GRAPHOLÔ et par” une ref oseph Larocque, Pêre franciscain canadien, par une |. Végétal de Lydia E, Pinkham | à S1vous allez en Prance, pre £
E More Cather siege canadienne, aftention dôlic: ate, vouhit profiter Arnprior, O “ f nes un bateau qui vous y
5 TT 573 |dont À + in uraie : Grouctte, | de: l'ocasion - pour recommander "vous räconte et ete fe.) à débarauern directement de.
ë sp'LEUR DE. Tvè" we ne AO e | 1onneur dé. l'institut où vivail SA Soeur au votre rend e er piece avec à ln passerelle sur An Qu
& Adresse: RER Ë mil a vie si élonnante, si mer. cardinal “protecteur” de l'ordre de * [une usine ss qi, travaillé dans vouvert, au Havre, à 3 Bee.
£ ! Révi » veillouse même, ct surtout si fécon- {saint Er ancçois S [b incoe rois ne et je devirix res seulement de Paris. |
D 5 ogaz rue Athol, ReRin de en fruits de salut, il y°a deux [Mer Giorai, picusement jé inence si épnisée que j'avais des faibles. | der |
| € ! , É ent déctdé j ss ses et ct \ * L
4 at , Ë , : étais foveé ° ! .
D © on POUR UN MQIS à Rome, à “ombre du jondrtion x à quelques semaines. D lit relier ti 1 1500F moi au moins un our par sem LE France, h mars. 18 il
= are 1925 Coeur même de la chrétienté, ? Fe Meg Ale. volume de la vie de es © plus - pür et Île plus scientifiquement Les médecins vont traitée pour El ® 2 murs, 25 avril |
= 11 mars ‘ nouvelle “fondation”. dont Pinot to attherine “ urèlie en chagrin préparé qu” ‘il SOIÉ possible de se ro l’anémie, mais cela ne me faisait Pagoebots à BRe, classe Un t
ANT PP MU pnt. inau- | ronge ct le noïta au prined& de —E ] procurer. aucun bien. On me dit de me re- . New-Vork—{luvre—Faris.
EEE SEE \ pour 1e 4 Eglise, © Celui-ci en prit connais ssayez-le. poser, mais i S $ s, 22 avril, ! Û
1 sn, avril prochain; en Ta fête de sainte [sance et s'intéressa À l'oeuvre, se mon état en pien les ne |: Men 9 mars 22 avril, 27.
EE lus coupon de chantilon de mon écriture catherine aennes PATES a ses {proclamant heureux de “protéger” |" me RE EE SEE One À UE nr! 'atfectaient,. Qualqustots a p Gr 16 à eus
| ZÆ Cum . s Ù “IisC » À: ! £ DNYIIR : , sse h HE DC #£
à aan pour l'analyse de mon are ncière, “eo Saint Hv DATENT VIS Lors a aison qussi js Augorattices du précieux | Cl venant à ET milles de la sta-p QUEBE LÉ. Mer LA Paquet n passais trois mois, et laEsqU'ET | ë ‘ Lana 6 HIArs, 15 ner} .
ea ee cer l'oeuvre en 1861, el portera. en. itn. sun. nr l'antichambre même dugtion de Red Deer pour fonder unc{donné une confét ence sur saintes revenaient, elles ‘duraieut trois Ë Ro hanibe: lt avr °
5 Pants se parnisee dune LE Eltien, le nom ‘de Casa di Ma-|Fr: nal tiorei, voilà que notre | Paroisse; quelques colons arrivaient | Vincent-de-Paut à l'assemblée tri semaines et parfois, J'avais des dou- Ë cran G. mn Et avril 17 '
S Joe S demployer 1 dre Eatcrina-Aurèlia, La supérien- Den Can ’ union - rencontre {aussi de France deu près en mè-lmestrielle de celle société dont M.Ileurs si fortes au côté droit que | à juin, 46 nil. à
£ pATRIGIT et vous prie, Fempieter ie re actuelle du monastère de Saint. [Fi X se pLe Ércole, curé de’San time Lemps qu'eux et d'une pauvre- le commandeur €. 4, Magnan est le jo pouvais à peine marcher, Je | £ La Savoie, 6 mai, 4 inin, 2 , :
E paeplunre suivant, ce ee Aacinthe fut proposée à us PAU pe esen À qipa, une paroisse «de té ne leur permettant pas d'aider président, La socittè a dépensé n'ai que 19 ans, et pèse maintenant B . juil . . ,
Ë Lu lusececee cilléres par le: Vénérable Ordinai- Valies is ( ans le voisin ce duiies missionnaires: ces mêmes pé-]près de S5D,000 Hour secourir Îles 118 livres, et ie né pesais que 108 ! & New-York — Vigo Cu)”
; ; ms nm À e,cogme devant être la. 'ondatrice demander a C: Ar ” de jenait es POS sis a rendre des héme-lhauvres au cours de l'année, AN jai prendre por VER - RUE
ÿ a ns it re nn L ! rer ‘ st ana «oc “uideristoads, à Les travailler ot trois mn ce tal. ‘ai: été maladive deux ans a Bourdonnais JA mars, 4
M DENTAIRE laffivme d mremière dre dec cite Maison à obtenir un couvent de contenr- d’entre eux, les Pères Anciaux, Re- |" MON PREAL. -- La Commission | mes amies mé, parlaient du Compo- à mn ‘ °
EN SE mice, Que À ANR x du serulin ra-[p atives )OUr. SA Daroisse, Voûsinut et Forget, .n ‘étint pas encore des Ecoles catholiques de Montréal sé Végétal de Lydia 1 Pinkham Rotuisil onvril. 2! \ |
ou sur fa conseiefiee, 4 (É ia ce € tUX, D'autres religieu- {devinez La onctio tord Û bligé 5 Wicite def ln Légisk Ù ù el « tispillon, 1 avril, "2 LES Nu
la mai béfense et In signatuir. “es seront “êlues” évalome k à “jonction, qu'on nc ft donnés, obligés d'étudier teur {sollicite def fn Ggislature l'autori- et j'ai constaté du changement après y Le j
pee BE bé D'aillents À sartiront avec | s" également, et [pardonne le mot, qui se fit incon-} théologie aprés-lenr Laval termine sation de négocier un emprunt dela première boutoille. Ma mère l'a | Ë Chicage, 4 juil, 19 août ET
D'ELLES oie les barres de orLa Ducs tee eur supérieure «laris linent dans. Pesprit de l'Eminence, [sous Ja diregtion du Père Bazin, ÏS 3,04 AUTRE . pris pour d’autres maux et l'a trou l'È ae .
‘Li a a Dour l'emportâl sur Îa Last, là ae ÉÉREMON conte. gas voit LE ‘il jous ue dite Le Père Renut-fat perdu pendant MNT AI, = Mme B, Atlard, vé satisfaisant. Je, veux bien par LE. d'Éurop S'Halita Ê
«| pour € ve: ail cote en lui montrant fe trois jours en été car les hal ii er. de ce remède à mes amies. et | “urope 1 ne our
‘ le dans Phistoire de ai ne | jours en été car les habitations [qui tennil maison de pension rue ‘ HER QE LUE : cut?
Done est un mélange des tem. pa ass son cr sn el Don Er cote ei ana tout gurelies ctuient rs et matlar ë une équipe !eanne Mance, el st Setvante kuby Re Res Lettres sen infor- 1 Anentn locaus à PAlhort TS
ED ja main : 1 , - * suite { de chercheurs à cheval lut inwou- Gallowar, ont été : ‘ é Mlle Hazel Berrdt, ensier . Géra .
A rental et moteur. Sé à ous, dL ns Phistoire du-mouvement [à être mis en relation directe avée | val lon, gt té assommees el dé | 700, Arnprior, O “ | Murs
EL pérane nie t de \ i avée lvable, A la lin du troisième jour pouillées de lcur argent de , prior, Ontario, E W, A4. FOURNIER At uus,t,t
E pe vst gouverné el grande de Papostalat religieux de notre la supérieure de la maisoi vie CROP CUS Manq ° US
E dentaires! x : à : , aison premié. | il-apereut enfin: des bâtiments in-[de leurs pensionnair quor an jour pur semaine compte - var À: :
parie N le si OA PAS Suter ce \ roue an Dar nVee San Ha Fans, ‘ CURE -dire{ connus, ‘Très heureux il $e rendit} mirent ensuite e au aux pre bles le re Si UT souffre de lui M ” ns s'sat AL ‘
k sirs, H : a ne à lt eo il vacipthe e cher P, À: mn e esse, idiquée nav l'épuisgeme {, an N rs
tons el dû À A | D à hi cniaison, ouvrit la porte el a- coins de k | sement, ET ot
pe dénote cle Lt visteut physique. \poslolique. " Franciseain ne se fit pas prier pour {perent le Père Bazin en train dé [les ompier à opelés Ha Ne sutions de fatigue, douleurs ol irrégue à
dl intellectuelle HVeC UN intérê, Jusqriei, Le Canada a donné le présenter à ses amies du Canada, Jludier.- Îl était tellement égartitre locataire ‘et'un ASSAE " \ à. larités, recourez hu Composé Végétal _
marquis ans Aout ce qui l'entoure | ombre de ses fils et de ses, filles Sa Grandeur Mgr Décelles fpyro qu'il nc reconAut past 4 propre ha | rent à Lemps pour Dave fes Fe de Lydia &, Pinlchum, = :
Jet impaisit, nues vif, j ardi Ux oeuvres d'évangélisation, d'e- ‘a le pro are clfusion. IG {hilation, mes les deux victimes. Ja police ‘ 4 | -
« : sinie et des en Etucation el de charité, t » v- | Cecmnbre : a supérioure dd inttai Be io
ane de Li eontreinie en des € É de charité, un peu par- [4e a supéricure dl an , Gt à 4 de en hu
traves, Honnéète, ouvert, Nitis OÙ: out dans les cinq: Mlnier du mon- Saint-Hfyue inthe mandan # Don Er D: Ant Père Bazin “hé ième 6 mil EsEux trousses tes matfaileurs, | TT 0 1 Pensionnat de ttleford |
méme Lnps diplomate et ne SAP [le Mais Cest tt pyémière lois, si cole ses conditions elle 15 fé | Fest égaré une nait däns une in | MONTRI rêtée sous li direction des |
tendant ps por Pet 4 "on mn - ous ne le cher pas crreur, qu'un Na derniers les mesures étant L'inense prairie par 20 degrés de présid nl APR à TT ti vis a ! : on ces k
voire fout ee qu'il di #4 une nstitut de ehez nous fonde une lprises lä-bas sans doutes nn väblo , Lans pal ent du Paci ique sanadien, ane Élson x x A
Û bonne vision des gens CL derE ‘mission «dans Ja ville éternelle | gramme arrivait à S HVacintite HAUTES etranvi le malin à moi-fvient de 1 rentrer d'une nee ü to par de re | SOEUT 8 DE 1; ASSOMPTION DE 1.
ee D eonressit, outre: À 3, ce qui est plus, il s'agit d'un Sinsteoncu: “Rome > Biuvenues, dé se ea ne es AE distançe [travers l'Ouest, I dit aue les. af- D mle French M SV, |.
prenant, dite confiance suprême en: ordre contémlatits voué “simple. venez. Régler installation sur pla- de maison Moi tit parti Li [aires reprennent partout avee Ni "contre Vpilep- où tes élèves reçoivent ‘avec unell
dui-mrme, et un er in magnétis À tent et uniquement à ln prière ta [ee signé) Giuseppe Ercoke!, Le 11 Î ues à Red'i gueur. Lui et ses compagnons S'ex- sie et, Grises. É éducation soignée, l'enseignement
ne qu ini gagne des amis partout D 'imolition, Or il v en a tant de ces février, c'était l'anniversaire de LS HE à Red Deer pour so prinent avee enthéusiasme ia sue | Simple traitement à domicile, lus Dbréparatoire aux examens d ‘ta
Ja volonté assez forte est souven Eroudvents où de ces monusitres de Papparision de | a Ste-Vierge à Lour in provisions duraient{iel de l'avenir de 35 années ‘de succés, Des mil- | Pro ince. ;
: Le coctir cs des Toul eclas à une semaine el dutienl rés fati- ne iers de témoignages de toutes Îes À ovine
vobntaire et tenace, Le coc icuses orantes, dans le vieux mon- out cela, évidemment, € es Pants soit pour ‘es “hommes, $ nl “ artic de, Faites venir :
bon, gros et chaud. Comme Con e, gen particulier à Rome, qu ‘oniirés simple. Mais, pour cenx qu pour les chevaux, € ar le ter ° QEPAWA. = Les ministres fée b arte su ie ‘nites venir Ja ÊL Attention partienlière donnée
séquence ui tempérament molcour Jouträ bon droil se demander Con n-tont vruiment la loi, c'est fort beat, 1 \ RAS crraiu CTdéraus ont reeu une puissante dé. | broéhure gratuite donnant détails aux futures institutrices .
ait tres. 'accidenté et le plas sou féurtion des. Provinees. Maritimes, bilingues,
tel très riche de promessus,
et un pet eapricieu , ee de ce ,
I al ent Pidée de cette fondalion ea Cent nv avait pas de chemins
son humeur
härmant et don
adienne dans Ha vitle des papes Enanai dernicr La prenière chapelle” de Sle-AMir.
Les curles à jouer sont la parole.
e l'ordre des Franciscuins, en sé- [tion avec l'année de leur fondatior [-Pabord duns-une école prolestan- di
buts, :
res "angoisse ef les contradictior
Forte dl
ti cordon bleu.
en me
avec Lex petitssentants: où AVES.
: QUELQUES LIGNES!
4
nee ee ane ne mans memes ee cent :
né Jui ont pus fait défant,
venue récluner un traitement plus
aujourd'hui, ATOR .etonn
a coute un princes 0 demain, i pu préndre corps ef est en train {ions à Paltention Dablique 1 Tan cie de"Fineliolirax fut AÉNIC UN pe: ns RH Ut, les port nés
re des euments, voire MON e devenir. un fait accompli, C'est dation d'un mon: istère du-Précions sil mag sin que. Pavatse Tail on [éaten de PAtlañtique, Les délégués
des cunseilé duves, si vous voulez Ÿ e qu'on nous à prié de raconter | Sanu en Chine, à Sienhsien Perche ruire Sur le fer clin Mes Pêres 0 élrenl lus nombre de _ sis. cents
moi servis froils et à sec, 1. grand public, iv- Sud st). Deux autres fondation | qui lit âffectè- sux excreires" dn | pari lesquels ville ke Guebee "U
La Providence, celle lois ercore, [après celle de Home sont encor culte lorsque.je pris un Bontestead ht ' | . lle ni qu Son
les ehillres et un tour de naih : “tout conduit par Jes eircons- brojeites, l'une à Edmonton, lau Pétais aussi présent. & Rod: Docr N ‘" NONQre e_ maire Samson,
a mécanique, .TÙ ances. les ulus ordinaires en av-itre à Alexandria, Los Soours dr {in iménie Lexaps-que M. Ravmondl O'TT AWA. Lord Bvne, go
Maintenant Les défauts? — ET arence, Une religieuse du Prés Précieux Sapg auront ainsi vins Denis lorsqte, le Père. Voisin one! vernour général du Ce Mn
mon Dieu. quant an homme, n'efff ‘eux Sang-avail un frère, retigieux | monastères, dont voici Pénumére | la la poisse La messe lut dite lüne. eauserie à l Association can
enne d'Artillorie, soutient que
donner
LIMA. Ohio, — Les autorités d'ici
“ssuient de résoudre 1
e mystère en- |}
“
Ë
ne
TRENCWS REMEDIES LIMITED |
19 cue Adeluide Est
À
En
COLLEGE D'ECMONTON '
Rl Adresse:
SOEUR SUPERIEURE, A.
Battieford, Saati
Écrivez tout de suite à
1177 St. James Chambers k
Totonto, Can. *
(Découpez ceci)
Pengionnat Notre-Dame dû
Sacré-Coeur, Prud'homme :
:
UN DOLLAR VAUT : ‘PLUS MAINTENANT
pas trop oise, pas ion faible n 5 5, en rec l'année d
ns trop l'ont. EE n'est pas loin Sn à Bone. uand notre livre [respectites Sainte vacinthe, 1861 [ % est à » : .
me parfait. La pureté el'la clar- Uère C'atherine-Aurélie eut part, Toronto, 1869: Noire Dame dd de suis houreux de ponvoir PTT RAR con ee Dour à tient de ‘ ' ' Sask. : ns =
jé de visinn de sédentaire lui font ou plutôt quelques mois après, | Grâces, Montréal, 8742 Ottaws | ner, ee témioieriagé aux Pères de dépls wement facile, <de rélérgnee dirigé 1 : " oo
Éles entrevoir des ehmes? I v arri “xactement en uvr il 1001, cetle relie | 1887: ‘Frois-Rivières,, ISS9: Brook Ste-Marie «le Tinebobras enr Jeu: aux batteries fixes D DES ie MES Lu ae ' F *
El erail peul-cire en arrètant de temps cuse envoya le volume à-son Fri y yn, 1889: Portland. Orégou, 1892 dévouement et Tenr abnégntion fe Le Un PERES JESUITES 1 Désirezivous donner à vas enfants
En Lenps <a pensée vagabonde st ve qui .6l: tit très naturel, El “‘herbrooke, 1895: Nicolet, 1896 {rent vri dinent adinh dbles surtort OTTAWA. ün vien! dappren- …. €, agrégé EN PUniversité Laval pune “éducations soigiée, qu couts
Sn parole Dir escalfenee- du hor “sait à ce suiet: Notre Mère for, lanchester, 1898; Cuba, La Hava fans les premiéres, anyiét 4, ; dre la mort. subite du sénateur P. COURS CL ASSIQUE bilingue, à ba- w études tel HALLE à detandé var În
Maitre, pour la faire -ensuite pas, atrive egtre ainsi ‘ln première ie, 1902: Lévise 10D6: Jolictie, 1907 JCMCHON. LC. Murphy -à sa résidente.de Tige -fraiaise, conduis: rovitiee de a Saskatchewan? A+.
Ar dans sa vies Apprenez de MO ondon.. "1913 2x Saint-Bonifacs, “Duck Le, Enish LEE, 1 devait se moliré 6h se françnise, conduisant aux de-| dressez-voiis. aux . religlensés: de da:
Re je ouis ee éleesse. A GO em | 1018: “frinceAlbert. Se: Sient CT LR "e outt Je lendemain matin pour, OÙ grès de bachelier et donnañt nc- Providence, 1e
el d'esprit aussi: Amen, ns maiades..en- atiendant quelle se | jen, one, 1925, et enfi [is a, pour Pouverture du sénat, LT CËS à toutes les. carrières, shéer-| "pire lé (rançais qui fe 1
ec Po 'âticse un nid qui scra charmant: “dmonton et Alexandrin: qui se: Une violente tempête abat” lei" actuellement six : enats al: doce, droit, médecine,.ele, ., PNR UT ne
CHANTEBLEURE,, La Lettre Een suis süry, cl reluisant conne nere à are: Edmonton, LH TA chêne de Charlëmagne. remplir à du chambredhaute, : É ASSPS, ON, CNSE ane à WAR b.
le Chantenloure ainsi que.cinq au LP n sou nou, he hain: Alesandris en juin pre —— re 4 ren ‘ ‘COURS COMME RCIAL, | en “anglais, dessih ‘et dés tatrnx à HE
s arriées dans les premiers et RE Une autre encore en pers Paris, - Le chène de Char Let, Ottawa. La delle du Ganada | tenue des livres, clavigranhié, ste tous gonrés,
ours de mes VACANCES, HV ent .ête “ELLE S'ENNUIE, = S'ennuie-t >ective. . pe, vieux de cinq siècles, Pun-des {a 66 diminuée de, 84,275,156 40 nographie,, ete. Collati te ‘di ;
Anfaties dans un tiroir, ct ce n’est He encore? E va si longlemps di Déja, en 1900, du vivant de 1 rbres Les plus gros el Les” plus. an-eours du mois de février, Elle ost uion de di-! Les ieunés filles désireuses de se
Que dernièrement qieles-me sont} a! Quel prince chwæmant lui à fondatrire qui cst morte en juille siens de la forét de Fontainobleau, maintenant de 82412,196,407; soit plômes d'uffaires, | jiivrer à, La carrière .de Censklgne-
mbées sous ki main en faisant ur Lait donc volé son. coeur, pour [1905, il avait été question ‘d'un |! éié abattu par une viglente: tem | rien aue deux wilions de plus que | DOUBLE COURS PREPAR STORE, yen trouveron Hans cefte ape F
me-ménage, Je suis contrariée LE u'elle Fengural si fort, elle qu ohdation à Rome, ainsi qu'on pet Jêle. 1, Pañ dernier à pareille date, bien ! ion” éntiére facilité pour 6e: pré EE
lu rer et j'espère qu'on me el ‘est pas une désocuvrée. Loin d° {'e constater dans Uhistoire de He | "Un granil nombre d° autrés arbres Loue les revenus ordinaires du pays, franenis et anglais, préparant aux fer qu différents aimes faq A
wdanera, cle est active. adroite, capable. lre Catherine-Aurélie, {page 354 [nt Gé. déracinés. et des dois "de faient marqué une, diminution de “cours Classique et Commercin], cet 6 Va: cles sout donc q Li
Cl vraiment reposant dexa À ienveillanie, enjouée, simple | Mais ee projet ne put aboutir, L { vaisog" ont élé enlevés Un DO Dar HAUTE, Adresse: Rév, l'ère RE TEUR n tout de, es partons saut i P
hiner un graphisme qui montre u | roite- el: sincère, sensible et Len oridence eommanda alors ‘de qu | out dans le pays 4 : es FÇ cités, jusqu'à. leitr, treiièiné ns ‘à g
ei belle combinaison des quali [ve Son imagination gracieuse KE Eccoir le se fait celle année, ving Plusieurs vaisseaux à vapèur get. TORONTO, Dans nn banquet Collège des Jésuiteu ‘ n du, Pour, (ETES tumples renseig ”
hautes: luelligence, sympa | corte ax jolis rôves ot lui ovci Dans après la mort.de notre ’héro sont échouës en- divers undrois, qe offert au Conseil ennadien d'agri- |. : 5 s'adresser h Réséreide ro LS
lie, bon jvvemont, constnes pré sonne de petites Lristesses quanc [ie Mère Galherine-Aurèlie ccitre | ‘is Dunkerque jusqu'à Biarritz, etteuiture, A Poole, président des | EDMON TON - - ° AUTA : eut, Pour
rer. pafienee, affection : vraie Jui faut redescendre des nues. L'énait ellesnème et a inculqué lusieurs ausi ont envoyé ‘des mes! fermiers unis du Manitoba. à pure N
Lurahle. L'esprit est-cjair,. cul. “n peu nerveuse, oi portée à la dis Lsus filles une vraie dévotion 4 | SACS de sans fils deme ein ‘de | lé contre le danger de la “oarteli.
ivé, réfléchi et méthodique, Pas ssion.- Pas égoïste, bon: goût dans Loupe, La Providence ‘récompens eCours. - PR) sation à excès des produits de a
sule ABLE ation elhez Chinlepléu. : toilette, sans Hinité ou bien peu aujourd? hui son instilul, en appe Près de Larockelle, qualre” Put ferme. LE stabilisation des prix
pe Toul est pensé, calculé, mûr imante. et. enpable de se dévouet Tant ce, rncher fécond à essaime | nes seu enent sur un équipage ‘dé ne peut étre ciiectues par ls cui-
is sa été avant d'en sortir, L'in | isqu'au sacrifice pour quiconque sur da colline du Vatican, la plus i lix-huit ont été sauvés. du vapeur | vateurs seuls; elle ® stabilisation |l° ee. Prix élevé du Grain.
don qr'elle possède, jointe & l'ai montrera de la sx Dé athie, de lo lustre des sept! Aussi, quel ioveu mistinacRuedn, qui s'est: éehatié, | nème u "est bits désirable, |
ne bonne dose de bon SORS, er gnsidération ri dé a générosité, Le Bsumn nat -Oh DES ch anté dan ep membres de l'équipe « de .S{U- Di « ‘ ; ï a : ,
ut Lie conscoitlére - appréciable, lénnvore avisée, cle l'esprit dé Lious les monastères du Précieus | "etape se sont uovés, alors que WFOUDSTOC K. \.- 4e L'église |f "M £
mn amonr modéré du bien- être | vouillard ‘et de la vivacité d'ac léine à Pannonce de la grande nou 'f Cur chaloupe chavira au momentie atholique Ste-Gertrude à été dés l evrait vous aire songer que le. chèque de érèine | ‘ést
4 le dou esceplionnel qr'elle € | on. -voulant que tout" soit joli ct vole! ee A ils essayaiont d'atteindre de vais- Ltruite par un incendie. On croit l'unique assurance contre Ja perte totale au rtielle ‘de
ide à charter en pleurant la aude “denné autour d'elé, Pour cout |, Comme loutes les oeuvres 4 “eÂu. | aue Le Fen à élé mis pur des fils | pa
Jont jeune longtemps. Ki Chante: ‘téter le lout, un talent eubnaire Diet, celle de Mro GCatherine-Ai ra me LR Le ne ee électriques défectueux, Les per- th votre réco te. La sécheresse, la grêle, les. insectes cau-
Pleure m'apparlenait, je la place Li en For avant lôñgtemps ? UE a té disentée lors de ses d ÆS. NOUVELLES EN : les sont estimées à X50,000 à demi fl sent toujours des dommagés. on , .
. La Jondatrice. cut des he : conmensées par les assUrane es, l ‘ >
Lil
Al
4
UML, | jun de pieux fondateurs, "Mg nl NNIPEC. " ie cé uni
.… - - ; LaBocque ct Mar: Ri al songé à municipaliser letser-
es maux : dé reins fur ent bic: ntôt soù a NL ocque et Alat n ane | ce load des tram ways, I a dé |
; 1] par le saint Mgr Moreau, qui le constitué ün comité étude, pour |}
gÉS et mes forces: ‘aigmentées!, ail lui-même éprouvée comm | crue à-fond le problème, li ehar.
e de Ja compagnie cont vssronnai-
‘€ expirant en 1927.
MONTREAL. A a. suite df
remhlenient de terre un eommen-
-ement d'incendie s’est déci uré à
"a cathédrale qui a causé S15.00
Je dommages. Une conduite du
hauffauge à l'huile s'était brisée nt
‘ours Qu <remparent de Lorre,
QUEÉBE GA TA date du fer mars
[ ést tombé né 1-2 pouées de, nei-
se, Cesta-Mre un pet plus de 9
sicds depuis ce commenceme nt de
‘hiver, ° cote
par une vue du ciel ef par le dign
Mer Maxsine Décelles, qui mouru
le ème nuit qu elle-même, elle
palicmmnient ot fortement coutinn
dans la voie que, le premier, ‘1
grand Mgr Bourget, lui avait indr:
quée comme él int la sienne,’ $o:
effort persisle dans Paction.de se
filles, qui lui restent attachées c
Si dévouces, La récompense vient
voilà son inslitut /à Rome!
Puisse Je nouveatt mont istère ca
l'andien de Rome vivre el prospére
pour be bien des âmes et lhonneu
de jÉsise et aussi pour hr gloir
de | ’apostolut de noue cher pay:
ln Cusa di More Calärina-Ai
DT nous disons du fond'du ecoen
le souhait des grands jours: 1
uiullos .annos!. ’ È
“abbé Eliecs.
dit M. Médard P erron.
:«p aieu , pendant plusieurs
annéés, Doc aucoupdedouleurs
de : reins; parfois il in "était
im possil ble de inc rendre à
inon ‘ouvrage et les crises
‘étaient devenues si fréquen-
tes quexje-craignais d'être
‘arrêté de travailler. Mes
forces avaient bien diminué
aussi Quelqu'un ‘ni ’ayant
avisé de prendre des Pilules
Moro,ines xiatix de reins ont
——
MONT RE AL. -- ne Dandufand,
“pouse. de Phon, sénateur Diyndu-
sind est décédée. La défunté qui
tait Tillé de Phon, Marchand, un-
‘ion premier ministre de Québec,
'étoit acquis une place enviable
EE
AUCLAIR. |
|
|
Ë
:
pre es
5
ploi duuit quélquetemps et |
_leurs-eflets Ÿ furent des plus :
. satisfaisants”, M. Médard:
7 Perron, 227, avenue Lavio-
| lite, ‘rois 5-Rivières, P:Q.
“JT; lionrme doit veiller côns- .
nent à se maintenir ‘bien
ï. tinpn
portant, toujouis de plus c cu. ü.plus gouréux: Les Pilules
° ner se forces et"
ae Soul ce .ŒU ] il yat de: an
Clotis
ner les mala dies a suxqUe re
:
œ vs avec le plus vif plaisir” qu
ie viens de Leriiner la lecture ‘«
Phistoire des Missions dès Pères {
Ste-Maric de Tinchebravs Pair
lprouvé dautont plus de phuisir e
{lisant « ce” “récit, aue j'étais prései"
IWOË: amûme À la Jondalion des. ni.
roisses 116 Red Deer et de’ Sté-M:
rie de Finehebraviyle nuis eanfic:
= et confirme l'exactitude: du ré.
M. MEDARD PERRON,
227, avenue Lavioléttes ro
Rivières, P. Q
Se.
"
cit; Je. dirai même’ que la modé:
tié 4 Ruidé la main.de celui qui:P,
los ‘débuts ont. été plu:
snême ne
Consifér OÙ
l’enscignemer
cer,
durs- que le récit ui
donne, Pinpréssion,
des-prétres vou
ne
x Î Pilules Moro pour
remèdes. Nous .
réception du ve nitro en France cts eKhatriant. au Canad
D A plésieurs. milliers de milles à.
COMPAGNIE; MÈ lenrs famitles habifués à une vie | À
Vrépuliére LS à une. certaine aisance, h. : |
:
« :
3
4
‘ ‘hi, , » ère € ine-At -
été bientôt soulagés el je pus 1 hist nu de Mére Catherine At: uns le mobde des lettres: et de lé
Supporter : plus dé fatigue. Lu bennn squence.. Elle avait van le pre.
Û y cnière revue ffancaise., féminine au
F où IL. ire cons rer disps au Les Pères de Ste-Marie de “nada. ‘Le cain du Feu”...
TA vit j'en ‘at Tinchebray - +
Soient ercpile |
ouraut fé meurtre hideux d'un en-
né, oroi-0n, de 4 où À mois,
fant, ñgé,
Hncé dans une souc ponr être dé.
voré par des pores,
mme
*ANCONE, Balio. - Ence forte se
cousse sismique s'est fait sentir ivi
1 heure 40 le mars: On ne rap
parle ecpendant aucun donmage.,
‘id DIS JANISEHO, Dix per.
sounes Mées ct trois. cents blessés:
cest de’ bilan de Pexplosion dun
dépot de poudre et daantres ni iutiè.
res très, combustibles, à ile Caju,
non loin de Rio-de-Janciro, Brésil,
Les dégats matériels sont estimés à
&100,000,000,
+4
LONDRES. — A eatuxe PAU ses
constantes interruplions, péndant le
discours du suerétaire des affaires
étrongères, le député écosstis Kirk- |
wood du parti ; travailliste a été $us-
pendu pur l'oraleur dela Chambre,
M. Hope. TFaul le parti tr: availliste,
avant'à su (tr l'ex- -prémier minis
ñ
La motion de
SOUICHUS - par
est sorti. de
“hambre ü sa ‘suite,
uspensIon. avait 6
945 contre 119.
tre MaeDon: il.
in vote de
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Ternpletons, 41 St. note % jo Montroel .
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tant pour les dépenses courantes. 7
| . -cnAVRLBOURG, MAPLI CR
:: QU'A L'AUTOMNE. Lot e
D 4 t!,
N° Gubliez pas que la crème ‘apporte l'agpnt éomp- ;
“pion oi CR
Nous avons 27'crèmeries et 8 entrepôts, fi tigorifi- 4
ques à votre service,
votre crème, vos oeufs, vos volailles et votré beurre: :
sn (Q: PERATIVESRSSE
Le emmenés dant ne same og mmece conemenee conne se mue ne ns eme cornes meer eiene amende nnnetannn
Nous, pouvons disposer de toute! LL
Le fourrage à à bo marché t é rend.
l’industrie laitière profital
4
LE ad
.. N 5 7:
Si tous avaient béaucoup de fourrage à è. bon maçélhé
à l'heure actuëlle, les vaches séraient mieux: nourigs. :
L]
. la production de crème plué considérable € et: les cha
de crême. plus. gros. Cr NE 2
4 sJ
rains. pour des plantes à fourragé: blé”d'i indé, tourne-f
sols, mil, trèfle, etc... afin d'avoir: du . ‘fourrage. à boni
marché l'automne et l'hiver prochain? "Ces planta-\
tions améliorent'le sol, et augrnentent : votre reveñu cni
. produisant beaücoup de crème que. vous
* Achetez votre graine de sentente tout de'suite, elle s6- BC
ra peutlêtre rare et’ plus coûtetisé plus tard."
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Saskatchewan Graal méry 4 and Ju: Gream-C0, qi
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* Avez-vous'songé à réserver urie partie. de volÿe tr
8 nous een. À
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; LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi le 1 maro 1925
"
La ane nes cena rennes
. on pme à sen er , + vs em enn: , = , ’ . L ldnté est une plus grande, dire aussi que nous attendons im-| je. . snires
TE RENTE Jusqu'au bout | ire que l'argent ma, pofigune paiement un docteur pour avoir | FPHSIER SRE eo ni
at ge. l À A ; s“ PT _ ne veut s’en rendre compte, Pour | les remédes-sous ! “À un) ; L
ir 2. LES NOUVELLES Sénateur, “Beléourt, a Congres de sugner argent, maitre de tout, sa ns neuptions en vue |: . .Commeyce Salada
L a L , Sourget, Ontario, nous sommes | # it, ” . - ‘demande un hômme compéteni | ” '
, | dans la lutte jusqu'au bout, Jamais | “9Mmme on dit tenir sa boucherie ouverte. La compagnie de thé Salada, dans
CHEZ NOUS ET AILLEURS nous ne céderons d’une semelle, NN TÉL PU n auitré hominé, de, la place | un jugement rendu le 16. février|
ar nous comprenons les intérêts en} MONTMARTRE, Sesk. qui veut commencer tin gurage vou- | 1925 par la coûr de l'Echiquier du
drait s'associer avée un bon méca- JCanada, a eu gain de cause contre
nicien, celui-ci pourrait s’occupef | une compagnic, qui plaçait sur le
marché une marque de thé sous u-
ne étiquette tellement ressemblante |.
ectenen nana eee es peer eee | Co se: j| s'agit de l'âme même d'u- " — ,
} gén De e » , as satifi- | "€ race, L'héritage sacré des} Une belle soirée donnée sous les
À p:6pos des élections gene- Les canonisations et “béat le aïieux, il faut le transmettre intact auspices de l'A. © F. C. a eu licu de la forge en même temps, |
à nos enfants. le ler mars dans le soubassement EUR ! _
i
8.
n Ki q Costes » d , , JU &
dales. Syétème sméricain et cations de cette annee Voiki de nobles paroles. M.[de l'église. L'ouverture était un ie à celle très bien connue de ‘“Sala-
éyetèrac britannique | Rome, — On sus anaintenant que Belcourt, de santé délicate, très çpant:intiuié pre Re Toscoh Mort d’une descendante de | da” que n'im omte, quel acheteur
Û ! rte me —— “ire s a.liDris par ses devol S els, ! cu ar MM, E, Cadi ) Un Ce ait s’y. re.
ie nowbre ues cérémonies de Ca louve le temps de faire de longs Beauchemin, Jos. Fournier, Philip- Louis Hébert pouvait Sy meprendre
: L'idée d'avoir des élections géné- ;
ent: ! pomsauon et de peaurication qu.|. femps © , à
raies ceîle année ne semble pas SoU- auront tieu durant l’année sain jure d'assister les congrés dé
lever ‘beaucoup d'enthousiasme à s’élévera à quinze, savons : frous ‘ournaux et de revues, de faire de:
Gitawa, Voilà ce que déclare le pour l'Italie, une pour l'Allemagn 1; | conférences, de travailler à la créa-
e "LE t dix pour li Sp é
correspondant du Star de Saska- une pour l'Espagne el CEX PO Ë lion de l’Unity League et de lui re.
F srance, 1 Convient de lEMPQUE. ériter des membres dans les sphè
an, Les progressistes, dit-il, sen- je je uombre des religieuses qu. res les plus cultivées du pays. Qu'il
in que leur position à la Chambre ;&ônr benuunves s'éievé à ute jous permette de lui envoyer d'ici
des cominunes n'est pas très sûre, tai, EU ie nombre, Arte : Jan merci du coeur, car tout ce qu
qu'ils ne seront pas réélus si le par- <ARERS IDANISTES HEC st fait là-bas doit se faire sentir
pe Perron et Georges Gratton avec , ee
sostumes gui ont fort amusé l’au-| Le 27 février 1925 est décédée, à| |
ditoire et soulevé son _enthousias-| Delmas, Sask., Alma Augusta Couil- ||
ne, Neuf parties de Whist ont été lard Des Prés, épouse de Léon Ri-
ouges avec entrain sous la diret-|chard, âgée de 66 ans. Les funé-
tion de notre nouveau Président |railles ont eu lieu lundi le 2 mars
mi s’est acquitté de la tâche avec|au milieu d'un grand nombre de
“uceès. Malgré le grand froid,|parents et d'amis. La levée du
assistance était assez nombreuse et] corps: et le -service ont été prési- |}
les résultats financiers furent très | dés par le Rév. Père Pascal, OM... !|
remplaçant du Rév. Père Portier, |}
Gratis-Livre den
ë
ê ny |
2. y à d ;
‘ ! Écrivez à Tho gets |]
4 Co. Limited, Monge |
PER ER PAT ER AE LAPS ENTER
oû retour il prendra sa retraite,
Poe a met AR MERS URERR us suivantes: 19 avril, béatifics | À le français dans l'Ontario: c
.sssème britanniques et système ton de Mgr, Gianelli, Rédemplu le la Riberté, mais les ténèbres de:
os américain riste italien; 26 avril, béatificatior | és se font moins épaisses et
oi de Mgr Strambi, Passionniste ita | bn Le luiga bientot ce Qui san
Aux.termes de la loi, la vie de la lien; 3 mai, béatification du pri vera Je francais au Manitoba. ec
.raure actuelle peut se prolonger re italien GCafasso; 10 mai, béat: era l'Association d'Education, Au
uen janvier 1927, Le système f cation de la religieuse espagnole | LD [ütte individuelle, si intelli.
- .tuoral des Etats-Unis fixe la pri- M'cheline du ,Saint-Sacrement. pl ‘ente qu’on la suppose, °ne viendra
+ + du vote populaire à des dates dé- pourrait se faire que SoCur MICRE D put du travail organisé et cons.
lanent est dissous. Les conserva- chiite ne dos céré ies de bé. lici , atisfaisants. L .
Lors ue sent pas grand espoir ‘ esta ation son Nous nous reprocherions de nc] —-M, B. Colican et M. Jos. Perras OU isttent le deuil: Son mari || Avocats et Notaires’
Dour de np es tés à. ur. lisées par le Pape lui-mé | as profiter de l’occasion pour re E + sa dame se sont rendus à la con-} IS Chadde ses files MM |
pour le mement 4 sont portés 400 ur, HAGS PAR CT nc | nercier également les bons lutteur+ | -ention .des Municipalités rurales|‘M Léon Richad: ses fils: MM. r 4 sen
croire que deurs ctaneët a Pois. i jee S dre es par lu |1e l'Ontario et en particulier l'A | Saskatoon le 4 courant. Arthur, Adélard, Raymond .et An-|{ ; RTE
aneilpores igis set a as ss ge be du moins qu'on puisse ociation d'Education. —M, Jos. Rochon, notre agent |toine;, ses filles: Eva RésG (me À EE eo mn
ue Lois ta astnt da Te noi come certaine {HASsociation d Education, .don | ‘u Can. Nat, est parti pour le ud area, ; Î ñe, cine elien) À craväLRoURE ‘gask À =
D , che +. 1e “ . t sta à n a » Li ; 1 si n } , il: e ! A L. ë il . . é
comme probables les de elcourt est le président, a san | n, vacances e q Latrance: son coustn, M. Emile Ri- {| : RG ASK, |
b
ASPIRIN
— charde Les porteurs étaient: MM: nues
. © ellavance, Douville, Roy ame
TISDALE, Sask. poux, Bernier, Goulet. Une foule …
M. G. Ladouceur. est revenu de "OR et pou aux funérailles, | = ’
: : e laisse. pour la pleurer son
Montréal après quelques semaines |mari, 4 fs et à filles, ainsi qu'une enri Coutu BA.
TT AE nceur on ce la don. soeur, religieuse du Bon Pasteur, à AVOCAT--NOTAIRE
eur de perdre à deux jours de dis. |Québée, et plusieurs petits-enfants, || Sade
‘ance, son vieux père et sa sœeur|;fére Iamille —- éanadienne-flan.
Méfiez-vous des contre À |
çons!
.Cinées. |A l'excepti in de la mort ir rédât sa place aux religieuse Ant qui. se fait contre nous: seu CE
"8: ÿ bréger la durée du VOrange auquel , cas, Ja ce, 13 i Ï ( L , eligieuse. . . : ise, rai r long de men- F See
Pr) d'un Congressiste ou d'un rémonie de sa béatification aurai Ra senisation a quelque chance del Plusieurs familles séduites par ja fair ici Soute la lignée de cette | eme
1 quelques semaines plus tai On se montre parfois aimables au |. Putation de, fertilité con jouit l£emille et cependant d'après les ve- | us
‘e district de Tisdale ont éxprimé
t M. Ladouceur leur intention de
-enir prendre des terres ici.:
—Tisdale se vante d'être üne des
‘‘illes les plus musicales de la Pro-
“ince. On y joue de tous les ins-
‘ ésnteur. ST enenication de Soeur The
ï uw bris : , . LS nl, CE £ C , ‘ f .
arc. revoit l'apoel au pays mime 1." 2e PEnfant-Jésus: 21 mai, ce Pulonant AGUveoneUr nous disait
NN PEER au A PTE _ uwnisa‘ion du bienheureux Çani £ is j 1.
Le and ane AE ue ins due PAliemagne et la Hoïlar | hignenent de rester filélemen
Don one d le gouve nement est bat-1° revendiquent chacune pour so: oir, M le professeur Osb rne. de
‘19h quand le ROUVEr Lcorin'e ?4 mai, canonisation de | , M, ie, D sporne, (
gistres gardés, elle était descerndan- — a
e en ligne directe du. pre-
mier eolon franchis Louis Hébert. à L GUAY
L'ancêtre de cette. famille, Guil- (ENTREPRENEUR)
aume- Couillard, sieur de s- NC
pinay et gendre de Louis Hébert, du Collège Mathieu
tu sur un vote de confiance. Te . : Université du Manitoba, disait fai oi U k "
‘ penneurente PO pi etde la bien ue les deux langues et Îes deu ruments, Mais ceux-ci, comme les a laissé à ses descendants des ar- GRAVELBOURG, - - - SASK
EUR dou “ aces du pays se complètent l’une >ccidents Heureusement, il n’en laoiries représentant une colombe
d’or aux ailes dénlovées sur bla-
son d'azur, portant dans son bec
un rameau avec la devise: “Dieu | s .
aide au premier colon”. A
Mine Alma Couillard Richard é-|à ” Jf
tait la femme forte dont parle l'E. 31.00.8100
:
|
Avantages et désavantage Îtion du bienhéureux curé d'ars £
nai : ; Au hientenreux Endes, À nartr 0!
Le principal mérite de ce dernier 7 ‘nip. de dimanche en dimanch
syétème consiste dans sa Snupiese RE Jian divarens béntification
isélectorat des pays, bri ann iques dont la date précise n’est pas en
reut changer $:s législateurs dans OR fin A cpunire Bernadntt:
l'espace d'un an, comme la chosc Conbirons, le P, Avmard. Me Tr
s É pot Ha Angleterre Fer, ; novt, marivrisé en Corée, et des Jé
ment, sil change d'opinion. De rites français martyrisés au Ganà
cts il permet un appel a l'opimon da É smart) L,cane
#“elique sur une question impor- ' , ue :
: : fixe 2e at récice:
tante, au moment où cette question a aie Sent da
se prose. Dans la vie politique a- Gameigpne fanmatités nar ln Canaré
suéricaine une question de ce gen- tion dec Rites et de la déricinr
autre, Mais la médaille a un re.
rers. Pendant que les sommité:
‘olitiques et universitaires se mon.
‘rent aimables. en nous invitant ?
léfendre notre langue, plus souven’
à leur tour notre département d'
‘Instruction publique et quelque:
nspecteurs d'écoles s'efforcent dc
“ous rendre la tâche difficile.
Nous rencontrons des bonnes vo
‘ontés réelles et nous en somme:
#connaissants à qui de droit
Nous goûtons aussi à l’amertums
st aucun qui ne puisse être remis
ur pied, grâce au docteur expéri-
venté qu'est M. Geo. Gamache, Vio-
‘ons, cuivres, bois, il les ressuscite
ous et il leur redonne la voix de
eur première jeunesse.
—Baptisés : Irène, Marie Rita
‘farleau; — Fernand,. Joseph Dé-
vs — à Tisdale, — Cora, Eva, Dick
te Éldersley. LL
—Le lundi 23 février a été cé-
‘ébrée la messe de mariage de M.
W, Berneskey avec .. Mademoiselle
A.moins que vous ne vai
nom de Bayer en croix sur |h
quet ou les pastilles, vous d -
nez pas les véritables aspirine
j| ver reconnues sûres par de
lions et prescrites par les mél
depuis plus de vingt-trois ani
tre
fangile. Elle a passé sur la terre
en faisant le bien‘ Elle s’est pré- [à MONTRES RECUES’ PAR
POSTE ET PROMPTEMENT
varée au dernier passage avec foi
et confiance, comme ses ancêtres. RETO URNEES EN PARFAIT
€ # ‘
Sa résignation à la volonté de Dieu à
était toute entière, |
A la famille éploréc, nous offrons
SPECIAL pour l'hiver
re. peut Se présenter, giisons, deux An Pape, Certains milieux religieux | autres procédés; nous voulons er |'fgrie Caoueite de Crooked: River. | n0S sincères condoléanses L 81.00 * Rhumes Maux de
ans anrès l'élection Qu président. 4 Gécireraient qune par | ,erûre Je souvenir, Dans ün Cas! \yont la messe, M. Berneskey a lu QUE Nettoyage de montre... :
: ‘ ‘omme dans l’autre, efforçons-nou 3 15 Grand ressort, première Maux de dents Lumb
Celui-ci ne neut interroger directe ee simnnies de héntifivntior a profession de foi à l'Eglise Ca- Maux de reins
Q 0 se +, : ! tdèà s 1 . 4 . ses A 4
Tube MO LE dem envoya Eee | hole a re Le bapiô 6Be) … eine Pere S100 || Nephrie Run
se not À te -aptembre ou ortobre. : ; . | litionnel., ne “ pion ; [à Travail Garanti -. | en ..
st r'r âre tompee L lence et des actes. Nous n'auron: |‘ Le Rév. Père L. Leconte, Pro- Le Novotro du Dr, Pierre est di. M. N LANDRY, ‘| . Névralgie Doiled
ne d'être loué” écrit M. John A.
N'acce tez que les “Pastilles
pirine .de Bayer”. Chaque 4
nn
vue ce que nous prendrons, Il fau'
lonc prendre malgré certaines dif
“’cultés. La menace doit durcir
‘es résolutions de ceux qui ont à
“oeur et non les ébranler, D’ail
‘eurs de la menace à l’exécution *
“ a du chemin, et l’épée est loin d’
omber aussi souvent qu’on nou:
‘ait Pamabilité de la brandir. Pa:
l’excés.de timidité; consultons qu
ide droit avant de fléchir. L'’'As
‘ociation d'Education n’est päs unr
hatterie d’attsque, mas elle travail.
le assez efficacement à la défense:
achons rester en constante com
nunication avec elle.
(La Liberté) PERTINAX. .
LR — pm
‘incial des Prêtres de Ste-Marie se
“emet rapidement d’un accident Ge
"oiture, après qu'iques. jours de:
raitement à Prince-Albert,
VAL MARIE, Sack.
dans Je domaine du vassé et de TT +. — à
rer La tème hritanni Un institut de 10 millions à
; , systèt riianni- ne OL
SE st de .permeitre au parti x; l'Université de Georgetown
disait: de fixer les élections à la nn,
ur + $ enpyton! de mieus à s sin Washington. — L'Université d
és. Fn effet. on a ‘isu de croi. Corgrtown sous fa directidn des Jé
ré qus. quand un gouvernement bri- “uites, la plus ancienne universit
tannique, soit en Angleterre ou dnns ‘tholique des Etats-Unis, vient
un Dominion. considère une époque ancer un, projet colossal: celui d
u tine sûre comme pranre.à des fonder au coût de #10,400,000. ur
lections,: Ia questisn qu'il ‘se pose ‘nstitut de recherches de chimie mé
‘’n’ést pas de savoir si le pays a be- ‘licale. Georgetown s’est inscrit er
soin d'un nouveau parlement, mais tê‘e de la liste de souscription pou
‘si les chances du parti sont bon- une somme de $3,680.000.
nés I parait qu'avec un institut com
me celui-'à on va pouvoir trouver |
Tradition canadienne cause de toutes les maladies d
. . corps humain et les remèdes pou’
Quant à la situation actuelle au lrs guérir. Le but'que l’on se pr-
Cäïada, il faut tenir compte de la pose, couper dans la racine [a souf
Hähdition qui veut que le gouverné- trance, la pauvreté et les désastres:
dbht dillé devant le peuple après économiques, sent bien quelqu:
düätre ans d'office, fn an avant la peu le charlatanisme; mais le “b'uff
fone son terme. Si le gouverne- est une des conditions du succès
éht Kihg fait comme ses devan- auxi Etats-Unis. Du moins il fau
ciéfs, houûs aurons des élections en le croire, puisque l’Université di
1994. . Georgetown ne dédaigne pas de s’e
“Oh peut douter qu'il soit avanta- SETVir. ..
MAS Boile ennéss. Les dort ont Le Raï d'Esp b
hns cette année, s esprité: Son , 2
, ‘hé:mal montés dans pliéleurs pro- Le Roi d'Espagne membre
uinées: 11 est facile. d'en inger nar Ge l’Apostolat de la Prière
‘na chaleur avec laquelle on réglu- :
wie certaines mesurés, On courrait L’Apostolat de la Prière, en Es-
le risque de connaître, un peu trop nagne, a offert à S. M..le roi Al-
frinchement peut-être, le sentiment phonse XIII qui l’a accepté avec vi-
tt de Belfield, N, D. “J'ai souf [?
fért de maux de reins pendant doa- |}
ze ans, J'avais aussi des douleurs |}
dans le dos. J'avais essayé toutes |}
sortes de remèdes pour Les, reins Re
_} sans éprouver de soulagement. Mais outer 1
Où se trouve Val Marie? C’est | depuis que je prends du Novoro dr SE EE SE STE Poutetiles de %4 a Te ns
e que nous écrivent parfois des | Dr. Pierre je jouis d’une parfaite , 5. EU "À
‘ens qui veulent des terres. Prenez|santé” Pour le traitemen. des ERNEST COLPRON. .| :Asnirine est ln marque te
‘ne carte du sud de la province, | reins dont la fonction est lente ou on que: (enregistrée au Cana)
‘oyez la ligne du C.P,R. Weyburn, | irrégulière cette vieille préparation : "7 ‘
Ssiniboia, Eastend.…., au-dessus de] végétale est particulièrement effec-
“elle-ci une autre passant à Swift| tive, Quand vous ressentez des
‘urrent, eh bien, tirez au sud un| douleurs dans le dos, essayez-en.|.
rait partant de cette ville, descen-| Ce n’est pas une drogue de phar.
lant à Cadillac et continuez jus-| maciens, des agents spéciaux la
mu’à la rivière que vous rencon-}fournissent. Ecrire au Dr. Peter
‘rez presque sur la frontière, C’est | Fahrney & Sons Co,, Ghicago, III.
à qu'est Val Marie, point terminus] Livré exempt. de. douane au Ca
our lé moment d’une ligne venant | nada. ‘
le ouest, Nadeau. R ë ré ti 1e: h à
—M. Ovide Nadeau, propriétaire | Jai fait la guerre aux gophers ||
de l'hô ie, © É a ;
de l'hôtel de Val Marie, a loué son pe nant 19 ans
Aucune préparation n’a surpassé |:
\ôtel pour deux ans à un M. McCo-
nn de Eastend, il se réserve le
droit de la vendre. Comme nous! les poisons de Mickelson en cffica-|$
n'avons pas de notaire ici, il a été cité; vous aussi vous pouvez vous |}
des procurer pour vous protéger li
coïtre la menace des gophers.
-bligé d'aller faire'les papiers à
‘onteix, Nous aurions bien besoin ï
Le liquide Ready-Rodo de Mickel- !f
son est le résultat de mes années1l
avoir tout de suite un rotaire ou
‘omme d'affaire assez dévoué pour
d'expérience. Votre ferme infectée |!
de gophers le réclame. Rien dell
‘ommencer une place qui promet.
Nous ne pouvons nous empêcher
le jeter un cri d’alarme, en! nlus facile que le mêler à un peu|i
oyant des gens d’une autre reli-| de grain, et les résultats ne se font |
sion (bien entendu tout le monde | pas attendte, f
a le droit de vivre) s’emnarer en H y à 19 ans j'inventai la pre_|l
Retour par poste à vus frais
Orfèvre et bijoutier expert
GRAVELBOURG, SASK.
| non décacheté contient un À
| d'emploi éprouvé, Les boites {à
nent maniables de douze pl
né coûtent que quelques cl
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AVOCAT . jte de-salicacide de Baye, Q
qu’il soit bien reconnu qu Ki
. FAspirine signifie produit de
“afin de protéger Ie public conl'4
‘ Laflèche, Sask. : contrefacons, nous étamperté
, ‘Îles tablettes de la compagnie 4
_ rene la marque générale de fabri
Le personnel du Conseil Su
périeur de guerre en Fran
ce
mens ne en me ee ee mu
re mener.
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EL. mort à la vermin
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Les prix plus haut mentionnés vous procurent ul
-quantité suffisante de poison pour chasser la vem
pendant un an de touté habitation ordinaire d'une (à
, mens vos |
Paris. — Par decret rendu sur |:
proposition du ministre de la guer
re, sont nommèës membres du Con-
“eil supérieur de la guerre pour
l'année 1925 : Les maréchaux de
France: Joffre, Foch, Pétain, Lyau-
tey, Franchet d’Esperev et Favolle:
les généraux de division: Gouraud
Sertholot, Guillaumat, Mangin, De
Dane Duport, Degoutte et Wey-
gand. °
Le maréchal Pétain exercer»
rendant le cours de cette année
‘es fonctions de vice-nrésident du
4
om
nous . .ve reconnaissance et joie sincère | “useil « i , OT0 4
MU . ‘l'inigre de cette association: un onseil supérieur de la guerre, articulier de certaines terres: en-| mière protection pratique contre lai , , ne sateur à liqté
ut, chances des partis vodéle monté sur platine et or. — rironnantes. . Il y a un bloé de | veste. des gophers: depuis lors j'ai[f] Zaine d'appartements, ainsi qu un vaporisateur à !gii
Li ee Ne . ecré de rubis et de diamants. | Un sous-marin trës conforta |''elles demi-sections d'excellente | constamment perfectionné ma dé || de et.u fflet à poudre; les frais de poste sont égih
lfés-chances du parti libéral, qu‘: oit “en hommage au Souverain bl «re sans roche droit au sud du| couverte jusqu'à ce que j'obtins le|£ sun sont à poudres P
e : ’illage, qui n’attendent que des a-} liquide Ready-Rodo. Vous le trou-|}} ment compris.
. péféront plus que n'impnrte quoi qui a témoigné de Son grand amour
“i#hs la .balänce pour ou contfe les pour le Sacré-Coeur,. quand sur
' éléclions, . semblent: paraître -assez le Cerro de los Angeles, au 30 ma,
favorables, D:$ six nowveñaux mèm- 1919, il consacrait solennellement
pag: introduits, ces jours. darniéfs. son peuple au Divin Coeur”, en
Aûx. éommünes, cinq : étatent .libé inaugurant le monument grandiose
aix, és progrrssistes dé "ouest que l’Esbagne venait d'y élever à
in'oët. pâs remnli: les espérances Jésus-Christ, Roi immortel dé:
“fn avait fondées sur eux. . L* Sociétés”,
“arti constrvateur n'en apnellé au ———— !:#: ;
.psau Sentiment national, et est af- ps:
Æ4bli par des’ dissensinns intérieu- L inventeur du nouveau mo
céé au -sttét du choix d'un chéf re- teur éolien pour bôteau est
FA PRr tous, un mhitre d'école catholi-
que |
. Nos poisons ne sont pas sujets à caution: ils tu
sans merci et n'importe quelle espèce de vermine. F3
sayez-les. : C'est nous qui prénons le risque. Si voi
os " \ckelor an. n'êtes pas satisfait du résultat, renvoyez-nous, dans là
isiteurs. | nton Mickelson, résident, An:|} 4 on. £ s remcé
—Mme À. Dunand lPun de nos|ton Mickelson Co, Ltd, 143 rue} 30 jours, la portion non employée et nous vou :
arehande Rénéreux est rentrée de Srit , Winnipeg, Man, , 1. trons votre argent.
ôpital « nteix avec son en- abricant ‘ e 32—3
ant guéri. C'est une occasion de’ “Rod Powderse 7 OV” #t de) Chambre 32—357 rue
mateurs... Leurs propriétaires | verez le plus approprié, le plus mo-{|}
sont retirés aux E.-U., mais veulent | derne ét le plus effectif des poisons {|
vendre, Dans quelques semaines | sur le marché, Si vous ñe pouvez |}
“ela va être certainement océupé | l'obtenir chez vous, écrivez moi, en [à
ar la vente des lots du village au | me donnant l'adresse de votre phar |i|
rois d'avril va attirer beaucoup de! macien.
Londres. — Le sous-marin géan'
nglais, Je X-1, construit À un coù
le 820.000 livres sterling, doit ter
miner bientôt sa période d'essai e
partira probablement pour un vo.
vage à Singapour et retour. Or.
dit que c’est le plus puissant sous
marin jamais construit, et il a at-
teint une vitesse de 37 noëuds à l:
surface, ÆEn-dessous de l'eau, il =
nn déplacement de 3,000 ‘tonnes.
Il renferme un vaste local où de‘
repas ‘peuvent étre servis pendan:
qu’il navigue sous l’eau.
F0
Ste-Gatherine Ouest
Q. à
RE"
n FL Fi ‘
ou 4 e 1e nu , ! Re .
A MON du parlement d Ot 1! Cologne, — Aa. Fletiner, l’in-
WS . aura. 53 cloches venteur allemand qui.vient de cap
ER hante :: ” tiver Pattention du monde par son
Une fondeuse de neige
Assurance contre la grèl
.: . Agents demandés
Vien fin de | i i
ne.—Afin de pouvoir faire
NT AR : 4 fr "ai ,
s Op - La ‘maison. Gülett et! bÂteau à vent san$vyoiles, est un|face à la situation causée par le: re ” on
» ’ € ancien instituteur À liau la | terribles tempêtes de neige des der . ! e. . u
sat SHTTR Hiquer le carile: prévinee prasslenne de Hésse Nas. | nières semaines, on vient d'inven || Pour deux grandes compägnies d'assurance aux en-
“Jon-quiidevré être. installé dâns ln |sau. Son rève de jeunesse était | ter une nouvelle machine pour fon. - droits où iln'y a pas de représentants
Tour * fde devenir officier de marine: |dre la neige. La neige est balayéc ( (
. JOU : êt entassée par d'immenses ehar AJUSTEMENTS QUITABLES |
LES CGAMHOA él tiera 58: clo- mais il dut v renoncer et s’enga À ses.
1 rt] es comporter RC | ver dans l’enseignement, u pes automobiles, ét ensuite absor. ||
on F ét aura 8 pledé et 2:-pouçes Son invention. dont le “Patrioté” |? ALES de. vastes bassins sur les- ||
ÉD FA été lbs légeres 15 he -déerivait le méranismie il y a quel-| {uels on dirige de forts iets de va
4e ‘auta: 7 pouces de diaruètre, me femns a été reronnne comme | PEUT. On fond ainsi 1350 pieds cu
lu plus grdsse:clothe aura le son. nratinur «i hien que de grosces bes.de neige par heure.
' smi-tonsuivant n’éxise rrnyagmies die, ,trananort mariti- ‘ %
CFA: p ès ‘notes : des, Autres me <onsen reisher sup leurs
Le 4 me Mussolini est un rudes travail. | EE
“an: suiront, par démi-tons, la ; vriseenux marchanÿs. L
pme: chrômatiqué, D. re
Jeu M. "3e d’ ‘di 1] .
nn A emo Léait! LT 7 . | : HI
Li DRE D Da M À 28 mél ou bc our un) nerp tree sat er] NIOYEN pratique d'aider
Ô Poe La à pieds de diamètre | "banc 4e glace donne quelques détails sur la ca- . À e: “D ATRI QTEK Il.
. Mentionner l'occupation en faisant application.
B, 242 Moose-Jaw, Sask. .
RP E CEPPE AQU DES SEE eV ARS PT D
rs
RAVELBOURG, S45k.
Immacalée
. COLLEGE MATHIEU —
_ FOMesMiont installées sur les 4 fa-j. shot | noces. de travail Au icons ji
1. : 4 Qttasva, — L'nn des gardians de] lien. D
set Garillon- part Nalenn, Fred Becchuk., ubl Mnssolini ne défeune guère qu’à
| | PART LI PEN S 9 Mussolini ne défeune 9 Po Tirage d'un abonnement à vie .
ES PNR MERS. ie vnern, était a visiter Von de çne enres de Paprès-midi et ne dine , s = CHADRA ” » -” C
Ce a US A ET ‘én niègne enr Ta glarn à quelqne Aie | 19 plue sauvent à 2h. 1.2 duma.] . Don de M l'Abbé Constant, curé de Maisonneuve; Montréal.
ÿ NGUIRE € fanpe An hard.-minnd In marée des. | tin, Pour: sa "s0 au DT. ‘parom Un nitdo : st Moi
a jelavier enndante: Aétnoha le blar de glare | bre, il ae nr Aer SON cer hi Découpez le coupon. cidessous et envoyez-le nous avec la som-|
LEA sup. lement 11 se fennvait ot In | hnnne le: sert: pne, d'autre compa. | né de 10:soxs et vous pouvez être l’heureu: de nem
PRSAISS eu. Ven il : sert: , autre comns. ï e l'heure :
CU M lténentrte à pen nrèc à 95 millns] gnia, San honnêteté, indiseutée |: " D: sé si u ot x sApant 46:00 abonnement |
se AE ane Où Torre Ta Rosie dHndenn, Sec! set la force, la plus grande omi af. 1 Vie. ‘Ecrivez bien lisiblenent votre nom.et votre adresse. .”
nent: est, dé la M. romnagnane alärent à sa rorher. | farmit-eon ponvoir:-on:sait qu'il nel "7 "4 7 y CR AURA CES |
éelui ue: ht és té, mais inntilement, Ts furent jtonrha nas ses. apnoirtéments mi. or ge. LE -TIRAGE À URA LIEU VERS LE ler MAL Mi _
Bslon ‘ésth" faire tout surnris À ln marée montante | nictériels:: que. sa famille —habitans. ER TIRAGE. D'UN. ABONNEMENT . AVIS | a ie
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Ü
-Soit au -cours .commopcinl Îcs plus. jeunes él
tionts ‘s'adresser au!
VEREND PER RAP
Collège. Mathieu e.
conège: Gravelbout£ S
vénue GCliutch; de. de.le voir remonter l'embouchure | Milan vit le -nlus.: |
enue .COurCB, de, de. air. ouc —— us. .modesteme ù
ANEN-FOUR 6 Rerone es eux plus : de a riviére Nelcon sur ‘un bloc | (ses enfants vont:à' L'école commu. NOM
CBbt cornlosS dé: mondé entiér. Le ! fe gace d'à neu nrès.undemi mil-| palb), et que ses' parents, qui ‘8-4,
* “Galet den: Cathédrale de Sniht-: le carré. . TI avait les deux nicdsitaient nauvres nvant: on “nvèhes: ‘ADRESS
:Raribauld, "à Malines, vient. en’ $e-| gelés. . On le transporta à ‘Winni- ment ne se. sont. pas enrichis des. %..
atre,
. sr segntraons fa fbolaches, . + \peg:où il doit subir une opération, puis, un ne tie
eomautoe,
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se. re INGL
: ses en religion cependant je?
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‘me fonder, “où: ‘elles
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Les membres du Gérele
lin de
tiative des plus
longtemps ils sont “uHiés
aide efficace, “ ‘
voulant être
l'énergie
Afais
toute:
lribuent maintenant pi
de combattre, Le manvais,
parlent aux Yeux. par leurs
Susuestifs bien on
raison abat qu ‘Alt eoCur
phrases COUPE, incisivus,
ent médailles ee
Hique
“Rien me “peut remplacer un
journaliste eupabie et éonvaineu. |
C'est lui qui foujéurs, veille sur li
brèche et qui frappe à propos, soûe
VERT AUS conseil, souvebt contre la:
vobaité des ‘cheïs. non les s grands]
coups mais ‘les ÉOUDS, sûrs.
eciopronct Jos fimides,
téiéeairess D paise fes blessés,
conforte Les vaineus, l'ait
dre ais maladroits Jours
tanGouvees ol fes. répares plus
eue tous Les autres, par grâce
de sa position secondaire el cachér,
il S'éleve aideseus des antipäthies
persenbelléss, 1 étoulfe au. besoin .
es sytupullibs Son écriture, d'où
coute renommée est libérale pour
tout le monde et he se ferme que
pour {ui-néne, Voyant: comment
è fait la gloire, Je journaliste y gu-
tue dette inéprispr st Louis
VEUILLOES °
rc
Copipren-
fmsses
RE
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St. Chérèsé
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Ode Meur ffsue G [is
HISTOIRE D UNE
mndssmsasse
No. 7 6 ‘Ltérre,
| | lui
Ce désir pourrait, sembler éme |
raire, si Fon considère combien
lé Hinparfaite, et combien je le
Mis encore après tant d'années pas-
sens
tétjiours fi. méme codfianee audi
vieuse de doveniiune. grande suite
le. Je ne compte pi 10 ‘sui mes mé-
voie que
Chiate-
PA. CC de Bue kingh: au, |d'applaudir au
Qué. viermienf de prendre one ini-{jéunes
apôtres dans Lot
du Lerme et gagner hommage est grand parce
mer un irael de Six pages. qu'ils dis-
milliers.
Ces pi dites feuilles iessigères sont
es
litres
vedette, el à la
par Jours
frappes diatiqu de jeunesse rend à leur jour.
DT ner Per
Le: rôle- du -journaliste caiho-! Dénoncez
I for- iehesoin de fumière cel de
codes tr aintirds 4 marehor, engaue, |. “ni
retient Les.
Sauve
“ni osans
: Re
AME ECRITE
PÂR :ELLE-MEME
1873-1897:
hors dinier Div el le servir |
Seul"
Peut-êlres. en
faire connailre, Je moude gvant,sa pi QUUr DON
première” visite à mon EE
me laisser choisir plus gûeercent Pa
suivre, \
“Ma premiere comtuinion nie luss
“Lt nt me un
TT ; ‘ L ,
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avste apastolique des
L'Aide au Patriote
Hs-ont voulu,
rendre nn
selon” Leur
vent si noblement nos bons quoti-
diens cet hebdomadaires € athotiques
nationaux ou Canada Leur
qu'il est
des adeptes à Focuvre qui teur est diclé par un sentiment ehevaleres-
chère, leur association a fait fimpri-
ques Fes grand porceqe'il ss Par
bilion de se Fire entendre par tout
le pityst il ext grand pare qu'il s'a-
dresse à toute une phol tuue de
journaux franchement « extholique 1 vi
R lé A mn
de porte en porté dire dans ua! sement francais, au nomlee des-
n sn ‘ { ï
lmgage clair el &loquent les cui ie nous jones Ronorés de
bocante : "oi uuter Le Patron rod |
cons de favoriser le bon journal et fe Patriote ce l'Ouest,
Meroi ñ nos, mis de l uckineh am!
Fous les Frinenccanadions de Ja
Saskatehewen Son sensibles ju té
Htigiage que eelle vaillinie asro-
un,
2. SANS hésitation ct
Ï . ‘S&ns peur : °
os
“Vous
n'avés pi is,
j'ientilon d'afténuer,
je lespérs, fu
li vérité ef de
lien: ta Cr Perreur, mail
'poir de vous faire mieux aeceprer
Fu vos adversaires? Le peuple 4
taee le Us-
vérilé,
non dé écinprouissions ni d'ha-
biletéé qui ne sautent rien. N'a
“Daissers
pus notre drtpent, jar
“'Hets supporior:
fre, affivnions-
“hous el ientons nos à notre place,
CA faire des concessions, on gagne
“d'être rejeté des sions ct dédai-
“une des autres. Philesnons un bon
“jour: on vous dira 6 oh Vous
Déhoncez. sans hésitation
peur, Les Fruisse + doctrines
et tes nelos mauvais SG Mer
GICURRES évêque de Bavonne
instructions ätoun prôtre jouriadis-
te,
a) scignumen
L Hhuadiveté €
choeurs se
de Buckingham et des les:
louables. Depuis broposer en modèles aux Fils de nos
à la cause plaines.
des bons journaux, ct leur prétent l'expression,
duns-‘ia mésuré de leurs forces une F'hômmage à l'ovuvre que joursui-
motleste”
send À valendre sus urofonds” eus pote 4 Hal: ints” COTE", HO)
_LE PATRIOTE
DE T. OUFS]
LLC ARTE ES LEURS fers LEE
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NOTRE : MOT d'O RDRE
LA OE WARA PE EURE RS EUR
4
3 ï !
LAN LEE2 He CR
, ne | : n tive Nous le Servirons ts ins | Ki] not r I
. É & Abonne , vécut anus Ni Phnaglne fou, fui 6 coute ti le
. «Mais, ne lisez ; pas le journal jaune, qui ve remplit $es des abonnés en le répentant au jets moral ue reheotrent ie h
® pages que, de sales récits de crimes et de! lales : I âte four de nous: pous le sorvipons enr | ere NUS
pas q Ês es e crimes et de scandales : g À tin par de vitoureux plaiduvers de pire euhemi, de lus hxhoeri
es coeurs. : contre ceus qui de dénisront, ect de plus facilement ighort des
, hu j «
Lisez le journel de Princiges, pour qui la vérité n'est Cest Le devoir des jones. Que! lotte Tag mère 4 les plus sol
. que le moÿen d' agrändir, d'ennoblir l'esprit et l'être. es cercles Vuranisent pour mul fie itoirs de selles divoreées:
Ë tiplier es feceurs dt bou journal: AL MR nn NT
© el . 1: OMR AT pa ait un val inde lent, db meurtre
LL | LIRE C EST FE DISTRAIRE ions de abord faisonsle tire [toto urensé sous prôte Ale que te
+ ie , chez nous et repandonsle tulour de ebeletes ne pmsail puis résider
Mais, ne lisez donc pas le Journal Bouffon, qui s'amuse ue juin + Rte des es passions, conte sit arâce
à reconter de erossières, histoires, illustroes de vulgaires imna- ES Dot rat à N URSS de Dir inanquail à qui vil Eu cle.
N , " °h NN EDR nager bunienents le pére de La
OS: Il yâte les” esprits. . à" « Nolre, générosité eat proverhine. mille Vuit font ali qui, . bigue ÿ
, Lisez le Journal Honnète, 1 jours digne sans être en: pour hatie des églises des hôpi looue de dont Lot ee qu'il y n de dti.
nuveux, plus soucieux du bon eoûl que des gros sous : Cu des écoles is conne nous Somtouné dans de monde tout ve que
: SOAUHES HICSQUINS pour soutenir Jos le ment offve d'atieatts pour Les vs
, ee à ÿ . NN CL : LR à Sos
, LIRE, CEST SE RENSEIGNER ; bons urnauxt Cest encore une pois faibles el les vovurs définne
| Ê ne men : . ebtalité à réformer, che dans dis chés, el net a cute L'onoeni
5 Mis, ne lisez pas. Je Journal de £ Parti, qui voit loul avec na UE ten mi jun rar pe Cntnrité paternel, l'ennemi
RO One pres&e enlholique cl mi i resbect fith LE ‘tel ‘ "i
des lunettes bleues: où rouges: À Tue le patriotisme, ante ! dt rene tite Pennent tu ti
L | dé } l | ire, défi rouinente, Lopoent den pu.
: .isez le: Jourra! in épendant, qui n a d'autres intérats Des ina NT
ë ke L di COPA uPs NNAUSESS nous prossl so té de sos Fes ot de que Fils, l'en
que CEUX de la race, ct U pays. ent las, de frire hs sacriliees Envnit de fa lé divine, on un muul,
: | n — os porcun jutdehal qui nous re ad plu cel enpomit{i est dune Lt puison
: \/ . . SU
£ D'ANS CHAQUE FAR HLLE UE “hrétiuns el guillents Files Are fete lé puote plie mère te s'en sut
#4 eme ae » , e ‘ | nt" réléne-nous à 'eûlle de Lé- mn NH: | cie '
£ il faui le bon jouinäl: un journal qui puisse distraire, ensuite 2 Que Lors eux, Qui sénlent soir L A fan dus Lunentables 4
gncr, inelruire loul en étant varié dans, ses pages, raÿant. 45 enr ù Non ei, D Lvenelennen plus. upide Je sais
j » . Lure ; ho peut de focor liber a Feet -
dans ses nouvelles ‘intéressani dans s sa rédaction. Lt “ Gr Here le Fée vidé bien que domain il DL TE
cu ce Di preuse, ehaeun proportion ds Le fille, legne de
Recevez le bon joutnäl qui Vous enscigne fièrément quels + Mine us lurpesses à an Fortng, ET ANS LE Binille, fi repne
sont Vos Devoirs, qui vous rappelle chré iennenient quels È C'est de devoir des Hidèls de soute fout, que le bére ersk de doté
V ‘ L fencl a ue de eur. Da tant étouffint sons
Lun o$ Droits, qui, ne veul. tte e pré nn ”, ne de CU. ft de à Gfé Lehotau oresse en voneourant ip, au. nine oo dehtandéton éonibpeii
; di élosmo : re ste 0 ou ‘ . a
vos propres inlérêts -el écux de vos fmilles. D tHivéleiment di latre vire eo pre Cite 4 ou glisser si bus, voi
. : 1 ï , US ‘ ï ‘ ! , .
‘Amis du Patriote, c'est Le C crele Chatelain de l'À. . Pet, bu pes, SENS RE # Lrcpl d'au enfant honnéte da ju
À De # 1, { n » 4 h û
. Buckingham, Qué, dui nous tranmnel aujourd hté en ini Lo, | se ee d'anionrd' hu luppelte voleur
: Liliane mol d ‘ordré. # Ecoutez lc, fattesle vôtre, car il vie nl } IF DIT uni bn \£ h maison | j à nee " usine h seit
rl : sé .sur La Î encore ur l'état , lis Horoniils D saesie de rottun
counc lerre conquis é,sur la fait et CRE re plus sur l'ét vi ï ps : Se nn L
| ré, AUS & i i Pros & : EÙ pelsanue ns s'en soucie [hu à Di oeet Qu Hantivais joue ;
. Cger. : : L oc Ï fa hi
: & ‘ : . ,. 1, . DRE dut be non LR bal qui se fit le caléchisnme dos ;
Fe I vous dire qué.la seule lecu: nre, Ci apable d'élever lex & L HO " : | nr ion | atratteures le nreriler iniliatenur n
: 1. CESR OS CRIE EE ETS FITTEIT ES SP OUR UCON- Ù ‘ a
mes à da hauteur des “devoirs s qui s'imposent, ésl celle qui ins i But à de qu'il ere le dut pes criminens, LL ee
- |} Lruil aux meilleures Sêurces, qui distrail dans la plus honnête lber tout de mélor le bon ag onu D Cérnons Un vondutuné à mort ë
compagnie, qui montre la reulé À suivre à l'unique clarté des valse vulauire au spiviluels à col out d'ail conimenvé son apprentis ë
intérêts de Dieu et dé la patrie, à Qu'i Livorise l'itnour Qu here, des tue Unis Us rt een dun mate à
mes étotadte ca HA pr DEC IETEULNUTE PU TEE CE POTTER ETES TT a, AENNITAS phaisins, je culte do l'or, de (Hi malt, suis # | Heu , Fe
Ts, mn mote | : ‘ ‘ ‘ ‘
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te NE EAN LAS ds a de dpi fr qu LT Le en En à En
a A I DA en BR Di HE nn 9 sil M A, que LE anus À
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“Patriote”. |
Haiti set ru OH ID DOALE ESESSSS “0 ;
DANS CHAQUE £ FAMILLE
LIRE, CEST S'INST RUIRE
l'imars 1025
crodi le
dun ce
PE ra ii _—_—_ Et
:
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Ur rome se afarmenr Le devoir des eunes de l'opinion, ùove qu'il uaulle dit
ne un. torees el fil silenre Sur l'oppres
& Seunes gets, ouies _ uous, sure sion des faibles cer qu'il utilise
\ virons Le bon journal en fui proen- [les ehosex reliritaises, CUUNTONONTE
eut des nouvelles. dus urines, vert de sun euprit mondain, Pret
eu ni apportant des annonces, opt dite ou hépoctites ce uit réser
Lo ui donnant des ecmbrats d'impres Eve Fhonmiage de get promièpes pa
r : Sie. Bu prieur of Fiaiinent dunes à ht slorifiention des matfiu
jouvaual comme PFanbopee ot less leurs, des débaurhes, Jué robuste
Lo. hupressihons en sont l'énergie mecs société,
sat
Me
non on same rte) nn State semaines Sema
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‘ j
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privées pus ete ue, sontail-si fade, fa fendennin, lab 'coutvuort je ET dette ae sobn ln visite de PE à
si je croyais dans mu de Jeu mére, sont uussi chovéest fragile, que pour jttuais colle vou Lens din cortin voile ils: aiéhur put Suinfs Je pe pouavts nee
que Les plus srunts pé-! que’ jefl'éluis ACol âne, Dai Sunir à lt Force Divine, Lenbie, Les belles oilellus les eue dre gipon he HE pas ue grande à
à n° ‘ L h on « + 0 diese
seraient convertis en Pé-; Pécontais avee De ucoup d'alten EE voiei que su joie devin si, denis que Fuvals reeus me pempliss tendon à bi réeeplion de ce sur
coutant, el que, laissant Ft leurs ri Hon és instrnetiotis donnée par up agde, Si profonde, qgirelte nm pitisaient pus mon eoenur!t Jésus aout tent d'ou La eérononie n'a
e he "SS US
rech
voenies.
| de Dies I
“quelles 1
l'jeurs de ce
i Duissonne
périssables, is n'enssenti AL Pabhé Boni, et d'u fainuis Sois ut contenir, Brentril des lirmes dé désormais pouvaltine euntenter, ul aunt HS ei Chen nu jour nttaque,
crehé que celles du cie) gneugernent he résumé, Pour mes licieutses Fitondérent, au gril € | je cne saupirais qu'apires lu noent per Fr gobtutath de voir qu tr
, Léié “bient pensées. je ne voulus en écrire : au, tonnement de ses compnantes qui bienheurernx oi Je le Pepedrais une LAINE un peu mrolungée, AB! que
époque, il med ete cune disant que je me ls vapgipele plus tard so feuient Pons à Fauss acconmde Fois Je fs cette soponde on une dit losenset Conte Les
1 aire ornison: mais Marie, li ais biens ce qui Ful vrai. ire: "Pourguioi done belle pleu- comenmion Le Jour de P'isecpsion, pôles, Foioefote av bonhoop Le
| me “an assez pieuses ne LE Aveccquel Bénbheur je me rendus ré Navaiteolle puis ne ighiétis Lol Pets Le bonheur de on'agenouit Conxatnient promis, fe te rejoui,
Pormettait que mIee seules prières à Lous les off ces ennune des relie de de conselenee?e. Non, eétril| ler 4 le Fable sainte cuite pape et sat d'étre Bentél partait chrôtton
Un jour i PAbbaye. une, gieuses! Je me faisuis remarquer plutôt de ne pus avoir prés d'elle a bien aimée Mario, Mes Jurmés de, ot d'avoir sui de front, dletuel
ne tre nn i: nat a ailien de nies péfites conpagnest so mére ou si soeur enrioéiite gels contéreal eteore ave me ineffa honenl gravée, Ta erals masslépionn
né, quan. ic Due aus par on grand erueifildeanné par mate aimait ant ef personne " ble douce: je ue rappelais ot nee dé ee saertinent Fneffable,
is, Je répondis Timide l chère, pnie: ic le pass durs it: contprepail due toute he joie «lu ciri répétats un cesse des jours dre Je he gehlis hs Q vent inpétu
indaine, je vais bien sou | Coioture à la Tacon des missionnai enant dans un coeur ee caen ei hsaint Pit Genet plus mal qui op de lo prendése Ponterôles mais
: ments A
facile
Jésis” voulait il M de mon
Et bonne
afin de
Bei Dicu,
je devais fui promettre de PFéternité:
4 *
fard Juan
pelor le
| “went one e Lu
ce vide de ina chambre, qu'il nresti
de
acher dans un petit 6spa- . Qt
' ainsi pu soeur enymélite,
bien vers eliu: en eff L ue L'envo-
cnrs où je pensais, te
ires, el l'an crul qué je voulais ini
; ‘ È + . Ü
(es QUE
Le, laible ctoimortel, ne peut Bi sup-} sis, e'puf dés
porter SAS pere des larmes..i
L Losmuent labsenre de
qui vit en moi! bee
eut cette beau féxère dont de pu
puis elle sveonde visite de Notre
phete Je entndis he CELLER EE DEN ENT
nu mère Süigneur,
fermer aveé los rideaux! D ee, ie 1 “spirais lus sir le la QUEUES dHoreh, fu CU jour,
L el‘, je pense Mais pet SOUVONEUIHES .punaérs el LEE nranrait elle Fait de Hit peine le jour E recetoins er qui rites L PETIES i je regis 1 forces de sautlrir, force
, Us? i je \ coeur! de li savais en reiraité anse mie première communion Puis fautes les princihdes féles Hélas! qui n'était bien jpéerautte, var fu
sen-vouse me dit ca rule sis non pas. il est vrai, DT que e que de ciel habitait dans mer meslies Féles ajors ne paraissaient bien urivre de ent Alue. desail vou
religieuse. Je pense ML jéeus se dnnit elles mais pour seicn recevant Re disite de Jésus, je rs] ne me D neterp ju ap,
ñ Ia rapidité «le a vie. ‘} donner elle méitie, tout culière A'revus aussi celle de ms mère ché) A4 Veille de vos lregrons jours À, us déliei bi .
“pp enfin, je pense: "Celle Jésus, dt ceht le jour mitigé cle nn rie de de pléurais pus dans at 44e | ie ie préparil conne cle l'a. fus NA is futé lé
réflexion ne fut pas perdue, el plus premièée donanbbion Colle soli DE VE aulines nous étions) voit fail pour a prpmière AUTIUNE ie ps je ‘his fret tt
rAresse ai Se TE de passée ghns: Palente me fuit plus unies que junaist Non, je Iel nion, ne fois, je Cnren souvioiss Ie 4e netsionins de rénesisuis
&
-blens dans
! : Là Lo bi , ; , DT dies étifes el relenars
diles, ne t tora toujours, comme qu souvenir | bi ; L done doublement chère. répète, fa joie seules Eneffablés peus Pelle pue jante de fa soulfraneé, me laviéiiont le ses des ehoness ju
s £ s , . Los 4 s insätis encore ; st Dore , +, FR , , fiipn ; = nn è LL
ee ayant aucuy: Mais! feslins nuages: À me semble que jet demandant si e pentils ENCORE pe ut jour entre tous les; Lande, remplissuit mon encur. | «is ar'au lien de me faire pr loehl ne pute esthéme
pére en Colul' qui est” a Vertu, la ie de coprends aujourd que je, , . .à inmmecnriei « ia anonent atelier jar celle voie, de bon Dieu VS seulbtionl une peine exthéme
x ne pouvais ètre mieux dhposere le jours de da vié,su fev pot moi! L'aprés-nidi, + je proneueni lei pur evlle vo à dfiproucdre l L Copa
Suintelé mème.s. C’est lui seul qui, el Tr faisais, alors une véritable oraison, : us onu Pacte de sans doubs me porter pit tonjours À dbpreudie ol à mot Cepen
. Vous vous rappelez ma Mère, le Quels inerte bles souvenirs daissée nom de Mes compaghes lat 1 SSH ub Ctie jo ] S Quil pot Je lécblsies nice or
contentant'demes.faibles efforts, | dans laquelle Je divin, Maitre ins- D ue TT à du Sainte Vicrge:l , Hit cpfant,. Ces por CU poli ANS ULLUESSTRERST ES
ravissant: -pelil livre que VOUS He tirent d is quon. ue des ioimires, Consreraition à it abitte Ie conne Ut mr (QE Ü } “for le furet vodréonhés de DUT
m'élévern jusqu’à lui,.ime :couvrira . iruisait doucem@it mon coeur, pre | br nnittpneuhe » el l j les Crevinrent à l'os: it TOR Ù el COUPON IE CCS,
de ces mérit cu f viez ‘donné, trois mois avanli le: "détails de ces heures du cielf Bel Mes nitresses pe choisirent sans tés pue resihrent à *F aires Mnsion Péuniüniur grappelait sn
OR ù Ù Ù a |: Lt inave à » 3 , + : OR vpn h M n 4 ‘ # 33 ê ;
ne h ériles el me fera sine, DAS ‘grand jour? Çe moyen graciotixt L es Lrois mois de preparation à joyeux “révuil de l'aurore, les bai: dote, parer que javais ôté privé | copnosuion dir faus suivant, ete ut petit dodteur, «its dou à emiso
Û f re 7 L : N DT n , ntg ÉE s] per if MATE ‘ ‘ ” wi " $
he Jensais pas aloës qu'il fa tait | © me prépart dunce.facon suivie el DE promibre communion DAsSèr ent! SCPS PESPOCIUEUX Pl londres des til hiven jeune de ame mère de fa, Berre coett S'enfféoun dus vif desire de de Bot non mn Thérése ,
L M “y % à Ü + 1 4 ! K 1 "; 3 # 1, ENT DE 4 VAE # DL ñ , Î 4 { 1e L
. our aie pou: arriver À rapide Gi. depuis longtemps, jel vite: bientôt je dus entrer en re- ressés et des ecinpaaies, Ja ehan-} Au! je mise fout uen vost à mel fa souffrance, avoe It certitude in
is à etc , € jon Die nc ‘arda pensais à ma première communion, l'aile et pendimit cq tefpps devenir, bre de loiletie remplie de flocons consacper à da Vicrge Marie, à Doi ue qu'il p'éfil réservé un STAHUE j etant les récré dans, lt UNE
les ù roux es rncont ce nou Pi M il fâllait néanmoins donner & on! grande peusionnaire, All quelle .Doigeux, dont chaque enfant se vo demander de’ veifles sur moi Hi notaire cle vrois, Afoss ion fonc Hs biop SOUVENT à evhtenner
WOUVCS l'AC niècs, Plus haut,
coeur un
nouvel élan et le remplir
reiraite Dé
nie! Je ne crois pas que!
ñ
vail reveloc 4 sou tours soPtout à
me semble qu'elle regard su pete. FUE Mnendée he les consobtions de foi les Joseux ébnis de vs cote
nienant je rcprens. ion r'é- de fleurs nouvelles, conne il était l'or puisse goûter uné semblable}, chapelle et le éhiunt du eintique te four avec: snonr et Di sourit! que je d'en afepoint ele prreilies S,pagnrs, me five lit ñ de serions
Gil at point où je. l'avais daissé; marqué dans le précieux manus-| joie ailleurs que dans les commu- matinal: enrote Je me souvenais de son, en toute mé vie, La souffronec de réffesions G'étail M, distrac-
. Fruis mois aprés ! mis” gucrison, .crit. -CGhaque jour, je: faisais doncinantés religieuses: lé nombre des: .Ü Siinl “HA qu'enéi ivonne ni l visible sutirire_ qui. n'avait autre vint niet atfrall, je ui lrouvai des ‘tion Favre d'uvais. aussi invons
Pa ne Fil faire: un ag blé vol un grand: nombre de sacrilices - el enfants étant petit, il est “d'autant. des Hngés Le : CFois guérie et délivrées je myvaiss harnais qui tre “avirent, sans Loue té un jeu qui mit faistit beane QUIL
Mages Hi je commença . connai- “actes d'amour , qui . se" tanstor- | plus facile de s'occuper de chicune. Mais je he veux pas, PEN poule) Hion ce que je ni devsist. Étle tifeis fes bien COnAre cpharae, lie dechepyais hvèe soin les pauvres
re Jo onde, Tout, était joie, bonmaient ‘en autant de fleurs; - tantôt} Oui, je l'éeris AVee UNE reCONNAÎS-pais pas tout dires H esl'de e6s. enic, decmoltin de ee Nain il, Je seniis un attré] ; art désire Upoifs dissous Joihis Ciorts sons
hour autour ‘de. moi: j'êt ais" Tètéc. c'étaient es . violettes, une’ autre l"gmee (ire! nos mailresées del chôses qui perdent leu: parlons des o}lig pas venue déposer dans He en-” cetni ile D'almer qe lé bon Disites srunls arbres ol jé les cuseve
choyée, admiré: en. ün' ol, mis fois” des Loses: puis des bleucts, des’ EU nous. prodiguaient alors qu'elles sont CXpORÉ es à Fire il est lice mon âme, son Jésus, br Fleurs di ne Lrouver de joie qu'en foi sul. “lissais honurablément, lous dans. lé
Vie Pendant quinze jours. ne fut SC-
née que de’ flouis,:
Hi mot, toutes les fleurs de la nature) ne &uis pour quel motifs, mais ichse' traduire dans te input. de -
bien Aron de dire queft Ve L|'devaient former en mai le beree caui m 'aperecvais bien qu'elles voillaien À terre sans pérdee aussôl four sens:
letsent és stbagffontés séduit : kesprit. “du” TÉSUSs » © . jhlus encore sur moi LU SUP: ICS brefontt el Lecléste!” oo
Même éloigné. dû al PAS IX ans, : Ehfm, j'vais Marie qui ji rein Cempagnes, ‘ .. Ann il ut doux le premier bai-
le coeur se-laisse” facilement éblou’ eat : Payline. pour moi. ‘ lo Chaque soirs me preièl "6 iailres- st dé Jésus à hion, âmes Oui, ce
ie el j'avoue que‘ “dette $tènce Chaque soir, je vestais bien long | se vénait avec sa petite kinierne lui un baiser d'amouirs dé ne si]
“Cut des charmes, po qu noi, Hé- témps près : d'elle, . avide d'écouter ouvrir doucement: les : “rideaux: dej i ais aimée, el Ce disuis aussi fe,
as! comme le monde s'entend bien, ses’ paroles: que. de belles - choses [ mon Hit, el déposail: sur. mon fréht{ ous aime, je me donne jvous pour;
à aivr los joius" du
dt
le ser vice de Die
“Coinine:
tèrre "avec.
F | ne
“éliè me:
nn cependänt ne midi
“Visiter un _grahd” nobr ,
SoRnes que:Fit ‘connue
“hes, riches: et héureuses |
llourne. pe QNIER ‘pèn:
Melanteues gi elles ü
FL -suerr icr:
PUTIS revint
taux vE des: jar: cte
“ouir des comtigdités, ç
_Pâquéreit cs,
tout” son, coëur. si
rénx Bass rit. ‘en. noi, !
antiques npprenaient “Madame, je vous aime.bien, aussi él lui.et la petite Thérèse s'éfatent re
chérie ! h
des myosotis; en. un des- soins
disait!
grand, géné! #nait tant
Comme les ‘de sa bon
Jours enfants: Je. métier dés ‘armes [vais vous confier: un
ainsi napprenait: sole. le combat de
i6, excitant: QU ‘amour ce nic précieux petit LUN (EP Ah
Firant à
l'ouv
“euiliet ii
d'aüral
-Youlu . t'être- “pas
RTE fuc senble quel an tendre baiser,
[marquer voinbien - J'étais privilégiée! le M
” MHusicurs fois, -en efret, péndan Tu tavi il-cHe RHES denis
v'ellé: rétait. élo tente celte : soeur Plus 1
Q à retraite, ie dis l'expérience: due bien! .5a perte?
vraiment inaternels: del des pensées intimes ui he peuvent,
Elle, ane: Lémoi-Etoujours! “Jésus ne oime fit aucune
d'affection, que, touchée demande, il ne réclana aueun cit-
té,-je lui dis unosoiri “OL crilice, Depuis : ongles, “déjà,
grantl & sécret”, gi
_mystéricnseent : Le
arme, ën
lors,
tre rencontre nef pouvait plus:
cles ûn simple}
. fusion. NOUS H “étions” bus deux
… Thôrese avril. diépart comnie fa
soutte d'eau qui,se PoñE. au. Sein doi
Di'deéan,. Jüsus Festit OUR
ire, le Roitf Thérèse. ne! lui
# np,
rit. pien, | élicatement. "1 le.
vec atténtion ctine fit ve-
gardés 2 compfipe. Ce; jüur- Lt no! na
repart, : : jHais. me”
“ie était
Geite- dibert Jui: Aisne chan
is des vallées! ESotsent,
des champs el lei RUE pendant hies setious de Hiépite citueliér 4, ft l'amps e ilu ET
LE Au soir de seecbeau jour, paprél étâces, je répétais ve passn de HI RUZON, L'atres fois je pucbti.
prenant a ain dé sa. petite reine lhujtationt. lois des histofres, ot souvent:idé
0 dés le quuseur incp-'
; FU j caps D, . Fe
se difigen vers de Carmel ele vis) fable changés pour nfoi en" amer-urondes élèves, se mébatent à nus
mu Pautine. devenne l'épouse: dette loutg: Les consolattons de Ja auditeurs: ifuis. bientôt bolre sue
sus: je Hivis avue son voile blane lerre, "Ces , Piroes sortait detmaitresse j pie défendi de coutiniee
comne, le en ét st couronne de nes lèvres sans. Uffurt, fe hrs pro-nop inétivi d'orntvur, voutunt uote,
rosus. Ma joie lul sans amertune: nonchis comme ta enfant qui répé-lvoir courir. cl HON pas disconrits à
d'espérais lu pojoindre biemôt, ete, sn frop comprendre, re qu'u- | Je, vhôisis pour uthies, en.
aliénre ses côtés Le piel. ne personne atdie Tui inspire, Plos temps , déus- petites filles de sc
de ne fus pas insensible à Ja létebtard je vous divai, on Mère, eoni-{hges puis AU üsL étroit le “og
de Fanile, préparée ÉITRS Buisson Es Notre. Sete s'est blu à récldes ce CaturésL Lines d'elles it
| nets, ‘Lai jolie montre que ilun- | adiser non désirs comment if ful obligée de, entrer. dans sa TAU
mot cher petit père ue fil us, loujours, fui seul, a douveur nef {pour quelques - tioisi pond: inf soi
4 =,
à
;
UE plaisirs ol cependant mon) Fable “Si je vos et pardais win! absence, ie ne gti bien de l'oit-
hoheite. étaif, anquille. rien, nel Lenan(, if fasjdrait, satiiier sur maiblivr, el je onhifesfit. bic. atie
| pouvait roudblee Gba fraix indie vie de ictine files ef J'ai beuteoup joie, du, la revoir, Hélas t je n ob.
L M LR nil fes ci ht ui Soir; LATC détails à Vous donner entore sur (tins quat regain indifférent À Mon
n
re Les-jonrs. les us ridioux: sont na vie” d'enfant Pt. anitié tit col pr sb: je le.sécne
suivis de lénè bres # sels de jour à ie) Pen dé fténi aprés nu, pro. (is, vlceténte #0 .ne nienelini plus, dé
la preiniére. "le Pélérnelié conmue;cinlère eomannion, j'entrai Ge LLITES or miiik ini affection, Si iñedhstan-
4 nion . de Ja patrie. sera SA, if VerHi ch retraite: AUTTEUNT a ‘
ina, tion. der: m'élais -Prépirés! avec
chaque” MT or puis neuf ans on SC igne de |
: Chevaliers ‘de: Colümh.: .
*
5 2,
eee prenais —e
_Péfce- Albert |
La nouvelle cathédrale d’ Ed-
monton
Edmonton. Le soubissement de
Lu nouvelle cathédrale StJoseph se
à
—Ù n. “bon, “seroupe Gupe de Nos COM
triotes "kon allés à la Convention.
de Réginas' Le nord se trouve bien ra sSoletunellenent ouvert at eulte,
veprést ntérnuxs séances où s'élu-, cdimanc he le 22 mars. par Sa Gran: |
dient dä-has. nos problèmes, natio-.deur Mgr OLearx, |
THIN. ou !
Au nombre “des heureux vost La baissé du blé i
soeurs hous AVONS- remarqué: Mur, ‘ |
Brodeur, PB. A4 Vivaire général du, Winnipeg. Le marché du blé est
diocèse: haMorrier, président de affoié, Lessoptions de mai ont per-
PAC EF, Ce: lé BP, Auckur, tr d'un sent coup El 34 sous, les
recteur du ’atriates M. Jules Cus-)péduisant à #L90 14 Les autres
grain. secrétiite (le Fa. counnission grains, en partieufier.le seigle et le
Scolaires lé RP Langlois, O, M, l. Lin, cut subi aussi une dépréciation
M, l'abbé délss: curé d'Afbertville leonsidérable, En mème temps: fa
déléutés nouvelle tirculait que les eartels de
CC ApAen de plusieurs
[l'Australie se dés agrégaicnt et que
de sa phroissE, etes ete
M, Jos. Fortier. ae Aldina, Saan, ICS ferimicrs préféraient vendre 4
les avait précédés de quelques jours. IF nt conant sur un marché üu-
afin d'assistér on cours de route Aivert plutôt que de risquer [Hi ve;
la eonventiin és municipalités ru Le eme ponêre ative, avec des pat
rules qui se tenait da semaine der- ments CspAres Sur toute LC nnett,
nière à Saskatoon, Hs Dintention es ue tn ne =
quatre où cinq jvurs d Un nouveau yro ojet.
}
|
de passoï i
auprés du got! u
f
!
Hégina pour pl: tider
u Baie. Le territoit "eo qui
D'Avers CR ls 260 milles dei à roe e
leuils este loin d'être morocte tif.
cet une partie du £1, 440.000, affecté.
vernement les‘ intéréts de la muni- OU Les députés de l'ours st*
cipalité qu'il -réprésente. ont demandé l'établissement de ler!
M, Portiér, gs maire Midi nes de démensiration, le longs de tt
fait un de voir. 0e PFenvoxer aupres
des autor "UtÜs ? our cpnementules, el
à chaëul, 4e sûs vOxunus il a réus-:
si à.s6 fire Entendre N ous fermes essor imentales de.
—Soh : malivais état de santé for. vruil étre employée à Je prouvé. à
sait M, Publié Gilbert 4 donner, ui! |
manche “eriter, sa démission cn Convention des Manicipali- |
me curé de a athedraie, De puis ! i
plusieurs «chbühes il souffrait d'u . tes
ne roptise tro hûtive de travail à
la suite, d'in grave opérñnion sue:
bie l'été debnier. Il vient de par.
dir potif ut hôpital de Milwaiscee,
Î
ms una 2 Î
Éatoon, = La esnvention des |
Afunicipalités rares à réuni ici]
nrés de 1000 délégués Le maire
dans, san discours.de
lus par tout Le monde, pour défeu- pas été dite en termes explicites à
dre les intércts de tous LS citoyens. fi elmbre, il parail lout de même
Selr
caréme
sion
ll
lande
ver. | a.
Los
La SE Patrice
Cleveland, Ohio.—Dans som man
lement de <carôème, Mur: Joseph
“aubs consacre que lques pari-
graphes à kr facon se andaleuse dont,
en célébre Ja fête de
et elle ist souvent
de réjouissanecs ct d'amusee
cuis que le Saint apoôtre de hr
serait Le proimier À réprou-
Ye:
Ce fut le plus violent tremble-
ment de terre depuis 1663 .|l
{ ae 4, Le tremblement de Ler-
re ‘du 28 février qui a secoué Hout
TEST du Canada est le plus ronst-
dépahle qui ait eu: lieu depuis Le
début
gouvernement
chu de plus
i
ce qui
vatoire
F
Francisco vol
[
de LE: colonie en 662,
A. EE, Hodoson, sismologue du
, le décrit comme
violent choc survent
ei, et le quatrième de eotte violer
ait été enregistré à Pobser-
du Daosminion BLes autres
les tremblements de San
du Japon et celui du
février HOUS dans ie aovd de
Pacifique,
EC
AR
urent
{
'oetan
:
‘Pres station du serment d’offi-
"prise
ce de M. Caivin Coolidre,
Président des Etats-Unis
La cérémonie dt)
Calvin Coolide
Waushingion.
d'office de
° |
en qualité de président 1e Elan |
À
ivue depuis un siècte
Pécenomic dis Padninistration et
Unis été Ta plus simple qu'on tit
On avait Hhnité la foule des fiair-
l'rnnts, à da procession traditionnel"
(Hi réduetion des taxes, “Je ne dé-
Wis: où fecevra des soins ur Harvex Clare, Su
N Le Ê TR ; : 1? sde à inoins de 0,099 persunnes, Pur
uents qu sit. santé réclame, Après biunvenue, 4 touché 1 question site à mon sv na na adiophonie
une entivalegeence qui ne saurait maportante de PFéducation dés ete dé diseonrs du créidenl aus
manquer d'étrè longue, il se cousu- Fants, Ina pu s'empéeher de re Palre coins du pays É ‘
crera prebabloment à oeuvre des Rue que nolre svstème vduea-, | pars,
hôpitaux eathnliques sous li dire onnel tendoil à éloigner les ent Gène Convrès
tion de set 'ondateur Le Rés. Bat do p Fume où lion de les +: ‘ LORS ”,
Moukittier, S. J. atturhor davantage, | " ‘ . CM
ns WT up qe L'Ution'des mnnicinalités rurales L'entrée en losction die M Poe
Nous rou “ ons ous le us ce , n . .li ige { Fi at Ge me Congres el
: C'est choisi les: directeurs Aaivante:: idge mit lin au Géeme Co
M. l'abbé dilhert, Durant ie DO ES ekRonvie dd Lab. D Louvrit de 60e sous la présidence
de mois passés 2 milieu de nous, nie. cd ch AN 1e de eprisidont des E-'
mi Sukes. Be OM Parker G LL Hum QU ROUVENt VIecpréstten .
il avail Si conquérir. l'estime d° nellel LS CE rrôli, pH Mofttet els Unis. Charles GG Dawes, Ati.
toute la ponulation. Nous lui sou- ne Vip à RRQ Morel: la premiére cérémonie res pi
baitons if “rompt rétablissement, A7 NOTA A UE CR eut rait le calme el la paix, autant ki
nine! cité bus , 4 Moffatt, de Bradwell. vice-président. NE . As -
ainsi qui Pratiroup_ de setès dans : RE seeoide seit li poudre et la Da-
“tail Aile Gilbe …. or ucelumalion, ainsi "que Re. er
son travail féiur. Mile Gilbert, sa ‘ lnille: en effet, M, Dawes avait pris
‘ lime Potletier DIN ATU La prochaine convention se Hendra .
soeur, ct Minë, Potlotier, su iménuat f Bésinas Prince-Albert avait de paur suicl de son discours. br ré.
re nritis ohl dussi quitlés pour re ft ‘ GET une du Sénat. el quant il eut fin
| Eer. mandé de avoir, inais on à trauvé :
tourner Üañs TE : de parler les dppliudiseements fu
De. bi snbu Prince-Albert le JU Je Voyage pour si rentre te epeipsenté Ê
Te PP HIS AL Meg je per, Post de from fortes dépenses attx, CHE OUI seËs ". ,
AE ortiér OALE ere de Del ingires du sud 1 Sur Pestrade niodeste, dressée en
as. on voxake de repos: Le bon Loue vuniee une face dt Capilole, le jioë en ehef M
Frère Niki 1 OM, en route pour u : SFalt vevut Le cconont d' offire un
le Pas: À. Godin, de reteur de Le Leader” gagne son pro- rouiveur présidents: Phiniense pla
Biz River, eût il était passer quel- s til ire de tuondo
| .P Ie cès ice élit goire de onde,
que lerups chez son fils. H s'en 23 |
retourne à Be fus rejaindie su fr ee TT | Sa po.iliqie À T°:
mille. loin, \près 13 heures di \:
ot Gran "I Sur ce N : « ‘ :
—Upe ble cérémonis refisicuse 1 Eine DR leurre es CU À: Dans son disveurs M, Coolidec
; ee Joe PONENNENN AR Cet PCUNRRNNS fracu de, eranles lienvs ile son :
ue ail ea ste dernier nu "a à coviées per le Lente étaient fon Dininistrationt Ja diminution du far
éhapetle. cle : QE HGEme ti ON che ce “Re: constitnient Das UT) den dus ane ni fa roglangeaties
jte Pégint. Abourgel, En Fi on : Hihette, .. te In Dai Pentente mutuctle
our Mages Are En L, recevant de CI A Leesh. président de la mtre | E res :
saint lnbisdes Dames de, Sion. dde isiu oué Lung COIPCO ICS Mit ions du mon «|
Cas DL so, * camission des liqueurs qui AVAL ] ,
bains de Mar Brodeur. P, A RIRE sioteoté une poursuite en dommages Sa politique interieure aure donc |
lès “abtiès Blioust et Olivier, tirisi: de EL DNS pour ‘libolle perd son coinnt mot d'ordres Péconomic
£ e de à . Be . É ‘ - al
NTI detis : koëurs cudeltes ‘de fa nou nt ëe ri SRE à over eg fpnre NOUS HVONs CLÉ, dit ilsel Bous nous |
velle. slisifuse assistent à ectte sai ee et SLNAN ef non. Bree proposons 'êUt de plus on. bus |:
mpless CE ht cérémonies À lee sq LUUO avec les honoraires mériceit i Dos tvons Un, hé]
guelle Mer Brodeur tr pr ononeé nn d' voGnt, ° ii ile, c'est coiffs si nots.avens :
éloquent scEmon. - : _ | june destinée, elle cest dans celles
PE EE «oi : E !
ELLe conseil de ville de Prin. L'embran hement d ile direction, 4
Albert vientide prendre var alHtu-. À ane e Turile- loc: Bcunamie |
de. iojuste à Pégard de nos inslitu ford | î
tions atholiques. des De NorGns 5 k Pour remplir ce DrARranne lai
pas bien comment des échevins. 6e Ottawa. Bien que la chose mail! prentiére chose qui, s'impose esL
|
.
(
k
i &
édite enmhoe)
St-Patrice. 4
celte Fête tombe toujours dur ant le, Ep)
Pouce fl
Ty Chemises
M: DE : N 47
dus dernicrs jutspi
jouaient el lo jeune Harry MeCouw
clan que ses paBoRS
seu vont voter, dans Lg inéine as assuré. que Pembranchement de sire pas épargner de-Pargent, mais
somblée, complète exemption de ta Tartleford sen construit celle ane; épargoer de peuplé Ce sont les
ses au collège aualivun QU PRET ürsqu'À Meetipe PLahe LE, ustifr Ne: ra de pavs qui paient des
refuse Le mème pivitéar à l'or- possible ‘au'on Le pourcuive jus. freis du punerement Conque |;
phelin tt St- METICE el LH Couvent qu “h Shelbrook avant de le réunir. doter que Hits gaspiHots sans nil
de Sisn Personne. n'igaore Que à Hafford nous soucier siunifie que. leur vie!
lan dérnier le conseil it décinié che, ie Isere appauvriedl'iutanti 1 est de lex
fre remise au Ci lège SE Abo !elaré nusei apposé “ur Lrifs 6e
M. Dionne sst remplacé par
un M. Ryan
de dix annécs d’ aurCrAges de taxes: :
il lui faisait ainsi cadeau d'un sent:
coup de S2,9fH. soit Les urrérages
de trois ans; el chaque annér de: .
que annèc di Duck Lake.
sermais, jusqu'a entièis extinction : :
de la clette, du le gratiliora de Tex de Brondvies, Sasks a ôté choisi |
emption des lasés courantes en plys COTE secrétaire lésor ir de
d'une année d'arrérages, LES et suni-ipalité rurale de Duck Lake!
tholiques ne s'opnostront jamais H'renplare 4H Joseph Dionne qi:
R peeupa ecetle charvse pendant prie
aux légitimes favours necordées Aux se nas “ FU. ;
institutions de charité ot aux oeu- CUS SNIEUS, a De basent
vres bien mépitantes: pnais is res. era nobre s'étaient
sentent vivement Les- denis de justi- sentés enr remplir cette positions,
ce et la différence de traitement, MU était dit que Furgent de:
auxquels is sont trop RUN LA Francn-cunaglions irait gens a pe
be de quelqu'un out n'es nas de
leur parer of px bableinent pas de
leur religion. Cest la mise en pra:
posés de Ja part d'une eerlaine elt.
qué de leurs concitovens à l'esprit
ce fastiee Rates EE lique dE a résolution qui sonne Si. Le président Coolidgc ter ain |
tice administrée avée Les MÈMES bien eux jours de nos fètes nations. | SON discours par une péroraison !
set nn RS EDS és #Enconraprons les nôtres” fioul à Tuit jrs ke lon nimérietin,
pois et La méme mesure. Ceci tour. . imtais qui franche cepordant paf:
CL el 4 , U 0 N x. LÉTCE ne 16! : sonne J A ‘ 1
nil jamais Ête aeconlé ons Qu'un | sa Haute inspiration religieusé sur
R out & Ÿ ? le verbiage ordinaire des gouver-
seul cas: l'Orphelinat St-Patriee n'a: Mort de lPhon. W. Pugsiey nants modernes ©
amas repu un son de Ja munies |, HT "Les Elats-Unis ne recherchent |
palité, chhque année on lui a indi. Toronto L'hon, William Pugs-
gnement marchande son exemption {les à suceombé & une atlaque. de
de ,taxes. son: vénérable directeur : Pneumone, # Toronto, le 4 mars,
a été, pour ainsi dire, obligé de de- LU tail cé de 75 ons,
mander à deux genoux grâce pour. M Pussiev a ioué un rôle impor
ses orphelins, et cependant il four- ta dans ln politique canadienne:
nit tous les dns au enmmerse de la: ul ministre deg travaux publies
ville des milliers et des milliers de <o0s Laurier, pris lieutenant
piastreé, que les ‘industries de son, Yerneur dir Nouveit- Brunswick u
zle voñt puiser sou par sou, de- enfin président du comité en charte
puis 95 ais. dux sources de Lx eha- 19e des relations eanautiennes
rité «catholique, nan seulement en, COTE l'Allemagne.
dehors RIT Er ville mais en dehors: H était en route pour Ouest “dans
de a ‘éovinee. Prince Albert est Pesersiee de ses lonetions, qu'unl
Punc des LATE villes qui agissent si- maladie Je frappa ha son, passage
ü aur onto, ‘ °
“+
5)
| jioint de revenus
RS avais pour te RUES ct fin: demeni
|
net
|
Jobn ny: un. avour ils £oñt injustes.”
pri de justice internationales à la (FOIE
tlielise potr mettre I SUOPTE t
vés, parce. qu'ils produisent peu 66
parce qu'ils sont
Poliliqée étrangère
Quant se politique crtérionre,
cthl cer lavorapte à adhésion de st
EttseUuis à In Con Bormanente
taliun des armenentss # toute ini-
sie hors la loi.
Î
la’: sortc vis Vis. d'institutions si- Ne
milaires, et l66 rest pas a I louan- Passer était originaire 0 fe
ge. dos, Prétendus hommes d'affaires ânes: NB où il NAtOUfl à, 27
qui: Jai fouverhent, sentemhre 83e u fut ect 1 Vo-
AA chambre le come er 2 ses TON S72, ol devint dépuié sit
hise en de be avre 1e art LUS ‘lu eumtés de St 1éan 8]
chéf ‘du "En: ation Nationa- à Win; f: 7 : . |
nipek: bôur:'deniander: Panplieation, a 1
iminédiaté, fie Saskatoon à Prince}: L’Alberta a ur déficit de à
Albert, ‘deb tluxe de trs usport moins, :
élévés ‘anitintis par l'entente u Nidil .$620, £41. 42° :
dé-Corbe A LI “En: elfét, li ligne. de! Edinonton: Le apport fine
Prince. “AIDoE appartenail au Paci-/vier de la. province nonp- PO. 15
fut euse un déficit die, #G20 RAT AT.
rique Canadien au moment: où :
vient 4Pèt à dénosé ä ia et: ne
cônchié, celte Gnteüte, d oo he ‘il le. solar L'
at purs ut meTpar Je tr so icr Hrovincin
1 grand. banquet. fut. donné,‘ Fhon. R. GB QUES il montre dés dé:
vendre ed sai. par. Ja. chrnbre de , Denses de SEF197-468.45,.eL des re-
commèrces à l'occasion | du, 10. A06, 627,43, Lt
de M, A, ‘2, Reynolds, , sévant de En
barique® ‘ue, 4 Caimnere Lè-banquet.
. HS
fut présidé par. "Ar LT mai} ë Br alor, fit plus considérable.
eebendas uit
voir les estiniis--cela" est dù oûpre:
que. -le LE ‘entr ee.
‘apporté. pair
Où ronarauit au nonibée des ‘con. 11 doi des iqueins et à une épargne |
Va Ut” $47:000 elfreluce par uno
RTE système lé tunue ‘des litres.
C'est Ju austrièine année const
tive. que - PAIbert: à: .ehrégistre un, ‘lé!
fief:
vives 144 Op Gilicrt” curé de 1
eñfficdr ale, ainsi: que NA WA. Bou:
che rHher. rep chant el
|
FA 409,3
cde Wa apart “d'emballage, cte. on:
Pérorcison CE
point un empire terrustre bati sur
le sit et la force, Aucune ambi-
tion, aucune tentation n° attire tout:
pensée vers des possessions it l'6-
iunger. Les légions qu ‘is, lônt
vañcer sont armées, FOR; pas du
vlaive, mais de: la Leroix L'étt
souverain auquel ils désirent gn-
gner lPallégeunce de” Punivers on-
livré n'est pas d'origine. himainé
mais divine, ls" ne chérissent
qu'un seul projet, celui du mériter
less faveur s du Dieu tout. puisse ans.”
:
ï
pu, Ho ram rh
L’Alberta fait de argent a
VEC Sa - comntss ton -des Por
!queurs
à a
Bumonton. — Le. gouverncaneuf
de PAlberta a retiré un profil net
dé.S1,020,824,94 de ln tonte def 1t-
quebrs pour lés-sept mois ‘de Pan |
dernier, eomimèe ‘Findique. le pre-
iwier Fanpore. ahnuel du "#*Liquer
Control Lo: a ‘Les ventes'se sont
chiffrées à S2,0832,605.07 ct le cant
‘dés Hqueurs, vendues Tut. de : st,
‘Sid'on déduit tes fraii
carie à un: profit, brui “de 1,070,
k sit. 43 “
k .
oi On. éstinrée xlaiié: que les profits
EUR des ventes: rent de près. de
d. 25. pour cont Pet, os
L- a M -
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dernier, à Er demerte «le notre com:
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pa tic de. crtes "qui ù jeniporté un”
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M CS, | mpéralnre m- Avoine, 4 No, Ê CAN, GE 1-2: No RTE MERCIEMENTEAM, Léon Shell River Ko, 3090, pouvant en.
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gnifique el Bi certituéc se passur 4 CM DCS oxtré L'lourrags! ehard ci ses enfants ‘remercicfil En ner re d aetis €t avant di
une soirée agréable ani sent attiré, 5] -12; So, À jouera, 49 2; SD sincèrement es HerSONNDS qui prône 0 de 2e classe pour In Sage
une foule nombreuse qui est cha 2, 44i rejolèe, 29 ff: soie, 51 1-2,, ont bien voulu icrioigner des mar- | katchewah, " Salaire offert SE
Leu cuseniont disputée Îes prix ut | cree Nu, & GW a 1-2: Not ques de sympathie à l'occasion 00 jt année, Classes ouvriront
amusée à coouroic dans ja che: LENS BED reje “a 15 à on four le. de lacmort de Mme Léon Bichard., x ü mess Ress ae 4, Che
, 4 S ‘ JA mia 7e ie, 87 ; | : », S0C0-LTés outin, ask. 84 p
frnternolle QUE te, PV, Je voi . ras 9 : DR PO A ARE EE EN AREAS "À a pee D on
. enete prochnin Lin No, EL NN Ce 256 Ii ee ee eo ÿ X ee
Neus aurons, dinanebe proei Xe D'ENNL 050 No SUN ct PE | CRE EMPLOI DÉMA ANDE: Si quelqu'un
che ! Û ’ D MARN ER NS] ur DR TUR : D Ne .
ce fiomars, Revisite de ti d ARR Pietée, LA48 12: vois, 2,36 1-2: SE = || désire ün homme jour conduire
pee fanieg-qheien Al; nt Lei Svigle No. 2 Ne 1.129 l un tracteur pour lès serenees, à
Michaud. À Fissuc de He gran. | RL IPhandetlcs atCierges |. cinq ans d'expérience. S'adros.
messe, il mous donnera pres eonié- . V E Present à Joseph: Louis Reynantd,
NÉS: SUT Bcé 2GUesth ns porieo is, | Marché aux animaux de | u Reynaud, “Poste Office, Sask. 548 -
Venons Gr grand nombre Pécouter,i ;
vous instruné * son école el line! ‘ Prince-Albert 5 il ê 16 all HAÎTE [DEMANDE :torre, une demi-seetion
lrroger sur lose” hases que nus 1é-! ENT uncté dus il à louer, ave. machines, chevaux,
SIFONS apprendre post Deus FOUS- | Les pores gras, SIL Le reste du ! Ïl . te, S'adréssor à Flavien Res
sir HIS OS fornies, marehé esticuettf, Done Go suiets. i ougies Û | S. | nil. ñ est, Post-Office, Sash,
menant) | em mit ue _ l | .
pl
P ü , N selles | ‘i ” il Lampions, EC | | | UN Dane à engager, un home
S ie es Cü 1 | nipeg & ji nie, marié wi no, pour faire Je
_ ei | LE î travail de la, fers. Expérience
—— A a E se Les prix sont fermes, 7 Les pores | F dley ët Myers Limited. | requise, M. E, Brunellé, En
piuqs ARS sage. 5 Le r 1° gras SELHU, et les slocts SI2N1 l | 57, Victoria St LL Sask. 3
mars, dr population dr Jigear nu ou rte si | : ° . Re ue -
ra de plaisie donieadre dans un ALI on: . h LON DEMANDE instituteur ou insté
copeerl, Mile Yronte ca gHOn, ape" Ma rché de le fermière . ‘ Winni pes | j Haies Die de district scolaire
tistes bien connue el prulessour dei see À L. ! \ { DETÈV luverture des las
chant à Saskautoc ne Elo sera ns- ji Oculs Fr ais! 00e, h il Représentants de | {ses fe ler mars où avant si Dos-
sistée de Mine D, C grnentte M qui a 29 à 2e. ir Li A] NS Rqner rétéreuces el pu
Con pavnalriee, mn de Me Codd, fs Volailles vivantes. Poe, ‘| 5 cilic it *temandc cn S'adres-
une de, 505. Méillere, dioves, Bertes, Düet dindes, 25e. a 6 Bail ar 9 LATE IËt 1. be TC SR Nr
d ce 7 OS 5 Parotoss fifi Autrest É ' serlville, ;Sask, ‘ ..ÿ
SAS TONY \ 3: Cook, de [&p90 Le minot. re ; | ManftobasSes skatche war} | PEER GO LT
Régine, président de la Hgue anti —-- La: CL [ARE TIPE FER. oi istitutriee, die
tubereuloso a déchirécque fe Saci Mr ue _ =]; ingur ‘qu ali “dinandé pour Ve
ntoriunt ser Te (SE RTS OUDUSIS f | Marché aux "4 Tour: rues À: he dede ee [ot pren au Dre An
ceméent avr Diflésentes ruine Lo e Te : j à Jrevéi dé de
uisations féinines de la iprovine re 5 , MATAN IL Port } à! ue « eos else - sl nn pu nipis d'ensei-
ont ft contribue 3,000 I hot Lg ns Renara ue : in L Pour. le. me silleur : | | lésidencé eu blee Dés de Peru
pelle institution, à HS Henatsi moine PU h à PU
Lun Ponmautoroisé jusqu ME A er ion : A Obiodntar Eure
Blu HIVER, Sek LA ourar «| EUR are NUDSIEUEE à Le CHARBON QU BOIS : | éphlicution à. Hener EL. Guigon
L tone du Lr Qne ue a À. Marre, CHE 4 ADR Vienne (ft. - ! Ses. Tr . Fier, ask. 48
de chiens de fa ask ete tee NUAEE 9 or . Londres si. à Se 2 ‘appelez , Che coorirre —
él gagnée per "Shorts? Pfussieh: a a en Loup (4! SON DEMANDE une insttutrire
qui a parcouru fes li N on piles cui ins es LD ri ns “our | ' 2062. fl pouvant enseigner le lranenis el
17h. ét ai 2 mn. Olinskhest arris Lite DER son RTE If: ‘ M l'anglais avce cerlifieal Séne ui
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sé Second ent Ni, Vernier Johnson | EE TNSC RECETTES (The Northern Cartage Co. Séme classe pour Li Susks pour
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allez sans” hésiter aux, fire der des n lt Cour l'une durée. Pris 23. ares F à
Qué au ivfuso Don- poses n Déin Léo Grenier, Bellevue, vu
Royal Stabi es | ur SLA DS billets: ! RU: FE 10 | conte eg ce nee met
pour 344 1 or #90}: 690 nor GN DESANDE un couple marié
Lrour 895.042 22000 pour AIDOUNT our. fravail de forme, Adr'sw
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Pourquoi grelotter quand ces pyi jamas sont:
à si bon marché. < cé
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Bas très st clides pour.
5 verges. pour $1. 00 LU LS qe
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Qualité supérieure, : 27 pou- a de p
ces de largenur-toutes les cou Pointures” à 10..
‘ ‘, _- mt seulement";
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BAS TOUT EN LAINE HAN:
Ni USON.
ras chauds: et, solides.
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dechez nous
CRE
mpait an temps jadis. où l'Ouest
a End, presqu’inconnu, n'était
visité Que par elquès rares mis-
onnaires et explorateurs et peu-|
plé par les seuls 1e éhtistianisme:
: tant é]4. 3 me:
t " sation, marchant de päir,
éré Jéur. charme paëifi-,
avaient 0P : fai Let
teur, Les gucrres se faisaient e
Es fré tés et moins'cruelles,
moins fréquen L cs tribus
et à l'exception de:quelques tribus,
véritablement féroces, réfractaires,
S'tout bon sentiment, les sauvagks
demeuraient ordinairement.en paix
avec. felirs VOISINS, _. M
Vivant de la chasse, né connaus-
sant d'autres lois que celles dé la
muerre, de la nécessité el de leur
fantaisie, ils atlnient ‘à travers, la.
prairie immense, Îvres d'air, d'es-
pare et de liberté.
Cette plaine. sans limile, qui, aux
veus de létränger, semble .un. 0-
céan infini de vagues. toutes sem:
biables, in'avait pour ex Ancun
mystère; ces énfañts «le ja malure
en connaissaient les plus ‘infimes
détails et mille. indices familiers
Jeur dictaïent leur route, comme
l'approche d’une source, le. passa-
ge récent des hôtes ou des “hom-
mes, , Tous , 3 St
Montés sur ces ligoureux petits
bronchos, qui not de rival que
l'arabe, escortatt Îlés grossicrs vé-
hicules où S'entassaient péle-mèle;
bagages, femmes ;et etfatits, "ils
chevauchaienf, sas but,.des jours
et des jours, ou bien-établissaient
des campements temporaires, gui-
dés dans le choix de l’emplacément
par ja progimilé de l'eau, la .quali-
té du pacage, l'abondance du ‘gi-
hier. D LT
Parmi ces multiples races indien-
nes qui, alors, silonnaient en tons
sens, ln plaine sdris fin, ‘la yietite
tribu des’ Vaillants ‘était l'une’ des
plus réputées; son nom ,et: celui
de son chef, le Grand Coeur étaient
un hommage ‘d'admirafion, payé à
leur vourage, à deür intrépidité, :
Doués d'une grande finesse; d’ant
intelligence et’ d’une cornpréhen- {
sion très vives, ils étaient, quoi-
que barbares, de ceux qui se, rap
prochent le plus. de notré idéäl de
civilisation; un obacur: instinct
d'humanité les faisait soupirer vérst
la loi de pardon. ct:d'amour; déjà,
ils portaient en.eux-le germe igno-
ré des verlus qui font:les grands
chrétiens, les glôtieux martyrs, et
quand les missionnaires'leur ap-
portèrent l’enseignement divin, la
vérité leur apparût éblouissante ‘de
clarté, Le Le
Aussi, devinrent-ils, parmi le
troupeau des nations évangeélisées,
les brebis préférées, cellés dociles’
et aimantes en’ qui'se repase ‘le.
Bon Pasteur, celles qui font sa con-
solation, ses délices, .*. ….. 1.
Sur l'imniépsité de-leur pays;
elle va là ‘pelite”-chravane des.
Vatllänts, accdrmtibngnéé de son.mis-
sionnaire, chémMinant, ihsouciante
et libre, commié l'air pur de ce ma-
tin rayonnant ét.ëmhatmé.
Mais: quel nage soudain monte
si noir à lPhorizon? Cavaliers et
de tempête, D
Un tourbillon d'âcre fnmée, de
flammes hautes les enveloppe,
les suffoque un instant él comme |
un canchemar d’épouvante, le fléau
a passé, rapide, laissant aux ‘gens
quelques morsures, aux vêtements,
quelques étincelles, vite éteintes et
les chevaux à peine-roussis et fré-
nissants sur le sol déjà tiède,
Mais nulle imagination ne peut
concevoir le désolant spectacle qui
se déroule à perte de vue, main-
tériant, Toute végétation a dis-
aru. Le riant. paysage. de -tout ‘à
heure s’est transformé en un dé-
_arid Le sol calciné semble
avoir changé d'aspect... ‘! 7
Le soleil éhsctrei ne ,jette plus |
qu'une clarté diffuse et blafarde;
son disque effacé disparait derriè-
re une épaisse nuéc de cendre, que:
soulève une forte brise, La fine:
poussière, plus ténue que les sables
du Sahara, s'infiltre. partout, prend
à la gorge, la déssèche, irrite les
Feux, Dot ,
Jusqu'à l’horizon’où courent en-
gore des lueurs fulgurantes, rien
ne fixe plus le regard: nul point
de repére, sur, ces. régions -dévas-
tées qui mettent ‘en défaut ‘lins-
tinet si sûr des sauvages et.des bé-
Tout gibier a'fui; l'eau, qu'un
printemps sec, faisait déjà rare,
€st introuvable. Altérée, affamée, |
égarée, elle marche épuisée, l’heu- ;
reuse pelite troupe d'hier, aujcur-
Vhui succombant sous le faix ët
Gand lugubrement le-soir descend
sur Jeur profonde misère, ‘êlle. se
retrouve, ‘6: ironie! sur -les ‘ bords
arides du : Fléuve Maudit, roulant
ses flots -aners, ‘d'une amertume
telle, que tout être préféie la mort
* son liquide empoisonné. ., ;
Dans le silerice-morne et accablé,
es Murmures irrités sourdent, en
rondements précurseurs. de Ia ré,
volte toute proche, : Au ‘mission-
Naire qui prie pour le Salut de ses
ouailles en péril, le chef-exnshéré
dit: Robe noire, venu du soleil Îe-
L ant, {ù nous as ‘dit que-le Grand-
“SDrit nous avait créés “et Nous ‘a-
; ONS cru, Tu'nous as dit qu'il dé-
endait de tuer, son’ semblable ‘et,
nous avons cessé là guerre.Tni nous
4$ dit qu’Il voulait qu'on Le prie
et nous L’avons : adoré à ‘genoux,
lu nous ‘as-dit qu'il. véilait sûr.
Ceux qi ‘craient-en-Lui: mais Pé-
Ponds, que fait:il ton Dieu: quand
nos femmes et 4
.de soif et de faim?" " . ‘::
olomh menacé-par son éguipage |
Mütiné, implore trois jours Me grà-
a Pour leur prouver leur'erreür
Fe Son génie: le ‘missionnaire, con-
sant en Dien.puissant ‘thon, ne
ù mande gu'une seule nuit... pouÿ.
sauver et la vie: et la ‘foi.'de. so:
'olbeau en danger." "+."
. "Grand Chef, aîténds
dant de renier le Dieu, qui t'aime
£E te nratègar ensemble. Drions, ‘et
1e te jure: Il aura pie
à deinain
botiquets de saules en fleurs,
À ge, abondanmuent 1
, douce, de bois, de pacages et de gi-
-sans nombre de Jéhovah en leur
Une dernière invocation apporte
| l'apaisement et sur ces pauvres &-
tres harrassés, un sommeil lourd
ef. sans rêve pr'omptement descend;
{tahdis qué je missionnaire: ‘age.
nouillé supplie: “Seigneur, pardon-
-néz à leur foi naissante, d'être en-
core :si faible. Comme vous avez
sauvé votre peuple des affres du
désert ct l'avez conduit dans la ter-
ré Promise; sauvez mon petit, peu-
pié qui est aussi le vôtres. rendez-
ni sa belle terre de paradis.” Et
la prière monte implorante dans
13 nuit. ‘
ou LEE: _
. Ün matin lumineux perce le voi.
le diaphane de l'aurore: tout s'e-
cltire en une féérie! ct merveille
incfoyable! le grand fleuve s'est
lihlinité de ses affluents, en minus:
cûles'vallons débordant de végéta.
tion hixuriante; des sources limpi-
des chantent à ‘leurs pieds; des
lièvres et des perdrix abondent,
dans Pherbe haute et tendre et
drue dont raffolent les bêtes; des
téoupeaux dé buffles et de cabris
paissent à une courte distance, el
eaet là contrastant sur in richesse
et la: verdeur du paysage, quelques
petits Îacs frangés. de sels, der-
niers vestiges de coque fut le grand
fleuve; tandis que toute In rive
sud se couvre de bais verdovanis:
trembles “mobiles, bouleaux à l'é-
carce claire, frènes modestes, or-
més altiers, rosiers emibaumants,
-poiriers. plovaut. sous leur charge |.
‘de neigeuses corolles et en bordu-
ré, une. lisière dé, saules argen-
tés, moiranlt conune une cau pro-
fonde, tout fleuris ‘de ces soveux
cocons, couleurs de Jumière, si du-
vetteux; si frais, si doux, à l'oeil
et an toucher, imprégnés de toutes
lës ‘saines odenrs du printemps,
Quélles merveilles! -
. Mais; à douleur indicible! de-
‘varit tant de prodige, la Robe Noi-
re, prosterné, ñe se relève. pas;
Fimmobilité de la mort le fige dans
une ;supplication supréme. Alors
ces grands enfants comprennent
leur péché; tombant la face contre
terre, ils ‘exhalent leur : repentir:
“Notre, Père dn Ciel, nous t'avons
offensé, pardonue-nons: Grand
Dieu Tout-Puissant, rends-nous no-
tre Robe naire'et nous, nos en-
fants, nos petits-enfants, t'adore-
rons à jamais! : . .
A leur prière naïve, Dieu sourit
et la Robe noire s'éveille enfin du
grand sommeil, alors, les actions
de grâces montent en fosanna de
joie, en triomphants Te Deum.
- Sur un autel fait de branches in-
génicusement enlacées, orné de
(i
Dieu Eucharistique, repose’ en .ce
radienx anatin de printemps et-ja-
mais he fut adoré avec une’ plüs
ardente ferveur... En encens pür,
des parfums -immergent de toutes
ces frondaisons nonvelles:'sous les
rameaux les sources gazouillenit
leurs chansons cristallines: les oi-
sceaux égréneut leurs tritles joyeux
dans tous ics buissons, et des mu-
gissements doux, veuant des trou-
peaux, traversent l'air si limpide
et ajoutent leurs notes graves das
le conéert- harmonieux de la nalu-
re en fête
” Abrilé contre-les vents du Har-
pourvu d’eau
rs rm
bier de toute sorte, quel pays! En
grande poinpe, la tribu le choisit
pour le sien; en le nominant Val
des Saules, la bénédiction de Dieu
descend sur lui avec celle de la
Robe noire, Les Vaillants s'y éia-
blissent d'une facon permanente. et
v, vivent henreux comme dans un
paradis terrestre, 7
CES S
Pôurquoi faut-il.que l'inconstan-
cè soit si inhérente à in pauvre na-
ture déchue! Comme les Israëlites
ingrats oubliérent les prodiges
favbur; ainsi Jes'enfantis de la prai-
rie, dans les délices, d'un pays où
tout est à souhait, perdent graduel-
lement le souvehir des miracles
dont Dieu avait comblé leurs an-
cètres, '
:Et l'expiation vint |
‘Un jour, un blanc, à la face dure,
à l'allure autoritaire, au verbe gut-
tural parut et dit: “Désormais, ce
oo ©
-coin s'appetlera: Willow Buneh”,
À leur jolie contrée, toute de grà-
ces et de fraicheur, imposer un tel
nom! Leur âme. prhnitive, emprein-
te de. poésie innée, se révolte, de-
vaut cette profanation. Et ce nom
barbare, les Sauvages refusent de
le prononcer, :
Navrés,,; mais résolus, ils ‘s’éloi-
nent peu à peu abandonnant leur
pays.si cher, cèlui de leurs aïeux !
LT LIL.
. Et c'est ainsi qu’on raconte en-
core. chez nous, la légende du Val
des Saules, dans la. douceur. des
veillées..… Pour ceux qui seraient
‘tentés de la croire forgée de toute
pièce, voici un témoignage authen-
tique, celui de l'Histoire, cèlle du
pars: “La Montaghe dè Bois”.
‘“La vallée de. Willoÿ Bunch
présente un'aspéct tout à fait ca-
“ractéristique. Elle est. étroite, un
miilé à peine de largeur; mais €x-
trérnément . piftoresque et d’une
longueur extraordinaire, 200 milles.
C'est évidemment le lit d'une ri-
vière depuis longtemps désséchée.
Les :collines qui 14 bordent sont.
de véritables -faldises #ur desquel-
les ‘on;. découvre . encore aujour-
d'hui, en certains endroits, le long
travail dés -eanx. Li me ne
‘ De, nombreuses coulées, qui y
‘aboutissent, représentent, à n'en
‘pas douter d'anciens ruissenix, Les
nos’enfants meurent | deux: bords dé la vallée offrent ün
à.fait différent. Tandis
que’ In:rive sud'-est recouverte. de
saules,- de :trebles, de poiriers
hains et autres arbustes de ces ré-
glons, lé:rive ‘nord est, complète-
ment: ‘dénudée, : Tandis que sous
és ombrages.de:la rive sud, on
“voit sourare sibondimment d es:fon-
gaines, la:rive nord est aride, ‘.
”. Le. nom de Willow Bunch: qui
qui fut donné par les’ anglais
‘ n
aspect tout:
rétiré! Son lit s'est transformé en |
‘ui bas fond d'uné riante fertilité: |
,
Li 7 LE PATRIOTE DE L'OUEST; Mercredi le 11 mars 1925 .
,. = ”
cet endroit Talle de Saules. Les
Anglais qui.en prennent à leur ai-
se bolirent simplement le vieux
à. et le remplacérent par celui
| de, Willow Buneh, | P ein
:Mgr Langevin, dont le patriotts-
me était bien connu voulut protes:
ter cotitre cette usurpation dons
| un acte officiel inscrit dans nos
, régistres comme suit: -
“Visite.
des Saules, “à
Cette protestation platonique ne
madifia falheurcusement pas lé.
tat des choses, °°
c+-..Mais le jour est prochain
où chanteront encore sur notre
contrée. bénie, les syllabes har-
monieuses d'un nom bien français,
qui est'le sien,
PERRETTE,
pastorale de St-Ignace
Où
St-Ignace des Saules
Janvier 1925,
RE
| Combien de temps faudrait.
, Ü pour la fusion des races
aux Etats-Unis” -
t Un distingué écrivain américain,
le Dr Edwin E, Slosson, publie dans
la revue ‘intitulée “Science Servi.
ce”, un intéressant arlicle. dans le-
quel il cherche à déterminer, coni-
bien il faudrait de siècles pour oh.
ué PAYS, »
Combien dé ,lemps, dilil, doit
fanctionner le creuset des racus?
D'aprës les données l'ournies par
le bureau des naturalisations ‘de
New-York, on “labrique chaque
jour cinq Mille nouvenux amori.
cains”, c'est-i-dire environ qninze
citoyens par minute. oo
À aucune période de l'histoire
humaine un, four de fusion n'a.
allié avec tant de rapidité et dans
uné aussi large proportion, des éle-
ments aussi disparates que les poti-
ples destinés à former la nation a
méricaine, à
Combien de sièclos faudra-til .
pour obtenir une masse homogène
sans cristaux susceptibles d’alté-
nuer les qualités du métal fondu”?
Selon le professeur Linders Pe-
trie, léminent égepltologue de l'LE
niversité de Londres, une période
d'au moins sept À huit siècles se-
rail nécéssaire, Ce savrnl, dans uñ
ouvrage remarquable sur les Rèvu.
lations de la Civilisation, retrace In
grandeur et In.décadence de huit
-bériodés de la culture humaine,
qui durèrent en moyénne chaane
de 1,300 ans à 1,500 ans, en se ter-
“minant rékulièrement par la fau.
lite. H est possible de comparer
lés rates aux descendants des nou-
veaux riches qui gaspillent la for-
tune’ accumulée par leurs ‘péres,
Pour retoinber finalement dans 15
misère, . | UT
Quad na peuple vieillit, i ne
peut être revivifiéque par da trans-
fusion desang frais, e’est-ñ-dire
grâce à un mélange de races. Las
sinilation romplété d'au élément t-
tranger nécessite at molus 7 on &
cents.ans, Au bout le ce temps la
Ver®1840, au retour d'un voyage
à Londres où il avuil été reçu en
triomphe, M. Guizot, pris-d’enthou-
siasme pour la puissance anglaise,
s’écriait: Si Je n'étais pas français,
je voudrais ètre Anglais, À quoi uü
auditeur ‘répliquait: Si je n'élais
pas Francais, je vondrais être Fran-
‘ais! .
Nous qui avons eu la haute fa-
veur de naître Français GCatholi-
ques, pourquoi donc abdiquerions-
nous celte éminente ‘qualité pour
nous et nos enfants? Pourquoi ne
fertons-nous pas limpossihle pour
assurer la‘perpétuiié duns 1’Ouest
de:hotre belle race française, que
le ‘gand Léon XILL- dans une en-
cyclique appelait lu plus noble, la
très. noble, ‘‘NOBILISSIMA GAL-
LORUM GENS"? Car enfin, savons-
nous bien tout ce que comportent
de grandeur pour ‘nous et de digni-
té les incomparables exploits de
la France au service de l'Eglise et
de la gloire, ces oeuvres de Dieu
opérées par le Français, Gesta Dei
per Francos? —— c‘
Oh! si nous savians un ‘peu lhis-
toire. .de France! Comme nous se-
rions fiers de nos ascenduñces,
comme nous fiarcherions la tête
haute parmi ces méprisants indivi-
dus de la race qu se prétend snpé-
rieure; comme nous Jeur dirions
que la noblesse d'un peuple n’est
pas inscrite dans les livrets de ban-
que ou de compagnies industrielles,
mais. dans les pages de l’histoire,
et que la générosité du sang ne.
consiste pas à fournir des chame.
pions boxeurs, coureurs, nageurs
et dès étoiles dé cinéma, mais: à
se prodiguer sur. les chämps de ba-
taille el: d’apostolat au profit dé-
sintéressé des causes justés, et non
pour l'avancement du commerce
ou d’un impérialisme assimilateur.
De l’histoire de la France: jaillit
une beauté toute spirituelle, Avant
même que par le,baptêmé du roi
Clovis, notre mère patrie devint
la: fille aînée di l'Eglise, la supre-
me résistance des Gaulois de Ver-
cingétorix à la conquête de. César
était la lutte d’une idée de hairie
contre les ‘prétentions domina-
trices des prétentieux de ce temps.
«Après Glovis, tes rois très chré-
tiens mettent leur'puissance à la
disposition de ces évêques qui
“font la France comiue les abeilles
leur rûche”, Charlemagne convyér-:
tit:ies Saxons, bat les Maures d'Es-
pagne, donne au. Pape un ‘de-ses
royaumes et se fait Couronner erm-
pereur à Rome: no
LÀ la voix ‘brûlante de St. Ber-
nard, de Pierre. l'Ermfte et, des
Papes, préchant les. Croisades, des
milliers, des millions. de éhevaliers
français. s'arrachèué à.la doncetur
‘dé leur château pote aller ‘en ‘Fer
re Sainte retouguérir où défendre
Je: torhbeau du:Sanveur, ‘27
: Aprés'St, Louis, c'est Ste Jeanne
nue corruption du nom ‘primitif, | D'Arc, que Dieu envoie pour empé-
Lec métis avatent, en effcte
4
baptisét cher que la race française ne dic-
a tm nt non at, on nel mpbmmmne eee ae +
tenir, aux États-Unis, une masse!
homogène ‘de tous les éléments dis. 1
parates qui constituent le peuple de! jorité, et d'y ajouter quelque cho: jours l'argument pratique
Quelques raisons historiques de
__. rester français
en arereer master en
a
4
+
be Semen ve cg
jeter aus qtatre vonts du riel “les!
feuilles de Parbe de vie” pour le
salut des nations”".2=Mgr PADILLA.|
düyen de l'épisconat de l'Argentine !
nation aticint sensiblement :l'apo-
xéc de son développement ot de sn:
puissance, Elle pourra tout au!
plus se maintenir au niveau d'une!
civiisntion supérieure pendant 4 |
où 5 siècles. Ensuite le déclin | {Jry icati
commencera falnalement et le pou- Une autre : publication fran
ple retombera dans la barbarie, ! - Çaise. qui .va. disparaître s
. Telle esê la lecon que nous don. ous n° renons gar
ne l'histolre ct qui suffira peut- | ñ 4 pren F ce.
être à modérer notre impatience à, ouvernemeont pu!
nous Amédicnins. . Elle nous mon: OURWR— Le |
tre qu'il faudra encore bien an :blie chaque année, un volumineux
temps.et des, efforts particulière. | Dante as ETVités les Con !
ment dm pour former le PC comprend’ deux gros volumes qui
nn CEE"
à
idéal d'Amfrieain pure race de Pare: comptent environ 2,000 pages,
venir. Cp vaphort parnil ardintiremont
dans les ceux langues, Mais depuis
quelque Lemps. il est lartoment ques.
'amcremechenenemnnes Te ee à cam ‘ |
è Î
Paroles d'or de M. King :
| tion dans la ceapitaie d'aholir ln
LU traduction francaise.
Nous, voudrions que tous les Ca-! Comme une décision définitive
nadiens-inglais de l'Ontaria en
particulier ,&l tous ceux du Domi-
nioñ eti-géhéral lisent et méditent
ces paroles de notre premier mi-
nistre, l'hon, Mackenzie King, qui
se trouvéntlen.lète des articles de :
lAnnudt::Renien, revue commor-
in'est pas enort prise, si nos infor.
‘imations sont exactes, il est encore
itembs de sévir et d'avertir les inté.,
:ressés de ve qui $e prépare.
AL faul protester, puis prendre In
“solution de demander ce rapport
: Li k nu gouverthieine \ DUO VE Ü
ciale et industrielle, et du Mon. : plus one PE generee
treal Herald”: L'un ne va nas sus l'autre. Ni ln
“Pour ce qui est de la civilisa. | tradnetion. reste sur les étagères du
tion canadienne il pous faut nons | Houverhement, si on n'excree pas]
clforcer le conserver ‘ce qui a le lle droil qui nous appirtient, invin-
blus de valeur dans lés traditions | ciblement, les fonctionnaires du qui
des deux: grandes nations dont dépend la chose tenteront de l'ubo-
nous descéndons en grande man. |, chaque année, et ils auront tou.
à apporte
so qui houk est propre, quelque !ter
chose qui istinsguie notre nation Car, He uons v irompouis pas,
des autres nations, el'qui sera no- lee rapnôrt est très important. IE
tre quoté-paitt dns Phériage com- {est bourré à en crevur de renseigne:
mani que ous laissorons après | mont de toutes sortes. d'inforimu- 11. . ua —.
nous," ‘ ù
Remarquous bien, le premier. n'y a qu'à le parcourir pour von-
naître tout de suite l'intérêt immetts
se qi'il-offre à tons ecux. qui s'oc:
cupout d'assurance ot mème hux
profanes, et, surtout AUX conte
anies cllés-mômes, On y trouve les
lois, provinciales et fédérales sur fes
assurances, de même que lus snen-
dements iuloptés par les diversos It-
gislatures. On y reproduit Les prune
cipaux, changements, nnxquels ces
lois ont donné lieu durant lantéo,
les ‘dérisions du conseil privé ou
des tribunaux supéri °
ministre be dit pas: les traditions
de lPunique nation, mais hien les
“traditions des deux grandes nie
tions, 5
Or les. grandes traditions du Ca.
nada-français, celles qui ant te plus
de valeur, sont la religion, sa lan
ue ct sés Coufumest |
On ne pouvait condamner jus
explicitéemetit les parlisans jaunes
de gette. utopie: one religion, one
language, one flag!
Paroles d'or!
2 a mmtredemntentane À
tions, de chiffres et de _
Î
‘ j éurs,
‘ Lbs:statistiques -visentent un in-
à.
A o pommenuss
ee:
térêt extraordinaire: Aetif-.et pus-
sif des compagnies, leurs plive-
ments de Pargent qu'elles ont reçus,
le ombre de potices qu'elles ont
on forcë,'1ôs taux chargés. dans di-
iverses parties du pays,
ele, tout est anulesé, .
, On oblieul celle publication en
s'adressant au Ministère des’ linan-
ccs
Lin diversité d'origine n'est
pas. un obstacle
Bien loin alé penser que la di- le risque,
versité d'origlue soit uit obstacle
ü soi, perfectionnement, n'est-ois
pas aulorigé à dire que la popuiln-
Uion du ‘Canada, aujourd'hui, qui!
tient par, son origine aux deux us ie ere ,
plus. grands jisuples de l’Europe! Les trois catégories de parolke
et même du monde entier, ‘est dès-
tiné À devenir un grand peuple,
par: lPünuion &f la communication
des éminenlies qualités qu'elle. n
reques de la Pranee et de l'Angle.
terre, à devénir un penple qui
jouera certainement un rôle in-
portant dans lés’'destinées du con-
è ei
I siens n "
DR LAQUELLE ETES-VOUS”
mn manage
L—Le paroissien
va à a Messe Le dinnehe,
1F fait ses Piques, .. .
HE s’insbyuit un pen de sa religion. |
A laiése inscrire son nom à PU!
nion paroissiale,
tinent hord-xMéricain? out dl.
Mgr Louis-Francois-hicher Lai
flèche, de évêque des Trois Riviè-
res,
Quand on le. veluuce, if donné
il
|
|
| Il prie,
4
mn | chose pour le ‘denier du
| cuite. h :
"+
He bon paroissien
Î I fait tout cela, mais en plus: |
FO communie tous les mois,
. HN prénd place, quand il Le peut,
à da brücession du Saint-Sncrement
ile premier .dimutehe du mois,
paraisse, absorbée par l'Angleter-
re, Puis ce sont lès saints añina-
bles: St Francois de Sales, St, Vin-
cent de Paul, Ste, Marguerite Mu-
vie,.et In Bse Thérèse de Lisieux,
Et les grands Hommes, chefs d'é«
tat cultivés comme Francois ter,
soutiants comme Je bon Henri IV,
tuagnifiques comme Louis XTV, con-
quérants coiïme Napoléon, Ce sont
encure les génies Httéraires: Bos-
sut, CaBruvéré, Corneille, Racine
et Molière; les champions catholi-
ques: Montalembert, Veuillot, de
Sonis..., Que dire de ces :miracu-
leux sursauts de touté l'âme entho- |
lique francaise qui forme la Ligue
rême et à la retraite pasrile, :
IE est mernbre actif des ocuvres,
pense de Inismême un denier
du ville,
Hl.-—Le trés bon paroissien
ÎLE assiste à la Messe ct communie
ef semaine. quand, il le pont.
IE faif partie den Conférence def
Saint-Vincent de Paul, de la Gonfré-
rie du Saint-Sacrement…
IE aime à faire chaque année une il
retraite fermée, ‘ ;
H'fait vraiment des sacrifices pour
les oeuvres,
IL est upôtre,
ï
(La Plaine)
pour empécher le mariage migtete | i ee pe an A
la France avee Henri de Béaru | DTA |
encore protestant, Et ce souléve- Un mot de Toto
ment de Ja Vendée contre la Ré-| . ne |
volulion qui vent Jui ravir ses pré. | Marnan, fâchée des bélises de ‘Fo
tres ‘et fermer ses’ églises? Elans
quelle autre histoire des peuples
vait-on ‘de semblables héroïsnies?
une aussi admirable lignée de
grands hommes? une suite plus gé-
néreuse de dévonement, de vor
tions missionnaires, de défense re-
ligieuse® Ah! sinôbs savions l'his-
Loire de notre race, nos titres de! mereier, le bou Dicu que je sois pas
noblesse, la richesse incomparable | “juinoau” comme mes petits con-
de notre sang! . {sins, | !
It faut enseigner au Français!
da france”, écrivain nuguëre un
historien. JL à nous done, Cana-
diens-français, à deini noyés chez
des honunes d’affaires. domina-
teurs, qui méprisent tout ce qui
n’est pas or, tout ce qui n’est pas
eux, quelle nécéssité ne sentons:
noùs pas de grandir notre contfian- |
ce «en nous-mêmes, notre fierté du:
râce, èt âme française de nos en-[ Elle.Nüôn, der, . /
fants, par une-sérieuse étude de} fui: Parfait! Chañgeons del
nos gloires, qui soit en. mêrûe temps | place, - : 1. es
uné. iecon de patriotisme ei de foi ï
virile? Que nos classes de français |
ue se hinitent pas à une pauvre
lecture ‘de pétite grammaire; qu’el-
les se hanssent à ’une insufflation
de pensées héroïques; qu'elles rious
enseignent notre France et nos añ-
cêtres, commé une grande soeñr
parle à ses petits frères de la ma-
man disparue, cominé les vieux
gentilshommes d'éutrefois narcon-
raient avec leurs fi$ "héritiers du
nom da galerie de portraits les
aïdux, en fui démandant de ne pas
déroger: . cotes SM
ji , : «
Aprés de bonnes promenades dans |
Phistoire de notre race, nos $
n'auront pas l'idée. d'oublier ler |
langue, ils ne baisseront pas la té-|
te quand. des ignorants ‘meércantis
croiront lés écraser. en les traitant
de: Frétichs ee sera pour. éux .cam-
mié pour..nous tous, -le plus: hean
‘brevet de noblesse.‘ :
to, la. gronde: .
—Mon Dicut que je suis malheu-
reuse d'avoir un enfant pareil! si
insüpportablet '
-+AMfais non, maman
supportable.
—Oht que si .
Ben! manian, alors tu devrais re-
, J'suis pns in-
‘ Lu
Res
Amour et confort
pure
Jeunês mariés britanniques, en
wayon.
. Lui,—Tn cs bien ‘installée?
Êlle.-—Oui, dear, |
_Lui.--Le dossier est inoelleux?
Élle.Oui, déur.. _——
Lui,—Pas de courant d'air”
Q n
. a — |
. Humour anglais
Un gamin, tournant le coin d’une
lue en courant, entre en collision
avéc une vieille dame, .
—Où coürez-vous comme. cela,
mon petit? demanda lu dame,
À la maison, madane, Ma mère
| va me donner une fessée! 7.
— Mais vous êtes :si pressé que f
cela de recevoir une punition? : |
Non, Mais si je ne rentre pas
avänt. môn, père, c'est lui qui me!
dohnera la fessée...
En
Un richard
“plage, écho deja saison,
tou
… Sur
defjnière, ue
Entre. eux graves, ,personnagés
d'une douzaine d'années, l'un. fils
deibänduier parisien, l'autre un'en-
NN "A, DÜPLESSIS. |fant du pays. la
L'Unian Edmonton: | ee derniert "7,
Ce tte 7. inle baignes seul, dis
; ‘ [PRESS ‘ mn D ue
. Lt. foi papn? … Le
+ ne se. haigñe pas, lui.
.+Pareë qu'il ne ‘sait pus nager,
0h! que si, mais”1os -dané a
mor, él Popricsce
;- Propageons la vérité
s
br is nc C'tt SIT
“Ceux qui savent manier: la phy-
mé doivent écrire; les-suires -dui-
vas soutenir ous qui écrivent, ef acte dons
I assiste aux conférences du Gt IE
DRE PRET EN ENNSNE VOS
Ÿ où vous puissiez vous procurer lout le bois et le mié-
. riel de construction, c'est chez nous.
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nassnt:
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I est beanéoup de voillards dans le:inoude entier qui vivent
en ppofaite indépendance, vue vie heureuse ct tranquille, grâce
aux nssifrances sur da vie qiils ont prises lorsqu'ils éfnient feuner,
est beatcoup d'honnses d'aiflures et d'industries qui loue.
doivent Le salut, parce qu'ils ont trouvé-dans Jours polices das.
surdee à des heures critiques, des ressources indispensaties qu'ils |
he trouvaient plus ailleurs. . ;
" F'asstrance sur la vie est une nécessité pouce pére de Ets
mille gui doit-avoir assez de cocux pour ne ns expuscos-sn lemmé
et ses enfants à reconrie à la charité publique sila mort vient l'an-
ever ft leurs affection.
l Êlle est indispensable pour aie ère d
idehovs des dépenses qu'ellé entraine, laisse
icharge d'élever seul ln famille, in .
Pile est nécessaire su jeune homme, à là jenne file qui doivent
Iprütiter de leur jeunessé pour économiser un argent, que d'autres
fiettent an. vent, et. don: 5 anvont laut besoins plus-tard,. - ‘
: Bille est fadispenñsäble an ferioier, comme elle ‘
ont da disparition &n
père, la trés lourde
f Î Pest an frofes-
ionnel, où à Phonnne d'affaires, Un médecin oÛun nvacat-peu- !'
vent avoirs une excollente ehentéle, _On'en resterait nprés leur
mort? Quelle source de revenu la famille en-rétlrerat-elle, ai
‘ L'hornme d'affaires péut avoir cnitre les 1otins vue magnifique
entreprise, Qui la dirigers quand'iline sera plis à? |
… Le fermier vil sur sa ferre, et Ü élève sa farnille, munis il-doit:
travailler avec touf. son courage, Qui vu faire le travail anrés-sa
mare? La snère de famille ira-teile à la charrye en laissant les
enfants
qe nous ecenpiois, ‘un devoir de constience, ot nn ‘devoir dau
de la chose. | 7 : . , À HAUTES
Mais assurez vous dus la Sauveghide, et n'allez das portei
vatré ‘argent & des: compagnies mrémicaines -quicne. vous dunneni |
tions. que les autres, et appauvrissent le:
Fe
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2.
017 Burenë chef, MONTREAL 2
ci, Rayinond _i
* Edifice Victory, Winniptz’!
ON DEMANDE, DES AGENTS me A
Dents, agent général pour d'Otént,
" CUVONDA, SASR, “1
Lu | AT: Monnia, ‘agent spécial pour le Maniloha,
ETES
, =
EN)
+ 0 A
ee er Me ed motcmnbees + one aient à nuclear ane seins
Au pays du cinéma
Le inolheur, e’ est, que Paccord
parfait ne régnait pus. toujours suri.
nos terres. Les deux: protecteurs
D nent ane à
| Une question d'actualité
Dasmessemsenen
. qui la. fate?
Ts A
Banque Canadienne
"SALLUST LAVERY, H.C.L.
«“ chiffres nous apprenent que A t JL |
avaient léurs passions, et pendant® j: Les Chif à ; l . Avoca {
ya peut-être lieu de se déni . , , qu'un Jupiter. faisait son sommet ! inst En ne choc MAURICE “DEMERS, L.L.L ._ . Nationale
x a peut-être Tieu de se dénian- Il faudrait des postes catholiques de radio ; Ldans la relevée, d'autres jounient{ formidable. Les sommes qui ||]. : Avocat . (Banque d'Hochelaga)
. v sida légende qui nous fait pas-
*
JULES MARTIN, CR.
Lavery & Demers
AVOCATS ET PROCUREURS
Siège Social—MONTREAL,
‘Capital -versé ct réserve,
et $11,000,000
C'est ainsi que-bes petités Dilles Qui li iiard 250 millions de dollars !
des premiers partout à tirer par-E vie de famille, amenant les anal forme trouverent un jour leurs Si on sunge que l'industrie des eon-
ti des inventions modernes, pour Fteurs à passer debout des parties bonnes femmes nogées dans ln lon- esente 2 milhieits Er sn re
les fairéservir au bien et à la pé-lde nuits, et les enfants à ne plus TE À force de caresses elles les { Pie us automobiles 1 milliard
de mauvais" tours à ses protégé in sont consacrées représentent {
nstances, où si elle n'est pas par-
is notre propre fait.”
Ainsi, lorsque nots parlons à des
., tisiens, des richesses de la Sns-
‘ tchewan, de lPaveni de Winni-
g, des splendeurs du Niagara, de
vallée de Ia Matapédia, des Tor-
È hytirauliques de Shawinigan,
: Ja Metabetchouan, de Péribon-
+ Ge la pauvreté de Caughnawa-
? des Manitoulines et de leur ea-
lale Manilowaning, ainsi que du
puié d'Hochelaga, H est asez nn-
. rel que des oreilles peu habituécs
de telles assonnances soient tout
abord rébarbatives et” que, Ceux
ii les possèdent puissent s'imagi-
ù N que-nous parlons au moins la
ngue des Peaux-Rouges, des 1ro-
os où d'Apaches qui ne sont pas
, üx de Paris, bien. que.ces der-
ers ne parlent pas du tout le fran-
. is de l'Institui..
° Jl y a aussi kr visite en France
+ plusieurs des nôtres qui n'ont
is. eu Je temps où l'orcasion de
| ocher leur grammaire ou, Larous-
l, et:qui, par contre, $e sont trop
‘_attés avec les Américains où les
Î nglais, Ceux-là ont assez sou-
nt, une mamiére de s'exprimer,
! pable de dérouter le Français on
1 tranger le nuenx dispose,
Et, cette phra entendur dens
l tramway, enive deux ‘‘n: âchées”?
* gomme, par ne fillette vexér do
voir. reluquée par une autre pe-
2e ouvrière!
“Laide concu: qu'elle est. avec
1e gueule soute qu'elle 4, qu'a
se dont d'elle, avant qu'a vise tes
tres”,
Cette phrase, dis-je, prut Lion
pas. manner : havnionie ane
tive, mais ee n'est tout de rite
& elle.qui sarvientdra à nous dé-
irrasser de nacre réputasion de
uvages.
Puis, il vases pincusAnsrie de
‘ei nous qui st poirmelient (HS
is de se parrr la poire de qgaci.
es Parisiens pari ira nauifs. tuole
4es anecdotes authentiques ne
ont pas ici déplacées.
‘ Un artiste de tes amis, un grand
liste canadien, causait, il nv a
as longtemps avec son frère, au
rafé de Ja Paix, à Paris, A Une
ble voisine, il v avait un. Pari.
en qui ne cessait de dévisager
OR aini qui a la imanière de porter
‘8 cheveux plus longs,
, Vous voué demandez sans dou-
* qui nous sonunmes ct d'où nous
;enons, “dit mon ani au Parisien
‘iquisiteur? du Canada, de Caugh-
awaga: Inonsicur qui In'accompa-
fe, est. le. slernier: imdien de. St tri
‘iL.
* Le frète de Moi Hi “qui. ct bien
plus légant.Montréaliis “ques ié
“annaisse, se conleñté ‘le sourire,
Htus: deux! prirent- conpé du: Pa
Sion intérloqué bien’ CONY, aineut
ilévenait d'avoir affaire it deux
ROUES touges, pur SAUT ue,
l'OMAIS: il x 4 miêux conne, pince
Lnts-rire, ! Lu.
‘Un dighe- prètr e, dé Montré |
:aCatetire, #t minenf, - Ain ‘hüttrés. la
nas. roid. aux SOUS, | el, dont je
+
“ment” un: “coin, mais: totté une sur-
ice!" à: ‘quelques: douzaines d'étian-
cers, ur réfecloire du. novicint pa:
ésien, où ‘il se retrait, dors” de sou
.5Y Age. d'études : théologiques.
AU. Canada. ni avaiton de-
san. fe: “dites-nous done quelle lan
ue Vols" parlez? ; re
ec! vais vôus expliquer, rÉPOs
LA flcgmatiquement Je jeune abbé,
RARE il va fort longteinni,
LA avait des sauvages, rien que des
auvages, au Canada, lorsque, vers
54, uu nonnné Jacques. ‘Cartier
iqud une pointe dans ces lointains
afages. es Français le suivirent,
.Lil'on: païla un mélange de frän.
ais el de sauvañc. Plus ‘tard, ta
‘ranbé abañdonna aux Anglais ces
gisérables arpents de neige, ct ça
it un nouveau mélange.de sauvage,
le français et d’ anglais, un, chara-
as assez difficile à comprendre,
—Mais vous, comment se fait-il
‘jée-vous ne particz pas lrop mal
e frapenis. demandèrent, les én-
oux à l'abb é?
Ah! voici. En arrivant à Pa-
‘is, à} v a {rois jours, je suis alc'AÏ
a biblinthèque Nationale ct je me
angue, parce que je savais que j'al-
ais vous rencontrer!
Et, comme cette dernièr e boutade
embiait un peu difficile à avaler,
soîre jeune abbé se fâvha, et frap-
sant sur Ja table:
-— Apprenez done, messcigneurs,
mue c'est vous. qui étes. des igno-
“auts, ct que. la vraie Franec, C’est
ien plus 1à- bas, sur les bords du
Saint-Laurent, qu'ici, qu'on. la trou-
ie. Apprenez une bonne fois, que
ous ne sommes pas des sauvages
st que nous avong”môême un rude
nérite d’avoir su conserver notre
angue, si loin de Franée.’et du mi-
‘ieu de contacts déprimants et-hos-
:.fics.
Je ne vous dirai pas 1 suite de
ze: discours ct pour cause, mais je
sais bien que s'il a p: irfois def:
-noîre faute, dans le fait qu'on nous.
rend Pour des Peaux-Rouges: ln
faute -est'bhien plus grande du côté
"des Français de France. qui n’ont
plus le droit d'ignorer leur géogra-
phie et leur histoir €. contennoraine
le sol: de Fr ance,
G. C.
eue
“Ün proverbe
| Baptiste? a un fils qui se débat
ävep les. premières difficultés de
la _frammaire française, toutes les
uis hâté de me faire montrer aux carrés, mes perches et mes
rite,
C'est ce qgrr'ils n'ont pus fait dans
le passé, malheureusement, par rap-
porl à deux grandes forces modere
nes: la presse el le cinéma qu'ils
ont laissé $se développer en dehors
de leur influence et at plus grand
détriment des ämes, La puissance
dela presse! on n'a commencé à
la comprendre que ces dernières
ninées lorsque le terrain élait dé-
fà envahi par la presse neutre el
tmpte. La puissunce du cinéma !
lou le n onde la constate au ser vi
ce du m Mais où sont les catho-
ligues D se rendent bien compte,
que le seul moyen de réagir con-
{rete mauvais sinéma c'est de rés,
er de ban cinéma comme le seul postes d'émission : catholiques, qui
moyen de combattre la matvaise
presse, c'est de fonder el de pro-
pager de bons journaux?
Uue occasion se présente ü pro-
pos d'une nouvelle invention qui
pient ‘de naîlre et commence déjà à
avoir une influence mondiale, de
ne pas, répéter les fautes du passé.
il s'agit du radio qui est en train
d'abolir’les distances et de mettre
en, communications des millions
d'hommes sur fors les points du
monde, Les catholiques sauront-
ils en profiler pour da diffusion de
la vérité avant que les puissances
de mal s'en soient totalement ent
parées?
C'est ce que demande M. Ber-
nard. directeur du Courrier de
St. Hyacinthe, dans un excellent
artivle que nous sommes heureux
ie reproduire ici:
Le radio, qu'on a longtemps con-:
sidéré comme une entreprise ha- |
sardeuse, est devenu une réalité,
appelée à prendre une place de;
plus en plus Jarge dans notre vie
moderne.
{ faut l’acc epter. H ne sert à
rien de s'insurger, de protester
verbalement contre les habitudes
qu'il crée, les besoins et es effets
qui. eu dérivent, dans notre vie.fa-
miliale comme dans notre vie pi-
blique.
Céla,ne veut pas dire: qu ‘on doi-
ve se Tésigner, sans résistance, à
tous les inconvénients susceptibles
d'en résulter, Mais le radio, com-
me le cinéma. .ost entré dans notre
vie pour x demeurer, dt importe
de bien comprendre eg fait, et d’en
tiver le meilleur parti possible,
dans le sens de notre’ vie catholi-
qué‘et nationales Au Canada seu-
lement, d'après :des:chfffées donnés
pär Je, gouvernement fédéral, il y
audrail 78,057 “apparcils: de radio!
Le radio, qui:cst surlout en Amé-
rique, entré les mains de Péléurent
anglo-saxon et protestant, constitue
bu grave danger d “infiltrations du
ait. qu'il apporte .èté- méle, jus
qe dans l'intimité sacrée du, loyer,
des eontérenees sur les sujets les
bas <hétéroclites, ‘les préches dus
pasteurs, protestants: -et Patrace
susique de. jazz, Le radio it CNCN-
Fu
D
Papi avuil fini de radouer ses
cléturés-et lé watin il débitait les
vieux piquets de cèdre pour le poë-
lé de la cuisine. de choisissais les
beaux quartiers ‘el je les mettais en
réserve pour me faire un petit |
clos, :
Mais comment fendre ces gros
morceaux? Papa cachait toujours
sa hache vitement après sou {ra-
vail etsje m'osais v risquer mon
couteau délicat. dé rentrais dans
la maison ‘en hynocrite, je rôdais
autouÿ de la table sans faire sem-
blant de rien, êt dès que je m'étais
pas vu, j'ouvrais le tiroir et je me
sauvais dehors avec le grand cou-
teau à boucherie, Armé d'un ron-
din pour maillot je frappais sur le.
dos du couteau, et jéclissais mon
quartier de cèdre en petits mor-
piquets.
Alors je commencais ma clôture :
au. bout du hangar-au-bois, du’ côté
du sud, se trouvait le plus beau pe-
tit coin pour faire un clos que j'aie
jamais vu, L’herbe était: rase. et
drue, à côté passait Je petit che-
min de la fontaine, Je m'étais à
peine installé là, que mon icune
frère vint me rejoindre, ‘ette
fois, nous nous entendimes à mer-
veille.” Nous aurions chacun notre
petit clos commun, De temps en
lemps .je lui prêtais mon couteau
et il ne pleurait iunais.
Oh la belle cloture que nous
faisions, courant à travers l'herbe
fine, comme une dentelle ajouréce.
Maman devait uous appeler plu-
sieurs Fois, pour le diner tant nous
‘étions : OUCUPÉS. .
Unei ois. lé clos fini, il nous prit
envic d'avoir du roulant coinmeé
papa. Les petits garcons du voi-
Sin, plus vieux et, plus adraits, ai-
dés par leur père, se faisaient des
miennes n'étaient pas: tout-à-fail
sorublables aux leurs, et: encore
moins au’modèle vivant, mais, c'ést
moi qui Îles avais faites et je les ai-
mais de ‘même, Sur un petit” bloc
de bois taillé à peu près aminci du
côté de Ja tête. avec Palène que je’
perdis- ensuite, jé perçais des.trous
= ——< mn
plus Lot possible.
Un “Les travaux x d'antan
‘ 7.7 Nos petits clos d'enfants sa à 4 ou
trouver Le moyen de se couchér,
Ceux-là sont les dangers les plus
«pparents du radio, en marge des-
quels il importe de souligner l’in-
filtration de l'anglais dans les fa-
milles et l'empreinte possible, sur
les esprits, de Fa mentalité améri-
caine et anglaise,
Dans ces conditions, quelle at-
titude doit être celle des C: anadiens-
fr ançais vis-à-vis du radio? fl n’y
en x qu'une qui. soit sage: accepter
le radio, mais le faire servir, au-
tant que possible aux fins cana-
diennes francaises et catholiques.
Ainsi ne serait-il pas possible d’a-
voir dans les grands centres, com-
me Montréal, Québec, Ottawa, des
r pour. des sauvages en France , ,
. 2st pas motivée par . Fe Les, tétholiques devraient étreuyre pour effel de désorganiser la se mélaient trop de la conduite de
fourniraient de læ saine musique,
transmettraient des discours en
français, sur des sujets soignouse-
ment choisis, des lecons « ‘apolo-
Hétique et de vie religieuse?
Les diocèses de x province ec-
clésiastique de Montréal, par ex
emple, pourraient s'unir ‘et contri-
buer un fonds commun pour les
frais d'installation et de fonctionne-
ment d'un poste à Montréal, Mè-
me chose pour Québec et pour Ot-
taxa,
Des entreprises de ee genre, d'ail.
Jours. ont êté tontées à l'étranger.
En Italie, les catholiques ont inau-
guré dernièrement, par radio, une
vaste campagne coutre le hlasphè-
me, campagne qui serait des plus
opportunes en notre pays, et qui
per mettrait de faire, sur cette ques-
{ion du blasphème chez nous, d’in-
téressantes précisions théologiques,
e mouvement est dirigé de Veronc
et se poursuit avec une extréme
vigueur, «d’abord dans la péninsu-
le “italienne, et s'étend à tous les
pays d’Egrope. :
Aux Etats-Unis, on annonce que
les Pérèés Paulistes vont installer
un posie puissant, d’un coût in-
tial de 840,000, Le but de cctte ini-
liative est,, d'après les journaux.
"d'ensoigner au peuple des Etats-
Unis lt vérité au sujet de l'Egtise
catholique.” :
Tandis que le radio n'est encore
qu'a ses débuts, et qu'il n’est pas
entré dans la majorité des foyers,
comme‘il le sera nécessairement
d'ici quelques an nées, c'est lé temps
de songer à ces choses et de s Or EA-
niser séricusement en vue de Pave-
mir Qui sait la force que les, ca-
tholiques auraient aujourd'hut” en-
tre les mains, s'ils avaient compris
ya vingt ans, des ressources -du
cinéma, et s'ils, s'étaient appliqués
à S'en emparér cofmme ônt fait les
juifs du monde entier?
Mettonsmois. bien danà P idée que
le #adio n'est pas: “apnelé à disp: t-
raitre plusque Le tinémas qu'ait
eontraites il ÊTE pertectionne cha-
qué jour else vulgarise rapidement,
FE eëteun, Maven puissant de pro-
pagande. cet. des: catholiques ! de-
vraient. s'efforcer de Passervir le
3
. ru,
«
ment restreint, inais lès "moutons a-
rancéient dans la triche. Nous
avions qu'à aller au “cap” ä
“emplie” 0 chapeaux de cocos % e-
pinette. noire. Une fois renfermés
dahs Ig.clos, çà faisait des moutons
presque, parfaits. Pour nous assu-
‘er que notre. clôture pouvait . les
arder en toute séeurité, nous pre-
ous le plus gros des cocos, le bé-
ici, et nous essayions en Le pous-
ant dans les trous enire les per-
hes de Île faire passer, s'il resis-
ait, nous: n’étions pas inquiets, Car
tous avions semé un clos de grain.
08 L'avanx, élaients imposants: de
mpheité in énue, Tout se faisait |"
tin main, Une vieille hache fous
servail de bèche, nous hersions a-
“ec nos. doigts et nons semions à
oignées. Et l'avoine après quel-
uues jours d ‘attente qui nous sem-
aient des années, poussait par-
lessus H clôture en véritable forût,
Nous commencions à prendre no-
‘re rôle au sérieux. Où mettrions
nous dotre récolte à Pabri? It fal-
‘ait nous bâtir, et c'est là que nous
réussissions le moins: Notre plus
belle grange ressemblait à s’y mé-
prendre à la: cabane des poulets,
mais cle nous coûtait beaucoup de
sueurs, et nous ne pouvions faire
mieux. : : ,
Pour la construire nous avions
dû courir un peu partout de vieil.
les planches larges, les scicr com-
me il faut, les ajuster, et les cloucr
“vec dès vieux clous qui crochis-
saient tout seuls, el quelques clous {
neufs dérobés à papa. L'orients-
Hon ct les aénagements de notre
bâtissé ‘chängeniont ‘ tous les
jours, . .
Un beau matin, les foins eom-
mençaient, ‘Dès que nous enten-
dions papa.morfiler sa faulx. nous
fauchions notre foin. Avec une
baire de ciseaux empruntés tacite:
tabe, nôus nous mettions à l'ocu-
«vre, Pour le faire sécher, c'était
facile, © Ce petit foin de terre fou-
dé au printemps ne produisait pas
cffrayant, et les brins de foin é-
taient rares, Nous les mettions à
hoignées dans. géange par la por-
te où notre main av ait juste la pla-
vanimérent, mais elles crifront pus
prudent dans la suite, à leur départ,
de les faire suivre dañs t'Empvrée
familial. ne
Les jours de pluie, nous jouions
une rivière à plein écart, un bar-
age de terre simulait la “chaussée,
#t à traverg un bout de lnbe, la
lalle, Peau tombait sur la grande
‘oue, un petit tourniquet à quatre
wanches qui ne tournait pas tou-
ours sur $es coussinets d'épingles.
Et nous vivions une enfance heu-
‘euse, dans la joic fraternelle, sans
nalice, ni péché, N’allez pas croi-
re que nous éHons l’exception. Par-
tout où il y a des enfants sur Îa
ferme, il se trouve un petit clos
quelque part avec le reste à l'ave-
nant >:
Dans les quartiers ouvriers de
nos villes, j'ai vu là aussi de ces!
petits clos chétifs,s adossés à un
mur, s'étendant sous la galerie pr ès
du solage. Même dans Fexil,
enfants de la campagne se rappel-
lent leurs jeux et ils demandent
souvent à leur papa déserteur du
sol quaud sera-ce qu'il retournera
enfin sur la terre où les amuse-
ments ahondent, où les fraises mü-
rissent, et les ieux bruvants se dé-
veloppent à l'aise, hors des rues
étroites?,:7
Bien des enfants ennuyeux de
leurs premières joies rapatricnt ain-
si leurs parents découragés. Plu-
sieurs papas avotent qu'ils aiment
mieux voir leurs enfants heureux
dans la liberté de Ia verte ramna-
ane que‘de les entendre se plaindre
continuellement et de les voir dépé-
tir de nostagie.
Porquoi ne sont-ils pas plus
nombreux ?
Jen .SANS- TERRE,
a = mme t
Québec plüs “Canadienne”
. Qu'Ontario
Le statistiques due reensement é-
tablissent que 99 pour cent des ci-
toYens de a province de Québec
sont nés au Canadas Dans les au-
tres provinces, le” pourcentage dès
‘natives born”, comme s'expriment
nos confrères de langue inalaise,
‘st bien moindre.
Ainsi par exemple, à Montréal le
pourcentage est de 81.3 et à loron-
u, de 62.2 ,
RE PRE
Beauté divine de: l’agriculture
Vous ne manquerez pas.de redire
aux, cuitivateurs'que Île travail a-
uricole. est le plus noble ici-bas,
parge qu'il se fait nécessaireutent
uveë de concours direct! de Die,
Vous êtes-vous jamais deihandé qui
a’ fait Ja gerbe de blé que Pon ré-
eolte dans un champ at temps de
lt moisson? Vous savez comme
noi qu'elle cest l'oeuvre de deux
nuvriers, de: Phomme e [ de Dieu.
Si le cullivateur n'était pas entré
“ais son champ au QUES “s'il
d'avait pas débarrassé lé set es
ipines et des ronces qui le cou.
“aient, s'il ne l'avait Das labouré
rofondément pour v déposer. la
‘emence du frotnent, il uv aurait
‘ertainemont pas poussé de blé,
Voilà le travail du cultivateur, voi-
ce crue Dieu demande de lui.
Duand a accompli ce travail,
se retire de ce champ:.il lenclot
ivee suin, “afin que rien:ne vien
ne troubler le travail divin qui a
succédé à sou propre fabeur. Ce
champ devient pour lui’ quelque
chose de sacré, Sur lequel il doil
voiller avec soin, C’est'que Dieu
a v entrer à son tour et continuer
te lravail commencé, I V enverra
réguliéroment la lumicre et J’au-
rare el la rosée du matin, 'la cha-
teur du midi et la pluie du soir, el
aprés quelques jours commencera
ce‘dravail de la germination, Ha.
semence plongeant dans le.sol une
racine qui va lui donner le-point
appui el la nourriture dont elle
ùn besoin, ’et poussant vers le ciel
une tige délic: ie qui grañdira tous
les jours jusqu'à ce qu'etle donne
in épi chs wgé de 30, 40 où 30 grains
semhlables à elle-même. Quand
e travail est fait ct que Dieu n
couvert d'une riche moisson ee
champ si péniblement ensemencé,
il dit au cultivateur: voilà ce qur
iu te donne pour toi el ceux que
j'ai confiés à la sollicitide, (est
done unce:vérilé, messiours, une véc-
-ité bien cousolante et bidn honora-
ble pour 16 cultivateur, qu'il a
Dieu qui- même pour collaborateur,
On n'en saurait dire autant du
travail industriel où: lQ concours
de Dieu n'apparait pas aussi divec-
tement, 11 nv a.que deux hommes
qui tavailont ainsi conjointement
avec Dieu, le nrêtre dans Pordre
‘surnaturel, ot le cultivateur dans
l'ordre naturel.
Mar LABLEGITE,
L organiste ‘débutant
Comment as-tu trouvé. le nou-
vél organiste, ce matin?'
— (C'est un or ganiste d'après DE.
“angile ft.
Un org aniste d'après P'Evan-
ile. qu *enlends- tu par 1?
—-$a. main gauche ignoïe gomplè-
tement ce que fait sa main droite.
Je ne le ferai plus!
‘Pendant que M. le Curc. explique
pareil L'eau d’une rigole lor
700 millions, on peut juger de son
impertnet ‘
L'industric cinématographique
aux Etats-Unis est exploite par:
197 compagnies" dont 22 forment
un trust, 50,000 ouvriers dont le
salaire annuelle est de 75 millions,
sont employés par ces diverses
compagnies,
4
MORE
Quelques difficultés de la lan- |
gue
Miss Nanny Skakapee, fille uni-
que du roi des fromages mous, ré-
solut de:passer Phiver à Paris
Mais avant de quitter New- York,
elle se dit: .
—-Je veux prendre; quelques le-
eons de perfeetionnement, dans Ia
conversalion, avec un professeur
originaire du pays lui-même,
Intention louable qui fut bien-
tôt ré éalisée, par le moyen d’une
annonce insérée dans le “New-
York Herald”, .
Il se présenta ‘environ douze ou
quinze cénts professeurs de fran-
çais d’âges divers: et de natioualités
variées, |
Elle choisit un jouince. homme de
bonne mine. Alexandre Curiace.
L’Américaine Jui dit:
Je ne vous demande que de
causer avec moi sur n'importe quel
sujet pendant trois heures tous les
matins: n
Pas ‘facile, dans ces conditions,
de décrocher un sujet de causcrie
qui soit intelligent, Alexandre Cu-
riace demanda à tout hasard:
-—Parlez-moi de votre famille.
— A right... Mon -bère naquit
à Toronto... VA est ‘laqu'il con-
naquit ma mère.
—Halte-Hil s'écria: le ieunc péda
£ogue : A faut dire “qu'il connul”
c'est le verbe’ connaître.
—Fort bien, mon ‘pére connut
done ma mère dans la ville où Si
nul,
—Pardon, miss, pardon . .. faut
dire “où il naquit” c'est le iverbe
naître.
Mer di. Je tâchorai de ne pas
oublier ce ‘que. vous me disez-là,
— On dit “ce que Vous ne diles”
C’est le verbe dire.,
- Parfaitemient.
C'est un peu
difficile, mais si vous. me prédites.
le SUCCÈS.
——Nn dit “vous. me. prédise=".
C'est le vèrbe prédire. .…
Oui, mais he “maudisez" pqs mon |
iguorance. Se + oo
7 <-On “dit: tandisses” C'est Le
verbe matdire!.
“Si ie eémmets" “des fautes, n'en
-“médissez”. pas irap..
On dit: “médisez”. Cest le
verbe médire. 7 .
Miss Nannv qui depuis un ins-
tant semblait s’énerver, ne voulut
pas -en entendre” davantage. Cou-
pant court à. Pentretien; cle se le-
He brusguement'et s’en alla, tout à
fait dégoutéf, en murmurant dans
sa languè natale: | À.
[1 est complèlement idiot,
gareon-li!.. f
Et Alexandre Curiace fut flanqué
à l4 porte séance-tonante…..
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f Es Dieu ‘de’ Québec, 1 SE
Al Ex-Assistant à la Clinique Chi-
rurgicah. de l'Université Laval
| Chir urgien de l'Hôpital G Général”; :
|. No, 6 pendant la “Guerre,
dl: 1915-1919.
Ex-C biruigien Spécialiste por
Maladies de la femme, ôte
Dieu, Université Laval Gou-
hirurgien . décoré par
so, Français pendant
rs “sucre, ‘
+
‘ lois qu'il “met la main à la plume.”
Le jeune homme:se décourage fa-
Püement: alors le digne Baptiste
. croit, devoir l’encourager.
us Ne, vous rebuntez pas, mon
Es écrivez toujours comme dit
la proverbe, c'est en écrivant qu'ont
tlevient Re PRTELT
‘ T'Erstlancues
et je. plantais quatre chevilles, les | ce: de pässer. —— In création, petit Pierre est fort
quatre paîtes, et mes vaches. ache- Les petites soeurs s'intéressaient nréoceupé dans son Coié ‘il dresse
vées.s@ tenaient . “debout toutes déjà à notre culture, ‘Elles déplo- avec .anxiète l'inventaire de’ses bil
soules, Mais dès que je voulais les rérent notre oubli de, la maison. FE! les. Soudain, l'une d'elles s'échap-
faire. marcher en les soulevant, el- | à côté de la “grange, L'iournée sui. lue, roule avec fracas sur le. pavé
les s'‘égaraient et devenaient infir- vante s'élevait une autre cabane. {et attire l'aticution du pasteur.
Allons, étonvdi, dis-moi qui +
créé le ciel et la terre? :
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TESTER BRON RENÉE
een ae eo
- Des Hôpitaux de Paris
et de New. York:
mes de plusieurs de leurs membres, | notre maison, _ badigeonnée, d’un
Nous avions ‘mème un chéval, au reste de Peinture rouge,
à]
an Saw
surtout” au" léndemain de lhé- belles vaches en bois. Javais mont td ;
x ‘ les à + Les e maman, et des couteaux de
roïsme, des soldats. éariadiens sur couteun,, j’essavai de les imiter, Les
Bo OT Te KE pacage.” Comme je l'apnris plus! Les petites l'illes adroites In .peu- |: Pierre, pris en flagrant : élit, de tri HD,
Fo Sept i igues - - ; tard® Fous TRANS sans le Savoir, plèrent de eatins de linge, L'ima-frébondre avec une protestation ti il " . à Fi ULANGES :
“ ai marié une Time sharman-| le petit Pantagruel puisque. notre ation et-le costume dant, nous: files et Fest Du 61. Téléphono 3288 HT a ÎME DECIN CHIRURGIEN -
où savanté, mon cher, ‘elle pos-l'ecursier, In. erinière au vent, n'é- | Fee nuaissious Je père Jôsé, la mè-]:,.-—Ce n'est pas moi, monsieur le | . TUE CE Licencié our fout lo Canne
8. -S0nt langues: # tait en réalité qu'ün bont de rondin re. Joséphine et le petit Joson, Tout | Guré. À . d. E.LUSSIER,' BA, 1h “ + par. élhe Medical -Comhgi ne LE
Sept Inngues, Migre; ha Cemmelnbrié en Vair nav quatre metites|ce monde-là était bien vivant. et ;—Coment, petit imalieurofis cet daté de l’Université Laval À | Trôiteñienta par Le Radien Laboratoire de
h a-qtune-seule et elle fait. àu- branches inégalement coupées, très arcuné dors . de nos visites. fn'est pas toi? f GC MARCH P Hve L gr vo + Laboraigire
‘qu moulin à bat.) Vu les ditrieuités, noire troupeau | Nous: les frisians ‘parler, travailler, —Qui, c'est moi, mais je ne le fe- {il : Le RO, A EDMONTON
tan” a Fo
: j fai ‘plus: je vous le promets! -
D
fes à | orries était nécessaire. | se-fâcher ct rire, nee
€
#
LS 0 ar
&
cr . LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi le | mars
DANS LA LUTTE
1923 | | :
om cdrom ee ones ne let nb mn med ea aus de amas comment ane
La Population du Canada
ES NE ER
el
Dans lè vent de la bataille
Suppose un moment une très bbn-
ne QU sise Cac +. bn ani fi D
Rens D fans toutes les parties| "C'est vous fà-bas, mon ami, qut volume du rapport final sur le re-| :e-Edouard,
Æ noce des
de France
. eu lient à An-
du pans -
vhs
Celle-ci
| US : ne Chambre .qu'auraient fait les ‘
i , , LQ , à sat i 0 ‘ ‘ ‘ : | k . | |
. ne assemblée de catholiques en France | catholiques? ; i Ù inté
Ë La physionomie d'u L | Ce qu'ils aiment tant à faire ils Le récensement de 1921 fournit des renseignements inlorese |
î . ne Vire ner se scraient peut-être réendormis | |
É voiri de récil vivant que nons «Cirque, cas vise Herrio!” pe Dodo. Penfarit do. réendormis… - ' sante
É oie à Bazin d'une «ce ces@ratour aussitôt s’interrompit et ri-|] Mén ionrd’hui. Suns : ‘
né Bazin d'une eur : ot s intc 4 , Méme aujourdhui, quelques-uns tédé isti i
EU donne, Des assemblées de, proles: Fposta: (Qu'ai-ie entendu? Et ten: |disent: Herriot ne durera pas tou! Le bureau fédéral de ln Statisti- dans In Nouvelle-Ecosse, six à Ter. |}
Eole epnent Les catholiques {dant le, bras, désisfant Phonnne: jours Après, nous aurons Briandl due publie aujourd'hui le premier| re-Neuve et un dans Pile du Prin: |}
gers® \ coir, Les abords |
. es du soir, es aDOræ
A huit Peut conférences étaient
, call Ù û
de Je Sal à le monde. Les in-
sis noirs de le. ,L
dépit aient de la ville/ emplo-
VE avriers, commercants, où bien
au ns VOISINS.
nn CS AEE
ss Loin Comme je me
des DO Te la campagne à Ka ville
le M M ortes, Et voici le spec-
ASSCZ nouveau, ;— POUF INOI,
… qui s'offrit mes YOUX.
es sout, comme dans tons
disposées en amphithé-
lieu se trouve lc parter-
me rangée de loges se
face de la scène. Or,
dons Le parterre. un eue homine
ait debout, Un civil, mais qui de
ait repris, stns: 10 vouloir, Patti
ile le sesle, et l'autorité d’un of-
Hioss C'était le chef du service
Ë ordre”. 1H disail à une douzai-
A je de jeunes volontaires, £1 oùpés
Bi utour de hi: “Fout a cté. bien
À gmpris, est-ce DAS? Nous avons
tacle A
3 maimns-
Les plac
js Cirque,
ares &tt I
ré, enfin t
dresse en
us LAVEZ CE QUE VOUS AVOZ, à faire
: ee de désordre. Je distribue
EL Les postes que Chaeun de vous cotit-
ED mandera. Vous, Julien, VOUS COINS
El manderez le secieul no, 1, ici d;
Evous, Nicolas, le’ sectenr numero
El alezv: vous, secteur numéro 5
ici, à gauche. Au premier signe
que je ferai, 1e chef doit se lever,
de... de voyais là les cadres
dune lorce volontaire, tres bien
EL organisée, dLestinte it protéger con-
El qre toute a9l'CSSION, Jes spectateurs:
EL egnviés à Ja réunion, à empêcher
le tapage, 1
BE jaterruptonr
2 qit le chitfre
canpagnie de.
récalcitrant,
anquel s’élevhit ectte
sureté, ct il était fort
À appréciable. Les réunions de ca-
thaliques que . MONS: WCTFCZ. annon-
es où raconifes dans, les jour-
maux, sont done, vous ‘pouvez en
s| étre sûr, OPRAnISÉC AIVCE soin. cl
| rilées par des voloi taires, .] Ya
lus. Je montai:sur Jà°scèncs au
moment où Les portés ’s'oufraient,
où des premières filès daditeurs
bent dans la salle. Derrière le
théâtre, dans les coulisses, Paper-
eus, à droite ct à gauchre, des ac-
emutiteurs électriques et d'énor-.
mes projecteurs: autres avaient
Et te placés en différents points du
cirque: chacun des appareils étuit
urveilé par un volontaire en 'sen-
tinelle, et si, par accident, l'électri-
cité de de ville étail-venué à Mman-
et TENTE
re
ina Et
APN mise
. quer, immédiatement Ta salle eût
Éd iuminée tout aussi bien qu'au- |
EL paravant,
Les files d'hommes centraienti
EE pressées, iniulerroimpues, ‘Au bout
ES d'un quart d'heure, le cirque était
El rempli: aprés une demi-heure. on
nu drouvait plus une place où s’as-
El soir, et les honimes, continuant à
uviver, se rangeniont duns les cou-
Si lois qui font Le tour de ‘la salle,
Épuis dans les coulisses du théâtre,
El Quelques-uns se peorchaient Sur Le
Élluit des foges. Un groupe nom-
Æbreux de notabilités, députés, séna-
Élleurs, conseillers généraux, con-
Éslers municipaux, -'attendaicrit
Élu a scène, On peut dire ‘que
élans la vaste salle il v avait bien
hois mille honnnes, lorsque l'évê-
que «Angers, Myr Rumeau, son
coadinteur, Mur Costes ot de cha-
none des Granyes cntrèrent,
l'évêque resarda cotte foule et
di A 4 a 25 ans que je dirige
Eee dineèse, jamais je n'ai préside
étude plus belle réunion. Comme
| volre nombre dit déj# éloquem-
juent que vous comprenez Ha gra-
ÉLVIé du temps! 3,000 hommes sous
Éinon regard, et il y eh à, devant’ in
Bnurle, beaucoup qui ne peuvent en-
Btrer! Nous sommes tous des .catho-
Biliques réunis pour une cause reli-
gieuse, Pormettez-moi done de “|
nm EE
LT
Méneer par La prière ot de réciter
ELU Notre Pére ‘et un Je vous salite
à lerie”, Alors, suivant et renouve-
É lin le geste de l’évêque, je vis
EQ0 bras se lever et signer les
Bbolrines, of-j'entendis - les voix
ÉCOMME un orange qui aurait parlé,
6 qui achevaient le Pater ot l'Ave
ji Mon coeur on tréssailtit de
Ve .
Mer umeau me donna ensuite la
he ce
à pirate, Je présentai brièvement le
É Anoine Desgrandes, sans - Man-
LUUCT de dire mon sentiment au su-
ù des DeSUreS annoncées contre
; ms hol iques. Alors Porateur po-
4 a Se Jevit. Projet de rappel
LL QU ssadeur de France auprès
AU Saini-Sièue, menace de disper-
nouvelle de nos congrégations
‘ligieuses, menace de. fermeture
Un ROLE confessionnelles d’AI-
qe ‘ de Lorraine, -tous les dan-
M « e heure présente, Porateur
k sus il en monjra. Pinjustice,
rent, li cause aussi qui n’est
que la haine ‘inassouvie de
nt pr MACONnerie universelle
leur: Eglise, MY mit. une ar-
érable, beaucoup de lo:
es beaucoup d'esprit. Je ne re-
he Point de faüle. dans’ ce
‘me a. Yenseur, ,Les inots heu-
ele" voudaient, ete rappel-aussi
ur M ppararaderie des tranchées;
Lier “ Ë Desgranges a été aumô-
instants nos troupes, A. ghaqueé
qe tee. toutes les fois. surtont
Nan venait, comme un refrain:
ustice. , d'oUVONSs tolérer cette’ in
es an ï NOUS ue fa tolérerons .pas l*
ve pl ätdissement éelataient,-bru.,
oi qrnimes, et je'Sentais-bien
hore grise Passer nus dune
ibit oh icile, que quelque chose
angé dans. ja mentalité des
. et qu'il y'avait en
e résolution, une viri-
le mor P'UTMoi ne. difrais-je pas
indianais espère de jennésse qui
train gent Nüllement. une foi en
ET
6e Mouris
à ün mon
DE aoluti
4 ang l
cie nv
tent, un hommie. gel.
Onnaire, qui s'était fan.
Puis Barthou.… puis Caillaux, qui
stra le sauveur.
l'arascon…
re... |
l'andis que, sous’ la cravache de
criez: vive Heriot! Vous nvez
pourtant bonne figure; vous n'avez
pas Pair méchant du tout, je vous
lassure, et celui que vous acchr-
mez, vous ne savez donc pas ce
qu'il médite de faire? Si vous le
saviez, vous ne cricriez pas: “Vive
Herriot!”' Je veux vous , montrer
ce que vaut sa triste politique. A.
r.… De Beaucaire à
de Tarascon à Beaucai-
une force, ct de le prouver,
| pit in répétition de la manoeuvre, |
fliques de France,
cri qu'il avait poussé, six solides
unillards ‘Au service d'ordre s'é-
taient Jcvés tranquillement et Pen-
adraient, debout, prêts à le “sor-
On m'a assuré,
quelques moments après, que le ré-
volutionnaire fourvoyé, avait jugé
moïillour de prendre lui-même la
tir” s’il continuait,
porte,
La réunion, /jusqir'{u bout, fui.
Tous les hommes pré-
sents promirent, le bras tendu, de
protéger les religieux et religieuses
qu'on voudrait inquiéter, et protes-
térent contre les menaces de Ia laï-
maguilique,.
cité. A la contre-épreuve, pas un
gesle, pas une voix n'approusa le
Des réunions comme celle-là ont
lieu dans toutes les provinces de
France ‘et dans un nombre consi-
dérable de paroisses, , Chaque sc-
maine, les journaux nous en racon-
tent deux, trois, quatre:ou plus. 1!
ne faudrait pas. croire qu'elles se
tiennent dans les parties de la
“drance les micux connues par jour
altachement à la religion, Celles
qui eurem- lieu à Bayonne. et à Ta
Roche-sur Yon, sous Îa présidence
égrulement des évêques, ct qui grou-
pérent jusqu'à quinze ct dix-huit
neltre à la porte tout tmille homines, eurent évidemment
fa lui
On m a
une ampleur particulière, Mais jus-
que dans les pays peu habitués à
ces sortes; de Aémonstrations, ct où
la pratique religieuse a été appau-
vrie, la menace de persécution 6
veille Pindignation, ci suscite des
dévouements, ‘It est extrêmement
intéressant d'observer que les évè-
ques, {ous les évêques de France,
ont adhéré à, la letire que nos six
cardinaux ont adressée au chef du
gouvernement français. Nous avons
déj connu une fois cctte unani-
mité, sous Pie X, lorsque fe iminis-
tére voulait imposer à la France
Catholique son système ‘“d'associa-
lions cuttuelles”: at les associations
culuclles n'ont jamais été formées.
Elle sont mortes avant de naître,
te.
Re
Le souffle qui passe sui la
France
Chaque jour, nous enregistrons
les grandes réunions qui, diocèse
par d'ocèse, et dans chacun d'eux
canton par. canton, groupent par
centaines et par milliors les catho-
Toutes sont bel-
les et dépassent les espéranecs de
ceux qui les ont convoquées; plu-
sieurs ont été magnifiques. Avoir
mobifisé en deux jours 75,000 hom-
mes dans fe Finislère, et en un jour
30.009 dans loë Côtes-du-Nord, L8.-
000 dans Ja Vendée et 10,000 dans
le seul arrondissement de Cholet,
quels beaux résultats!
Nos adversaires ne s’attendaient
pas. à. de si puissantes: mauiles{a-
lions et ils ne croyaient pas à une
telle vitalité, à un telglan chez les
catholiques et en demeurent ‘“stu-
pides” (nous emyplovons ce mot
dans le sens classique) et lotir éton-
fhement les rend tantôt injurioux et
ianiôt hésitants. Soyons persuadés
que s* M. Herriot n’# pas encore
réadisé.les menaces de sa déclara-
tion ministérielle el s'il proclame
à tout, propos sa large tolérance ct
son respect des libertés religieuses,
les grandes manifestations eatholi-
ques v sont pour quelque chose.
Raison de plus pour les poursuivre
en donnant à des adversaires que
les arguments de la justice ne tou-
chent pas, celui-là soul auquel is
croient, l'argument de la force,
Cette force,-il faut que les catho-
liques en prennent conscience afin
qu'ils perdent cette mentalité de
vaincus qui leur a-fait trop souvent
auêtef comme une aumônce Je moin-
«re de leurs droits ct abandonner
la. place qui leur appartient dans
la vice publique, dans les institu-
ions et:la législation de notre pa-
ie commune, Hi faut qu'ils sa-
cheñt, bien que leur nombre leur
permoltte tenir en échec toute ton-
lative de persécution dirigée ‘con--
tre eux, et qu'au lieu de demeurer
les résignés, ils peuvent, s's sont
bien décidés, être des /conquérants.
2 Jeñn,GUIRAUD.
Le Se ee
(La Croix” de Paris).
- ho x
+
n st ‘
a me es
Les catholiques sont l'avenir
: Gustave Hervé, directeur de Ta
“Victoire” eonscille. aux. catholi-
ques la seule décision qui puisse é-
tre prise: de
sont l'avenir: Lou
“ci, onyn’a qu'un conseil à don-
ner aux catholiques, c’esp celui d'è-
tre forts ‘et de -s’organiser politi-
quement sur le terrain constitution-
nel dela République. : Quand la
nation sc! sera chfin Aperçue, que.
“ki religion Hbre’ penseuse, dont Pé-
Cole” laïque: ést-le véhicule, est en
train; depnis quaranté ans; quelles
que soient les bonnes intentions :et
la; valeur professionnelle, des finsti-
tuteurs niques, de tuer en ce pays,
dans-les masses nopülaires, tout es-,
prit de discipline et de nous prépa-
rer une ‘belle vaguë de barbarie
commüniste, c'est vers l'Eglise pr
tholique qu’ellé se relournera. pour
la supplier de l'aider à restaurer
a-salle, vers-1e-hant du tes disciplines- nécessaires
gouvernement. -
se montrér forts; ils |
des bêtes
Ge qui compte. ce qui n'est ja-
mais stérile, c'êst ton cffort.
Alors doune-le à ton: Dicu sans
mesure’. le plus de bien, le moins
de mal.
PIERRE L'ERMITE,
n’ont plus peur de la
‘" lutte
9. G. Mgr Chassagnon, évêque
d’Autun, à dépeint parfaitement
Pétat d'esprit des catholiques, leur
position actuelle et leur devoir:
“Les catholiques veulent-ils Iris
ser faire le mal qu'on médite con-
tre ceux? Non, Is semblent fatigués
d'être molestés et brimés: ils n'ac-
ceptent plus une place humiliée,
le rôle de parias, an foyer de Ja
famille francaise, C’est pourquoi
ils se sont dressés pour la défense
de leurs droits et fe salut de leur
pays, résolus à répondre à ceux qui
les attaquent,
“Evidemment, la paix vaudrait
micux; j'entends la paix des vi
rants, Ia paix basée sur la justice
et le respect du droil, non ln paix
des morts, Ia paix des cimetières
où Tes hommes sont couchés et ré-
duils au silence, Et comme cette
dernière paix est La seule quon
vetillé nous accorder, Ji lutte est
fatale. Or, c'est un progrès que les
catholiques n'aient plus pour de
la lutte ct qu'ils l’accentent vail
lamment, Voici même que résister
ne leur suffit plus. Hs veulent re-
conquérir’ leurs libertés eonfis-
quées, lcurs droits perdus, refaire
une législation chrélienne, mettre
en Franco Dieu à sa place.
Le ne
Cette fois la franc-maçonne-
rie n'aura pas beau jeu!
Rouen, -- A'la suite dune réut-
nion eatholique ardente et vibran-
le en Normandie, où se pressaient
5,000 eatholiques; tous électeurs, Le
correspondant de la Croix écrit:
“AU lendemain d'une journée
‘comme celle que nous venons de
vivre, nous crovons fermement que,
celle fois, Ja franc-maconnerie
aura pas beau jeu?” :
Il faut que les catholiques d
Frânce luttent jusqu’au bout
Un ancien libre-penseur, Gusta-
ve Iervé, directeur de Ia Victoire,
reconnait lui-même qu'il v va de
lexistence de la France,
“Les ‘catholiques, écrit-il, savent
maintenant, à n’en nius douter, que
s'ils ne font pas front sur La pasi-
tion desespérée sur laquelle qua-
rante ans de République anticatho-
lique is ont reloulés, c'est r dé-
christianisation totale du ‘pays 4-
vant ün demi siècle, par Le simple
fonctionnement des lois laïques tel-
les qu'elles existent, S'üs ne li,
vrent pas pataile avec toutes es
forces et toutes les armes dont ils.
disposent, c’est li mort sans phri-
ses du catholicisme francais, c’est
l'extinction rapide et complete dn
grand fover' de christianisme qui
a réchauffé et vivilié ce pays de-
puis dix-neuf siècles, —
“Quant aux patrioteS que l’école
lhique a déchristianisés, où qui 4p-
parfionnent au protestantisme ott
à K religion juive, ïls/ne peuvent
plus ignorer, en présence de Pocu-
vre de désorganhisation sociale ct de
destruction de li-race à laquelle a-
boutissent finalement les dogmes
laïques el maçonniques, que cu
n'est pas seulement Pexistence du
christianisme qui esl en jeu, que
est lPexistence même de la Fran-
ce.” : ‘
5,757 élèves
PA)
OR
de plus dans les
écoles libres
D
Paris, — Dans une rétinion te-
nue récemment à Vannes, sous la
brésidence de S, G. Mgr Gouraud,
le Comité de défense des écoles li-
bres a pu constater que, d’après les-
‘documents officiels, les écoles-pri- |
vées du Morbihan comptent 5,757
élèves de plus que les écoles laï--
ques. .
5,757 élèves de plus, avec, 1,000
maîtres où maîtresses 61220 écoles
de moins ! 7
Lyon fut le berceau des Se-
smaiînes Sociales
‘Lyon... La XVTlème session des
Semaines sociales de France se
tiendra à Lyon, du 28 juillet au 2
août 1925. ee
Parties. de Lyon en 1904,:les Se-
maines sociales vont doné y reve-
niv pour fêter leur vingt et unième
année, S. Em. le cardinal archevè-
que de Lyon qui, depuis la Semaine
sociale de Marseille, n’a cessé de
s'intéresser À cette couvre et qui s’y
assacia personnellement à-Grenoble
l'an dernier, recevra avec prédilec-
tion l'oeuvre dans sa ville archié-
piseopale fut le berceau, Dans une
audience récemment accordée: à M.
Duthoit, vgésident de la. Comimis-
sion générale, :Son Fminence-A
bien vonlà accepter la haute prési-
dence dciceite session et lui pra-
mettre le.plus paternel‘éoncours.
Le thème des travaux de la Se-
maine sociale de Lyon sera .“PAu-
torité”," Li :
ds
Les catholiques de France | Puissance, c’est--dire
‘Fsont toujours
censement de 1921. Les résultats
essenticis du recensement ont dé-
it été communiqnés au publie par
une trentaine de bulletins, chacun
la persécution, les catholiques set desquels traite de l'un des multiples
sont dressés, organisés, fédérés: ct aspects tant de la population que
maintenant, ik ont la hantise d'étrel de l'agriculure.
Le volume qui
sort des presses contient des chif-
Ne te plains donc pas d'avoir dans! tres définitifs et détaillés, par cha-
ment: ‘
Le premier recensement de fS7I
Aux termes de PAete de l'Améri-
que Britannique du Nord de 1867,
le, recensement est l'une des 28 at-
iributions du ressort ‘exclusif de la
entièrement
sousfraite à lautorité provinciale.
La pr@mière loi sur le recensement
fut adoptèce par le Parlement du
Canada en 1870 et le premier re
censement de la. Puissanee fut ef-
fectué en 1871. Depuis 1 Confé-
dération, la Puissance 4 fait l'objet
de six recensements décennaux.
Les recensements dans l'histoire
‘des veuples
Le dénombrement de la popula-
tion remonte à Paube de la civilisa-
tion, Moïse dénembra les enfants
d'Israël au quinzième siéele A, C.,
mais dos invostigations d'une natu-
re sittilaire avaient été faites non-
bre de siècles auparavant: à Baby-
lone, environ 3800 À. G.: en Chine,
environ 3000 À, @ et on Egvpte, en-
viron 2200 À. (& : -Un recensement
que fit exécuter le roi David en
1017 À, C. est degeuré notoire, à
cause de la colère divine qu'il au-
rait provoquée; pendant de ‘nom-
breuses générations, ec recense-
ment fut cité dans PEurope chré-
tienne pour combattre l'esprit d'ine
quisitions. Jusqu'en 1753, le recen-
sement fut dénoncé pour des rai-
sons religicuses, à la Chambre des
Conununes britannique, où plus
d'un député considéraient cette n-
pération coinme un fâcheux présa-
ge 6t craignaient/que des malheurs
publics en fussent da conséquence.
Les Romains, tant sous la républi-
aue que sous l'empire procédaient
assidtunent à des-recensements, Le
bréviaire de Charlémagoce, en Pan-
née 808, el le grand terrier, regis-
tre du cadastre de Guillaume le
Conquérant en 1086, sont restés cé-
lébres comme meslres médiévales
de recensement: ‘ Ensuite, pendant
plusieurs siècles, on; #'ehtendit plus
parler de recensement en Europe,
Le Canada fat. 18 premier
L'ouvrage qui nOUS occupe nous
apprend que c’est au Cañada qu'ap-
partient honneur , de ‘ Pinitiative
d'un recensement ll que ceux des
temps modernes, En Pannée 1666,
la Nouvelle-France (comme on ap-
pelait alors le Canatla) fut soumise
à un dénombrement systématique
et nominal de la population, effce-
tué à une date fige, donnant l'âge,
le sexe, Poceupalion, l'état civil ot
familial, Ge document est soigneu-
sement conservé aux archives de
Paris, mais il en existe, une copie
que. l'on peut voir à Ottawa, Si
l'au-considèére que les premiers re-
ceusements pratiqués cn Europe ne
remontent qu'un dis-huitiéme sié-
cle, -nojnmment ceux ‘de Ja Prusse
(1719), de la Suède, (1748), de la
France et de l'Angleterre (1809), Pi-
nitiative déplovée par la colonie.
naissante des bords du St-Laurent,
en instituant ce qui est aujourd'hui
Pun des prineipaux instruments de
gouvernement des paÿs civilisés.
mérite d'être signalée et louangéc.
Sous de règime franenis :
Entre 1666 ct 1763, fin’ du régime
français, le recensement inftial de
Ja Nouvelle-France ne fui pas ré-
‘pété moins de 15 fois; d'ailleurs. il
ne fut pas lintité à Vactuelle pro-
vince de Québec, mais:s'étendit du-
rant les dernières années de cette
période anx régions voisines, sCpL
recensements avant été - effectués
A la dernière mode
L ] en rm
- Récemment, nne mendiante ren-
contrant une grande dame, lui de-
manda laumône en disant: Je n’ai
vien pour mhabiller.” — Oh! alors;
reprit ln dame, vous êtes à la der-
nière mode!” nn ;
ee tof! ‘
L'expérience de vingt siècles
.. . de luttes
“Ne craignez pas Ja furcur des
‘“honunes. Ne savez-Vous pas que
défaites momentanées
suivies de victoires
éclatantes? L'expérience de vingt
‘siécles de lutte apurend au catholi-
certaines
que militant du XXe siècle qu'il est
Des -périodes de
présagent des ré-
ui étonnent
‘OM,
sûr du triomphe.
mort apparente p
veils dé résurrection s
le monude./"—FEdm. TH RIET,
4 (Vivre sa vie.) .
Fe Fes 7 :
Romance sans paroles et sans
‘musique
Un enfant raconte qu'il a ‘écrit. à
M. Clémenceau: dans son: crimitage
rde Vendée, pour lui demander : ce
qu'il, pensait du ministre, Herriot
Le Tigre a répondu que la cour-
,
toiste La plus élémentaire lui inter-
disait de répondre. 7 +",
Mais-sur le dos de l'enveloppe. "i
a noté: .
9 et 0 et 0 et 0 et 0 et 0 et 0 égalent Ô
Malheureusement, le ministre
Herriot ‘n’est pas nul, il est profon-
dément nufsible, er. il est la franc-
magonncrio en action. -,
vinces des prairies,
-confessions religieuses, nous
$
Sous le régime anglais
Sous l'oceupalion anglaise, les it
premiers recensements du Canada
eurent Lieu eu 1765, 1784 et 1790.
À partir de 1817, il v out d'autres
recensements plus ou moins fré-
quents, mais ce ne fut qu'après ln
naissance de a Puissance du Ga-
A
Nous avons \iéjà dit que les résdl-
als essentiels du recensement de
HE out té déjà communiqués an
publie. Rappelons ‘toutefois qu'en
1874, le Canada avait une popula-
tion- de 4,689,237 et que cinquante
ans plus tard, en 1921, it était pou-
plié de 8,788,483 îmes, soit une aug-
mentation de 138.22 pe. Durant la
dernière décade l'accroissement ful
de 21,95 pe; pendant la première
décade qui suivit la Confédération,
il avait été de 1723 pc, dans Ta
seconde, de 11,76 pe, dans-In troi-
sième., de LH pes et dans la qua-
frième de 34.17 pe.
Le développement de l'Ouest
Il est également intéressant : de
remarquer qu'en 187L1-Ontayio pos-
sédait près de 44 pe de Ja” popula-
ion.du Canada ot. Québec un pou
plus de 42 p, ©, tandis qu'en 1921
Ontario m'avait plus que S38N pe,
de Fa population totale et Québec
96.87 p.c. La situation relative des
provinces maritimes, au point de
vue de ‘la population, lors de fa
Confédération et imaintenant, est
illustrée d'une manière frappante
par de fait qu'en ‘1871, ces pr'ovin-
ees contenaicnt 20.8 pe. du'total de
la population. tandis qu'en 1921 ct.
les t'en avaient plus que 11,4 p, ec
Evidenunent, Pexplication se trou-
ve daus le grossissement des pro-
En 1871, sur
une population totuie de 3,089.257
âmes, 18.600 seulement, soit 0.42 p.
e. habitaient dans le centre ouest;
en 1901, cétte région ne revendi-
quail guère que 4 pc, de fa populr-
lion totale, mais en 1921, elle en
possédait plus de 2% p, 6. x
Population urbaine
Le grossissement de Ja popufation
urbaine au Canada est surabondium-
ment démontré par le fait qu'en
1921, la Puissance possédait 109 ci-
tés et villes de 5,000 unes et plus,
au lieu de 87 en 1911, 57 en 1901, 45
ren 891, t'en 1881 el 21 en 1871.
En 1891, la population vivant dans
les agglomérations urbaines consti-
tuait 31.8 pc de ja population to-
tale; en 1901, cette proportion at-
loignit 47,5 p.e,; en 19f9, 45.4 p. e,
et en 1921, 49.5 pe Entre 1891 ot
1921, ia population rurale s’est ac-
crue de 34 p.c., en même temps que
la population urbaine s'augmentait
de 183 p, €, en 30 ans,
Les villes grossissent”
En.1874, Montréal ct'les villages
avoisinants qui ont éié annexés de-
puis, avaient une population d’envi-
ron 115.000 âmes, au lieu de 618,500
en 1921; Toronto, dont le territoi-
re est semblabloment considéré, est
passé en cinquante ans, de 59,000 à
521.893, Winnipeg, qui se trouvait
difficilement une place sur Ia carte,
en 1871, aveu ses 241 habitants, en
avait 179,087 on 1921, Ajoutons que
Vancouver et Calgary figurent pour
a premiére fois au recensement de
1491 et qu'Edmonton, Régina et
Saskatoon étaient inconnus dans les
recensements antérieurs à eelui de
1901, ‘Toutes ces cités sont aujour-
d'hui de grands centres populeux
et actifs où prospérent le commerce
et Pindustrie,
“
Les nationalités
Les effets de l'immigration sur
la contposition ethnique de la po-
‘pulation apparaissent une naniè-
re frappante à la fucur des chiffre
suivants: en 1881, 59 pe, de la po-
pulation étaient d’origine anglaise,
irlandaise ou écossaise; 3E p. c@, d’o-
rigine française (presque fous 4au-
tochtones) et 2 1-2 jx €, pour les
fndiens indigènes, ee qui ne faissait
quenvirou 8 1-2 p. c, de Ia populi-
tion pour les autres races. En 1911,
c'est-à-dire 30 ans plus tard, cette
proportion s'établissait ainsi: ra-
ces britanniques 54 p.c.; race fran-
gaise, 28,5 ‘pc, Indiens indigènes,
moins de 1.5 p.c et toutes autres
aces, près de 16 p. ce, En 1921,
ces proportions se sont ainsi modi-
fiées: races britanniques, 55.6 p.c;
race françaisé, 27.9 p. ©; Indiens
indigènes. 1 1-4 p, ç.; toutes autres
races, 15.43 pc -.
La population pur religions
Le chapitre qui traite de la clas-
sification de la population selon les
ai
connaître avec les détails les plus
complets, la force relative des dif-
férentes confessions religieuses par
comtés, cantons ou cités En 1901,
PÉglise d'Angleterre revendiquait
12,69 p. €. du total de la population;
les baptistes 5.92 p. c.; les lutht-
riens, 1.72 p. cs; kés méthodistes, tif
17.07 p. ce.; les presbytériens, 15.
68 p. €. et les catholiques romains; ||
A1,51 p. e.. Vingt ans plus tard, cn
1921, ces proportions Se sont ainsi
modifiées: Eglise d'Angleterre, 16.
62 p. ce; baptistes, 489 p. c.; lu-
thériens, 3.28 p, c.; méthodistes, 15,
18 p. c,: presbviériens, 16,03 n. c. et
les catholiques romains 48,50 p, c.
Les Israëlites "qni. en 1991, étaient
au nombre de 16,401, sait moins
d'un tiers de un pour cent de la po-
‘pulation, représentaient 1,42 p.c. de
Ja population totale ‘en 1921 et se
dénombraiont por 125,109.
D
Pour tous les pays, pour toutes les païties du monde.
“NOUS REPRESENTONS TOUTES LES LIGRES DE
reudais de ‘ : ‘4 rencort- LPTCS cela,-vous serez de notre avis# ]a figure le vent de la bataille. que localité, relatifs: (au nome | ad tie , fPautune à da ,
dans Ja Même normes à pied, [ion ami Car pour crier commet Ce vent faisait tressaillir Je vieux | bre, au sexe et à la-répartition gén- mac cuits furent effectués, À dur Cloix des routes TRANSPORT MARITIME
pri des SOUDE Dicyelette, dau- | 015 faités, vous avez vrainen(] Paul: Gaudeo et super gaudeo et| graphique de la. population; (2)! 4n mème temps ee sur terre el
fes jetés SOL loué un camion- l'air d'un trop honnête honime”, {il rendait lyrique Ignace d'Autio-| aux origines raciales et (3) aux re- / ‘ :
res qui, avion : nrrivaient en Et ik continue. L'autre se tait.lche au milieu même de Pamphithé. | lisions. Le rapport administratif | L'angmentation de la population en Sur mer Aide gratuite pour l'obtention des passe.
automobile, el Diva dans la sat EÉtait-ce. seulement dompté pair Jafâtre: Je suis le froment de Dieul sur les opéralions du recensement 50 ans. ports, visés, permis d'entrée, ate,
chantant ere avant l'ouver- raillerie? peut-être que non, car aulet je dois être moulu par la denciet la compilation v ligure égale- us
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aite
met, parce que le péegle Allen est le peuple Allan
… Le la
+ î :
ts eubstantiels, ‘5
‘'Rofkischild acheta des consolidés anglais dès les débuts du dix-neuvième siècle alors
qu'ils se véndeient bién en-dessous de leur valeur intrinsèque. ou ue
: Pourquoi ? Parce qw'il avait confiance dens le seuple anglais.
De Més jours, des milliers de Rothschiids, dans toutes les classes de la société, par tout Le :
1e Canada et les Etats-Unis, achètent des consolidés ellemands pendant qu'ils se ven- PU
.-&snt.à une fraction de leur valeur-or. Ce
Pourquoi ? Parce qu'ils ont confiance dans le peuple allemand. . : à vous-même.de vous déci eos
ür
sion, male vous le devez: :
‘
va Ü
Les Précédents ;
n _ À Avant ‘et durant los guérres ds Napoléon . or - 4 , nou :
D Ne nn Tes nent pe na Een
e L-] nt le mieux corinue n : e . : s : ‘ ‘ w-Yone, t:— ,
: rapidement de valeur. Le Grande-Bretagne R 3 fin de ces Les Prix Courants et les Occasions de.P rofits . . ‘Le sentiment est srand, en' Amérique que l'Aïlemagne, :
Jônbues :fuerres, Sè trouva elle-même dans la position d'un, : : L . . . le Pin Diwes ent une trés différente Allem 4 e,'A0uS
‘Éran to qui à Aoumulé une éngrme dqtte. Panne on | : 427 dans les ri Fe . OÙ usé à Parmiatieess ee en npne de Selle qui
“Suivant l'exemple de la maison de Rotschild, une foule de C kdé d G . ; Alle —. ad P sx “8. 3127 J[ 5. NET NN TUE :e.° Aonita
ma Se Qi Re méement cantines || Consolidés du Gouvernement Alleman -(Prüssien) 31/24 || :. L'opinion d'un banquiér anglais es ©
qu'un PS, t' ; hé . .. eg à es RER ERNEST ETS gouverneur de. lb Banque d'Angleterre, lorsque les négocis.
ænglais à une fraction de leur valour réelle, ou, nee TR Obilgotiohs fembnténé - tions pour l'erniprunt à l'Allene " se
Dans l'éspaco de quelques années, ces spéculateurs pénb- - ; ,. - À leur valeux 6 ot * p £ne èn Vertu du pien Dawea
trarits furént capables do vendre à prix maxima et des milliers PRE ‘pé approsimatite À étaient 'en cours en octobre 1924, dti " ‘. . "-.
firént foñtune. PEU M ACT EE . l'épouse, La ‘+188 82 833.0 o ne” “En bnportañce comme, en. montant, complète une ‘péri
. - ° : , : er s. internationnux lancés S ut dé ste €
10,000 arks + Fe 2 ; conditions dans l'Éurüpe Centralé et d'aidér A RE ti EU
Run À s ‘ La période d'avant et d'après ln où r ‘ areñ nn ni
Les Etats-Unis PE A Révoiution aux Etats 20,000 . “ . … 90.00 . : 4760.00 -4,670.00 raencér”meintenhnt où plus.tard pou recontrér lôurs oblige
Ünts fut témoin de la même chose de la part deg Valeurs üu ; ann nh ‘ 116 tions Anternationales. , . ri
gouvernement tent prêté de fortes dommes d'argent aux 50,000 225.00 ' 11,900.00 11,675.00 Je crois que Ja‘ garantie fournie aûx étentenrs ‘d'obtiga-
“des Frances ayatent prêté de fortes Form 8 d'argent aux 100,000 % nm + æ » 1 à je > .: 4$0.00 : 23;800.00 : 23,350.00 glons & non Seulement d'anprobgtion” de la Commtasion des
Am . . ' : . : _ ons, maïs devra or l'a Î
Lo EU Re ART DEN ein ro 250,000 CTI TES eu 112800 590000 © 58,375.00. || Sélous les payn, Au den de In Auestion de garantie Je
testérent Vlolemment contre cela ‘500,000 - _ . 2,250.00 16,000.:00 -__ 116,750,00 "dans cètté assemblée un: indice de l'ävenir. Jé'cruls que. Pin.
En 178, M. Otto, chargé d'affaires de France, écrivakt À ; CRT DS ! AS 0.00 so nnn nn 235-500 00 certitude êt le manque dé coopération: qüi peuvent sembler avoir
John Hay lo seorétairo d'alors pour les affaires étrangères: 1,030,000 . ; »500.00 - 238,000.00 . . bas prévalu en Europe dant lei dernlères.annéss sont e lour f0fne.
Ces prêts . Lo rt, ot use . . e ‘crois que l'émission qui doit bientôt £tre lanéée. & New-
À. Pougstee à ‘ vole
représentaient le travail, les efforts et les « ,U cg ; | . ï
fottures d'un grené nombre d'individus qui sont venus 6n J ; = . _ : York. do même que dans les principales. cépitaiss à Rer-
ide aux Etats-Unis dans les ternps les plus difficiles. , nu x = —, EEE ” ” + quers le point décisif. dans ls -recongtruet{on-de l'Erveche Nous
Leb vieilles mmaicons de commerce en France se trouvent , ra h . ‘ Lu tt Mois Te pe ue CE apart, Lo re à _ avons fusqu'idi regardé en. arrièté :: nous: â : pus
elles-mêmes réduites à la misère pour avoir trop eu d0 Üne nation de 70.000,00 a’habltants du csractère ét ae T'h£- L'on no peut pas supposer ‘que teë détenteurs de valeurs / gerder en nvant. L'occasion ést ublque., L'emprant est 5ôr,
confiance dane le gePier monnale et les certificats de bnité dés A‘lémands ns saurait être détruité car leur détermi- du goüvérnemént üllemänd, audourd'hul, vont attendre jusqu'à éonstruotif, reconstructff et démôcrätique. “If-est grandement
bureaux de prêts. ; a Majesté, ne peut rester indifférente nation, leur courage et leur habilité commerciale ne sauralent ce que les réparations sien payées, avant qu'ils eient l'occes recommandé et devrnit être atirayänt ‘pour ones Fo
"un 5 as FRS ré ÿ Û annihiés. Fe : Fi sion de liquider les voleurs au'ila possèdent, à de Suns els * Ces’opinfons ne font que bontitiier la, ldgidhe saine ‘Ass 1
John Adams, Je commissaire des Htate-Unis en France, L'Angleterre et les Ptate- profits. La manière doft.les obligations. allemandes ont évolué, vieille croyance qte,-rêtle énérale, malgré que los guerres et
À:
Î n ue l'emplol à ier-monnale dépréuià mes mes ES ä . , nt . “ É ;
crea RÉ rude etait injuste, Le 11 juillet 1389, il La raison joue un rôle Arte ne lent courant 1924 egf une preute StGEante que RE est pas le caf. les révolutions it retarder la: cjvilléation, elles ont lafret
Érivait À Robert Morris quo: Toute hésitation, toute incertitüde ‘ qu'une Allemagne en banqueroute sefait suivie ‘d'une dépression Progrès de PAllémagne La presse dé tous lés 5, fevültés ‘intéllétiuelies.
à propos de priver ou d'avcepter une Juste dette, amoinéärit le universélle. 1S rétoutnôrent à Îa conception économique -élé- ‘ d ee Liens 2 . juurs, donne des pret-
sens de l'oblis: ion moräle de la justice publique qui doit être mentäiré que-ce Qui sérait bon pour 11 prospérité allemande ser ves-indéniables que l'Atjemngné fait dé rapides progrès, finari-
garde pur dans tout esprit américain. [Les créanoleré ont ! rait.à la longue bon pour !& prospérité janglaise, ' américäine ciérement: ét ‘économiquernént, -vets la récupération de. sûn
toit: indéniable d'avoir satisfaction et cela par les pri et canadienne; les nations de l'univers prospèrent. ensembls ancien statut, — Son, budget an été équilibré et non seulement
fondamentaux de la société. Peut-i y @voir de Pind comme elles souffrent ensémble. Phone équilibré, mals 1! montré un surplus Chaique mis. Des traités
des convenances sans cela. Parler d'une éponge pour effacer { Le résultat de-ce réveil fut la formation du Comité Dawes, commerciaux favorables orit été ou Sont actuellement négociés.
uns dette, la réduire ou l'amoindrir en bns de 52 valeur réelle lequel comprenaft des experts financiers de tous les:pays de . Les exbortations d'or à l'Alernagne, rendues possiblas par
detis un -e trahirait une ignorance complète des principes ueñqu’importance, dans. l'univers, Cette ommission éonmit la récente émission de’ l'emprunt d'&prés le Plan Dawés, ont
Sémentaties du devéir et d'intérêt nàtionaux. gu us accru les ressources de 14 Helchbatik. et lui ont ‘fourni les
1 ‘ éntuellement. le’ plan ‘qu'on surmonuné le » pour les à 1
.Touts le. augstion est devenue d'uné importance nationale. maux de l'Europe, c'est cs qu'il a presque prouvé être. - . résertoé iégalément, lequires Ut. l'éniission Ge billets addi-
L'idée d'Alexander Hamilton de lintésrité finançière et de ia L'Durone a été depuis cinq ans dans un état $ t, Plu- tionnels, assurant la stabllination du riouveaü mérk-ôr et fai- : e
sainteté £ss obligations publi ues gun genre monétaire En jen sieurs erovaient qu'elle retragradait, mais l'acéd tation, fineis, sont, disparaître toute possibilité d'un renouvellément d'infle- x.
ontt xtrait de i È le et les nüs leve, conime un a vo ste - PPT : en |
du trésor ‘en 1789. Chaque violatiôn de promesses pubiques ë “noertitude qui avait étouffé le progrès ot ln rénabiltation: ‘SES palements en natute’.fèits depuis que le Pian Dawes
écrivait-1, soit par nécaseité ou, déhbérée, est dans différents logos oe + ie ‘à Pres- vint £ vigueur Fa s'élèvent, 22,000,000 ge marks-0r de plus
degrés préjudiotable qu GÉÉE MP eat George Washington: Les obligations allemandes montent EE . Smartaror Dar mou ee Per 0 presque augei gran ns
ésident des Et +s-Unis, dans son discours au Congrès Îe .8 jour au lendemain 8. prix ges valeurs Fr endes s'améliore Ri h ° P : Un il ‘ d ‘ VAI ‘ Le rl hes gr etre. E Étién
anvier 1790, disait: \ . n sses sensationnelles furent des évémenténts de toi- ess cnes- +
Tai vu aveo un rés! plaisir à la, flôture ds 18 dernière tes lek heures jusqu'à ca que finalement €és vaioufs, Qué nous IC e8se otentié le at PE: lemagne se poten-
2eesiôn, In résolution inscrite par Vous, exprimant votre avions recommantées, vinrent À leur niveau actuel; ‘ün certain tielle de l'Allemagne est un fâit céhnu. Nous n'allohs pas, en
dninion qu'une. disposition adéquats pour le soutien du nombre montèrent plus haut et subirent une réaotienu; 14 grande conséquence, énnüsvr l'acheteur en bérsnective des obligations
etédtt public est une question de haute Importance pour IA majorité montra une hausse énorne. | - ot ds soù gouvernement, Aveë une liste dé.ses mines, fabriques,
prospérité et l'honneur du pays, En cela je suis d'accord Nous avons rérondu à la première question, reportèng-nous tonnage dé-ses valsséenux et .futres choses semblables, ‘Au lieu
aveo vous. | déboursë maintenant à la deuxième. : de cel, nous allons repr@dulre l'opinion de quatre fameux Amé-
fentôt après, 18 gouvernement américain fit un urs , Fo + Le but du plan rirains, sur l'Allemagne d'auloufd'hui, dont l'expression appà-
éautratie aux por teurs 26 à soientons quand elles étaient à L Allemagne et le Plan Dawes Dawés est done tait NU une récente gsion du Berline Tageblatt.
un eur foule: our les acheteurs — plusieurs les avaient dit tentr de Allemagne. les réparations pour dommages territoriaux : L'un des premiers feifets Eté "Piun Daven Bté la naissance
sant valeurs — firent des fortunes. a pertes finançières. par les naflone gyec esquelles ele ta d'une nouvelle attitude metitile et d'uhé nouvelle manière de
Les obligetions du gouvernement frangels Sinal au toute Id promièté et Pindtsirie allemandes Nouvel aepiit lnité QE d'Allemagne ét-de toute l'Enrore. On
ent À travers la même expérience : 1Q emandes nouvel esprit d'unité et un sincère désir d'un ajustement pacl-
. L'Allemagne est forcée, pour le moment d'ignorer ses pro- fidie et aimianlé est appärént.. Le pétjlé penée en-terrhe de
| à pres obligations intérieures; avant toute autre chose, les nalé- coopération plutôt quede conflit :- la paix ent indispensable
1e déclaration ments pour les réparations doivent étré faits. Quiconque, Vour, ccrane condition devänt ‘précéder "tes .progrés économiques .du
e, plus lourd un pustent, foute ie, son habileté à rencontrer ses obligations, peuple allemand lui-même: Lie fafdeau actuel des réparations
8 de la révolution nt 5 S au’eile est supposée le faire, fait preuve d'une n'est:pas si lourd ni.si découraÿeant que lincertitüde dâns
ti gran 6 ignorance des conditions étoiiomiques et financières de : laquetle H a été tenu, : oo ‘ ‘ : ne
l'Allemagne d'aujourd'hui, : | Le , ui ze ë or un certain sentimentite sontapersent et melqte chose
nl te de la vigueur industrielle et de son sens de l'économie d'antän ‘ Ù
Dette totale ,8,6té estimé que la fers toile de pénètrent votre pays et 1 existé une Fécohfurtable atmosphère L'Allernagne. est entré
ment de, représente, à la valeur actuelle, à peu près-quarante billlons de confiance que nos obliratiôns”péuvént être rencontrées et 1s ‘C'est cétts P riode de transition qu
de maximum 10 de Son où 10 billions de-dollant. Maintenant, ce moñtant : Paye ramené à on éraheur d'avéfe.guéte rc qui offre da’telles occasions sans pré
en France, en représente ce que l'Allemagne doit lu. monde extérieur, ‘pour - Le ‘Dr Nicholas Mubray, Butiér, brésident de l'Univeréité Len'obseivteurs politiques eroient
rnen ral la guerre. La présente valeur en or de ses obligations fnté- Columbia, dans sa, contribution, sdlti ! . d. de gouvernement a été établie dhns ays du
rieures totale n'a pas été estl:née. Le montant, nüturellement, . Ilny'a pas d'atimosité dans ce Bayé: ét je doute qwil'exists nde.. Ce gouvernement-a été Accompaëné, de Conditions
M MR Smiéoae RE FAlmne à praeud Gler Sie Joué nacre dénaein-Pan eAfague ee dé noue ee DANS dut dde le cleauane ae durs outu
, tats- ère cent du co e uerrr, RE "con, een. . spé : -d “vis--r eurs gouver-
ence de l'Angleterre, des £ constrpetit qui o6 manifeste en RER A Montroier ds, sont à; plug d'équité visà fie les obligations 4e 5
‘Tous les chiffres employés dans ces estimations, et 2illeurs
&e la France prouve d'une manière d ons, et ailleurs, à ù . 18 ù ct. . ur
ete faites, par lorsqu'ila ne sont pas obtenus de nos registres personnels, sont politique intérieure et les relations éträngères du :peuple all ‘La “dérniète guerre fut absolument sans précédent en. dé
pa let en destrugtion. Mal
e'les plus grosses fortunes ont obtenus de sources que nou - mand É 2
° lus difficites ét les plus sombres a B croyons être sûres. D Ne _ pod ir dibonà a ae meñsion, en -dortée, en méthodes
dus considérons que lé sol-diéant Plan Dawès est Intelln Hana res Dpasséds: comme précédent, alors
8T
émyps Îles ] t - né
et politique possédaient suffisammen mn - . ‘La guèrri na que ! ‘ nonë-les. guer
, marchés guerre gent, pratique ot d'affaires. “Nous: chitrévoyons ol application nous. preñons. eu
d'entreprise Hadres entrer sur on colles-ci , Coût de la guerre pour lés Alliés a coûté à. loyale et juste ainsi que ja réhbilltation continue de l'industrie corne: la trande guerre fut-sur Une plus rando. échelle So
tions du gouvernem l'Angleterre, en chiffres ronds 48 billions de. dollars. Æile & et du commerce’allemanüé. (| est InGontestéble -que lé peuple toute autre, les résultats furefit plus grands, :les es pus
LANÉ A Le tpranco 48 bllions de dollme. Et elle à comté aus allemand avec son étonnante contribution à la haute pende Srandes, mais -lerpansion nt a stimulation des énergies 4
DE 9 . ‘ Etats-Unis 2, peu près 27 billions de dollars . U universelle, à la littérature universelle, à la.sclence uhiverselle, Céminelicent B.suivre seront aussi Plus grandes, ,
2 L’'Oec d hui | incont ren] er bays da payer leurs dettes de guerre est à l'art universel ét à la vie économique: universelle .ns répren- : se Se dm Lt ° Ca
, occastons ontestablement admise, À ceux qui élament que l'Allernagne drait pas une piace prépondérante parmi id nations olvilisées, ‘ CE A ; CA e ° CU
“+7 Alle . que des « istent PR drS jamais payer. les réparations et reprendre le paiement aussitôt que l'esprit Mbéral rempiäcerà et foulera aux pieds : Quoi CHELET
!. Nemagne F Lovers t ie gra et, les mesures Pan no. 20h8t de ses valeurs inté- les restes d'autocratie militariste, © 5 . Une ‘etude méticulause des marchés durant les dernières
etjouré u pér | x L'Allemagne n'a à payer qu'un quart de ce que l Anële- - Willie ‘H. Booth, président .de la ‘Charribre de Commerce de quelques semaines nous à convaincus - que les Console ee
aus nvonb depuis plusieurs années conseillé, avec persts- terre a dû payer pour la guerre. Nous croyons qu'elle peut sup- New-York, écrit, an partlet . .. . da: È ouvérAement de Dan Pension à PES ouivant, les lignex
tänce, leurachat. En face d'une forte critieue, par prospectus, porter les deux fardeauxx en même temps. De plus, nous:noûus La facilité avec laquelle le réceht, emptnht ailëmnñd 8 été : hui la plus Ve Te éerfien. n'de proit, EU °
téttres et Les Journaux, nous avons convainou des milliérs par attendons avec conflance que ce ne sera pas long maintenant absorbe fait ressortir la ébntiänce qui envahit le public et que que nous Avons Gfj& décrite, autrefots partis
ot nas et len Etats-Unis qua les occasions de bénéfices avant que la pression sur les différents partis politiques, le monde & dans je crédit de l'Allemaghe et dans l'intégrité de : Les Consoâés ‘Prusstèns "410% formaient autre np fire
Sr l'achat de valeurs choisies du gouvernement atlemand n'ont exercée par chaque citoyen allemand possédant une obligation ses intentions relativement à l'orûre.de' choses créé par le de'la dette consolidée de là Prusse, n ayañt aucune É e Feb
als été égaléss dans les annales du monde des placements du gouvernement soit: irrésistible. . Plan Dawes. ' Ë de maturité, -mals, rédulsibles par achat ont.6té ajoutén, FOUT
ous donnans ci-desôus des chiffres montrant les prix aux sonne : . is DONNE .- |. placés par de nouvelles émissions, rnais. leur Anfgré Aou
“né not avons vendu les obligations du gouvernement nilo- . mme eee | MIEUPEMIENt avt développements ci-devant mentionnés, &ÿ
‘mand #1 y & environ un an et leurs contes courantes | N e . ‘ - toujours êté promptement et entièrement -PAyÉ: .
‘ y minons de Prix L etre er vice AUX Eva gnarts . : - Nr furent ‘transportées au ouverdement- ci
—- yaun (a : ' nu . : à . ur: ‘ Re: : ‘ , de l'Allemagne, et-sont ainsi maintenant É : "
ve oourants E maison de placements est à juste titre fière d'avoir contribué à fairb-fairé de,substäntiels profits aux, spéeuiateurs du tions ‘älrectes ‘âu Reich, garanties par les’ réssources entières
Géuvemement Allsmañi 8 6 (1914-1918) . 42,100.00 . N Canada, des Etats-Unis et de Terre-Neuve. En plus des fortunes qui ont êté faites, par les spécuiateurs qui ont acheté des de la République “Allemande, . - Pa tree
Vito de Hambourg 472 8 (1919) . . . . « « 860.00 "obligations gouvernementales et municipales allemenñdes, nous avons fait faire beaucoup d'argent à ceux de nos clients qui : : s PRESS M gyér © 0 ‘a ‘valour-or des
Vale da Borlin 48 (1919) . . - : : : 8,250.00 ont acheté des obligations gouvernementales anglaises, françaises et itallennes Alors que I8 monnaie de ces pays éteblisaait un: . : Valeur-or lors de l'émission f,Soiides - du
Ville de Boriin ds (1920) . E 20.00 00 reed tableau cl-dessous : - : HN n ee . : ro Q " ‘ Re: ve F ‘ Ve SOMSaée dur.
= montrant 1 : ‘de : x ___. Gouvernement, ‘Allemand (Prussiens) 84% est basée BU
: 20.00 + 250.00 RSA e cours élevé, bas et aotuel de la monnaie des trois principaur pays européens indique oiai - ‘Soeur de l'ancien gant allemand avant ix pérlode:d'inflation.
-+
Vilis a a de ne aire) ! ! + 200.00 20,600.00 rednent-les ccoœslons de faire des.profits qui se sont préséntéss de noverubre. 1918 à venir à aujourd'hul... jaleur Re vait une valeur-or do 25.8con 1914, lorsque la Tn8{0-
UE nr 200 51970000 : Livre na 4 en se EF - Actugliement ° iite deb obligations sous la dette consolidée dela Prusse furent
. . - + . v . . Ê . CE
80e oc ’ ‘ ‘ done, en 1914, une
-.. qu'elles sont les raisons qui nous ont incités à croire que ce ! Frano 18.687 , ‘08428 : 05552 -., (émises. Une obleation de 1000 mars Etes Gui achetérent
"mouvement ‘n'est -que précurseur à una hausse de proportions l Le EU AE Be a ee ee oo 5 + «18.788 408310. " : ces obligations payèrent npproximativement .ce montant PO
béauconp mMüus grande. TemaArq e augmentation indiquée par ies chiffres de’18 @ernière colonne comparée à ceux'de la deuxième colonne indique es Consolidés lors de leur émission , I it
Ru NOUS proposons maintenant de répondre à cos deilz Lairement la valeur de ces obligations at les spéaulateurs ont fait d’extrnordinaires profits. , " : TE 5e DR HUVET-
: . Notre organisation a .êté portéo.à un haut dagré d'efficacité. “L'endroit où l'épargnant démeuré ne nüit en rien à, la comme -. Le fait que 198 obligations ont été transportées au de
hat et . dite et à la sûreté de ses placements, Gr notre service de commandes par la poste est Agencé pour #brorder le soin personnel nement central X'affecte d'aucuns manière leur vraie valeurs
… L'Allemagne et la guerre LY de la, dernière » plus soigné aux comptes de ceux qui font affaires par la poste. Nous sollicitons les affaires par 18 posté, et nous avons COnE- Le gouvernement allemand est tout aussi obligé:à honorer €
. "# agne gu gusrre, l'Allemagne ads que l6s clients servis de cette ragon sont aussi bien satisfaits que ceux que nous servornis pérgonnellement 3 nos'buredux, obligations que l'était le gouvernement prusslen,
. “exrbattait l'univers prete entier, Entourés do tous les côtés bu n autra point caillant ‘de notre service aux clients est le Bulletin de. Change Etranger, publié mehsuellemient et envoyé gTa- un To Sn , Un regard jeté'éu tableau m6n-
de pare contre lesquels elle combataît, la nation, littéralement ctuitement en n'importe quel endroit, à quiconque en fait la demande. Cette publication, tout en traitänt pour ln plus grande Étudiez le tableau ‘trant les prix et les perspec:
centin
Ville de Dan
Ville de Bariin &s (1915) . . .:. . .
, Quatles sont les causes de os hausses esnsationne
so mangoit elle-même. Elle ne pouvait omprüunter un ‘partie, den développements politiques, financiers et éco es gs pays 1 fl l [r es56s, con- , j , : ;
van monde extérieur ot ions jen gets emploYés pour “Hent beaucou de renseipnementa intéressants at sujet Tara ee étre Bres. à esquels nos alients gont le plus Intéresoer con tes de nets veus gmentrere Que VOUS PoNreE Poreu'
militaires, navales et civiles venaient ! Nous vous invitons & profiter ls plus possible dé notre organisation. lle est à votre service sur simple demande. .. rer. , sa ? on abent ‘’elles devro2t
“De 1. sa dette intémeure comperatl ; ®. , seront:honorées: par je gouvernement allemand, ‘elles
, . | | | | E | ‘ ' : valoir approsimativement $2,540.09, ue : |
vés a 5 i EE 1 MAC cut anto. N°05 : correspondants eur
ER PORDE, dons lo sonvemement Torté réellement _ EEE rase Ç =] ‘Demande croissante Nr, Sous gnnoncent av'?-
.. ." … ‘M:GUBTAVE GRAULT GÉRANT DU DÉPARTEMENT FRANÇAIS . ° ; grès uno étude :minutieuse des cercles. finenciors 18-D8s îs
‘ ‘ : écouvrirent que 12 participation européenne “den ls EuorTe
YAllemagne -êt les obligations de prêts d'après Suerre
atteint d'énormes proportions. Les spéculteurs anglsis,
das, -ainsl-que d'autres -spécuiateurs, ‘ont. acquis uno énorme
partie. des obligations: ellemändes et lès :gardent pour ‘un
usse -prachaine, ,, 7 "1 | is !, 0 Lt ur
- +On-peut s'attendre que la demande toujours eroiséants, D
D ed "688 Conéolidés allemands, comme ce fut 10 85e “avec nos obiige-
eviter la .sume, Lee citoyens 0 | ‘ . . D | }: “tions .de l'Emprunt de Guerre, les fasse monter à, des niveñus
ER CS . ONTRÉAL CANADA Qt MT F. bésuaoup plus élavés. Se Le ie ot
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m'envoyer par lettre enregistrée et agsürée. {°° 4". 7 0 tie es do daront PRE
- Vous trouverez ci-inclue—mandatp5ste—0 hèque adcepté—argent pour $ 6 6 0 + a
. En plein paiement pour l'achat ci-dessus... , # "fi à te Ur 5
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